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| | Mes textes : des sentiments, des émotions | |
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+3Aryana NatsumexMikan Nodoka 7 participants | |
Auteur | Message |
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Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Mes textes : des sentiments, des émotions Dim 19 Fév - 19:26 | |
| Rappel du premier message :Je vous ai déjà partager mes dessins, et maintenant, je me sens assez bien ici pour vous partager quelque chose de plus personnel : mes textes. Ce sont des descriptions de sentiments, d'émotions (on va dire ça comme ça) que je fais pendant des moments d'inspirations. Il y en a des mieux que d'autres, et encore d'autres complètement ratés. Ces sentiments, je ne les ai pas tous ressentis, mais pour la plupart oui. Bref, venons au sujet de départ, mes textes.
- Un amour sans futur :
Je t’aime. Je le pense si souvent. Des fois, je le dis tout haut, comme pour rendre mon amour vivant. Comment savoir si cela est vrai ? Comment savoir si ce sentiments est justifié ? Je ne peux pas . Mais je continue à croire en cet amour caché et désespéré. Peut-être que tu t’en doute. Car je suis si différente en ta présence. Je suis quelqu’un d’autre. Quelqu’un de meilleur. Peut-être que tu ne t’en rends pas compte mais alors, les autres le deviennent. Ils voient le changement qui se fait en moi. Peu importe. Je t’aime, voilà tout. Peut-être que cet amour n’a pas lieu d’être, mais je m’en fiche. Moi, je le ressens, c’est tout ce qui compte. Et même si tu ne m’aimes pas, tant pis. C’est un amour sans retour. Peut-être que dans quelques mois, quelques jours, quelques heures, cet amour disparaitra mais tant pis. Pour l’instant, il est là, présent et véritable. Et je t’aime. Je t’aime plus que je m’aime. Et c’est bien comme ça. Je suis moins égoïste. Je le suis encore bien sur. Car je garde cet amour pour moi et je ne le partage pas. Je t’aime, pas jusqu’à l’éternité, non, je t’aime jusqu’à ce que je ne t’aime plus. C’est comme ça que ça fonctionne. Toujours. Je t’aime et quand je ne t’aimerai plus, je ne regretterai pas de t’avoir aimé. Ce sera un merveilleux souvenir, une des plus belles choses qui me soit arrivée. Je ne regretterai pas mes mots, mes poèmes, mes sentiments, mes pensées. Je ne regretterai rien et ça laissera de l’amour et de la joie en moi. Si tu lisais ces mots, tu serai sans doute déçu, tant pis. C’est bien pour ça que je garde cet amour pour moi . Car je ne veux pas que tu souffre quand je ne t’aimerai plus. C’est mieux comme ça. Cet amour ne laissera aucune trace. Comme un souffle, comme un courant d’air, il sera là quelques temps puis, il disparaitra. En me laissant un souvenir dans mon cœur. Une pâle copie de mon amour qui est, pour l’instant, si intense. Alors, même si en apparence, rien ne se passera. A l’intérieur, dans mon cœur, tout sera bouleversé et je changerai. Mais je parle de la fin alors que nous ne sommes qu’au début. Pour l’instant, je savoure cet amour. Je savoure et profite, avant que mon cœur ne redevienne froid et terne. Avant que je ne ressente plus aucun sentiment, plus aucune émotion, à part le vide. Avant que je n’aime plus personne d’autre que moi. Non. Avant que je n’aime plus personne, ni même moi.
- Je ne comprends pas :
Je ne comprends pas tout. Loin de là. Peut-être que ce sentiment qui est en moi et que je ne partage pas est normal. Peut-être que tout le monde ressent cela à un moment ou à un autre. Mais j’ai quand même l’impression que c’est spécial, unique. Je ne comprends pas pourquoi, quand je te vois, je sens la haine m’envahir mêlée à l’amour. Je ne comprends pas pourquoi, j’ai violemment envie de te frapper et en même temps de t’embrasser. Je ne sais jamais lequel choisir. Alors, je ne fais rien. Je me sens bête à te regarder sans rien faire. Je ne comprends pas non plus, pourquoi, quand tu me regarde je n’arrive plus à respirer normalement. Et puis, j’ai compris. Je suis tombée amoureuse. Je t’aime. Je ne savais pas que l’amour était si compliqué. Après avoir compris ça, je t’ai vu. Mais tu n’étais pas seul. Je t’ai vu avec elle. Et tu l’as embrassé. Je sentais la tristesse m’envahir, une douleur sourde. J’avais envie de pleurer mais j’ai lutté contre les larmes. Je ne savais pas que l’amour pouvait faire aussi mal. Je t’ai haï ce jour là, et j’ai haï cette fille que je ne connaissais pas. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivais. Il y avait cet autre sentiment que je ne comprenais pas . Mais maintenant, j’ai compris. Je me haïssais aussi. Je me haïssais de t’avoir aimé, d’avoir été assez stupide pour croire que tu m’aimerai et je me haïssais de haïr cette fille. Je t’aime toujours. Mais je ne m’aime plus. Je ne comprends toujours pas tout. Mais j’ai compris une chose : l’amour fait mal, l’amour est pire que la haine. Je n’étais pas prête pour ça mais ça m’est arrivé. Je suis désolée. Je ne suis plus moi-même. Je ne me comprends plus. Je suis morte. Je suis morte depuis que je t’ai aimé, depuis que je t’ai vu l’embrasser. Je dois partir. Retourner à ma place : au monde des morts. L’amour est mortel, c’est ce que j’ai compris.
- Je t’offre mon amour :
Je t’aime. Je ne savais pas qu’un amour si fort puisse exister. J’ai toujours cru que j’étais insensible. Que personne ne pourrai jamais m’atteindre. Que je n’aurai jamais de sentiments, à l’égard des autres, à l’égard de moi-même, à l’égard de la vie. Mais tu m’as prouvé le contraire. Par ta présence, ta voix, tes sourires ,j’ai vu le monde d’un jour nouveau. Je me suis sentie renaître. Comment ai-je pu survivre si longtemps sans éprouver le moindre sentiment, la moindre émotion ? J’ai toujours cru que monde était vide, que les gens étaient pourris, détestables. J’ai toujours cru que je faisais partie de ces gens, détestable. J’ai toujours cru que la vie n’avait aucun sens. Que rien n’avait d’importance. Mais tu as tout changé. Tu as su m’atteindre. Tu as cru en moi. Tu as bouleversé mon âme, transformé mon cœur. Tu m’as sauvé de l’indifférence, du néant. J’aime tout en toi, tout ce que tu es, tout ce que tu représente. Tu m’as appris à voir les couleurs de ce monde. Tu m’as appris à sourire, à rire, à être heureuse. Je t’aime tellement ! C’est grâce à toi que je peux vivre. Merci, merci pour tout, merci d’être ce que tu es. Je serai toujours à tes côtés. Quand tu sera triste, en colère, heureux. J’aimerai que tu me vois autrement qu’une fille égarée. J’aimerais que tu saches tout ce que tu as fait pour moi. Que tu saches que je t’aime plus que tout. Et tout ma vie je t’aimerai. Même si tu ne m’aimeras pas, je serai là, et je t’aimerai en silence. Et quand tu aimera quelqu’un d’autre que moi, mon cœur en sera déchiré. Mais je continuerai à t ‘aimer. Et je chérirai cette douleur. La preuve de mon amour pour toi. La preuve de mes sentiments. Sentiments qui, sans toi, n’auraient jamais existé. Je t’aimerai jusqu’à mon dernier souffle. Saches au moins que tu m’as sauvé. Je vivrai et je grandirai en même temps que mon amour vivra et grandira. Tu m’as offert l’amour. Je t’offre ma vie, mon âme, mon amour.
Anéantie. (inspiré par les sentiments d'une amie) - Spoiler:
Aimer. Comment décrire ce verbe ? Je n’y arriverai pas. Quand on aime quelqu’un, je trouve qu’on est courageux. Prendre le risque d’espérer. J’aime quelqu’un, je l’aime lui. Etre avec lui c’est... c’est tellement bien ! On est bien ensemble. Est-ce qu’il ressent la même chose que moi ? Je ne sais pas... Mais comment peut-il en être autrement ? Je me dis qu’il faut tout tenter, je ne peux pas me dire courageuse sinon. Mais tout lui avouer, c’est si dur ! J’aimerai y arriver mais je bloque, à chaque fois. Mais je me force, je réessaye. Et puis, un jour, ces mots purent enfin se libérer : « Je t’aime. » Je m’étais imaginé qu’il suffisait de trouver le courage de lui dire. Et qu’ensuite, tout serai parfait. Mais que je suis stupide ! Rien n’étais comme je l’avais imaginé. J’ai été si naïve ! Quand j’ai appris qu’il s’en foutait complètement de moi, j’en fus effondrée, anéantie. La pire douleur qui puisse exister. Se savoir non aimé par la personne qu’on aime. Savoir qu’il s’intéressait à moi juste pour mon physique. Ne suis-je donc rien ? Un misérable microbe ? juste une fille qui est belle ? Une fille qu’on ne peut pas aimer ? Si c’est vraiment ainsi, pourquoi vivre ? Pourquoi supporter les douleurs, les peines ? Je me sens trahie. Rien ne pourrai me consoler. Rien. Dans mon chagrin, je finis par en vouloir à ces filles qui attirent les garçons, qui ont se charme innée que je n’ai pas. Pourquoi elles et pas moi ? Je m’en veux de penser des choses pareil. C’est de ma faute, pas la leur. La mort me semble si enviable. Je me suis totalement trompée, et ça fait tellement mal ! Mais malgré tout, il faut se relever, ne pas abandonner, être courageuse. Je ne pense pas y arriver. La dernière fois que j’ai été courageuse, ne suis-je pas tombée dans ce gouffre, cette abîme ? Je vais vous décrire le verbe aimer : aimer c’est se faire des illusions, avoir de l’espoir pour finir terrassée. Aimer, c’est souffrir. Aimer a été, la pire erreur de ma vie.
- Doutes et incertitudes :
Incertitudes, doutes. Pourquoi faut-il toujours que l’on passe par là ? Pourquoi la vie ne pourrait-elle pas être simple pour une fois ? J’en ai marre de tout ça, j’en ai marre de ne pas avoir confiance, en moi, en tout. J’aimerai pouvoir être rassurée, par quelqu’un, parla vie ou par moi même. Je m’en fiche pas mal de comment, je veux juste l’être, c’est tout. Car comment pourrai-je garder le sourire plus longtemps sinon ? Je n’y arriverai pas, sûrement. Mais je dois le garder, parce que si même moi, qui suis sensée être la plus positive, la plus joyeuse, perds le sourire, qu’en sera-t-il des autres ? Devront-ils s’effondrer en larme ? S’effondrer en larme, quel douce tentation... N’ai-je pas droit,moi aussi, de craquer de temps en temps ? N’ai-je pas droit, moi aussi, de faiblir ? On me dirai que si, bien sur, mais je ne peux pas. Parce que si je tombe, je ne saurai pas comment remonter. Si je tombe, je serai perdue.Alors je continue à sourire, malgré tout, à rire même. J’essaye d’être forte.Et j’attends que quelqu’un puisse me rassurer, qu’enfin je puisse laisser à un autre mon fardeau. Qu’enfin, je puisse vivre sans doutes, sans questions, sans incertitudes...
- Une ombre parmi les lumières :
Je me sens si mal. J’ai mal de toi. J’aurai pu te demander de m’aimer. J’aurai pu te demander de rester près de moi. J’aurai pu, si j’avais le courage. Pardonne-moi. Je n’en ai pas trouvé la force. Et j’en souffre énormément. Si tu savais toutes les fois où j’ai imaginé la scène, toutes les fois où je trouvais le courage. Mais ce ne sont que des rêves. Des rêves irréalisables. A chaque fois, ce n’était pas vraiment moi, c’était ce que je voulais être. J’ai passé ma chance. Je m’en voudrais infiniment. Je n’oserai jamais pensé à ce que tu pense de moi à présent. J’ai été si lâche. Je t’aime et ça me fait souffrir. Mais c’est entièrement ma faute. Oui, j’aurai pu, si j’avais fait les bons choix. Mais pourquoi toujours penser au passé ? Pourquoi ? Parce que je ne peux pas faire autrement. Ça me hante. Toutes ces occasions manquées. Pas seulement avec toi. Avec tout. Je suis désolée, je t’ai probablement déçu. Et jamais je ne pourrai me rattraper. Pardon. Pardon d’avoir évité tout contact avec toi, j’avais trop peur que tu t’en fiches de moi, j’avais trop peur de faire quelque chose de travers. Et maintenant, c’est trop tard. C’est trop tard et je le sais, je l’accepte. Parce que c’est moi.C’est toujours moi. Toujours de ma faute, toujours parce que je suis comme je suis.J’aurai aimé être comme dans mes rêves, j’aurai aimé être différente ! Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi je suis comme ça... Jamais je n’aurai cette réponse. Et je t’ai laissé partir. J’avais enfin quelque chose qui pouvait me faire m’aimer, quelqu’un qui m’accrochait à la vie. Mais je t’ai laissé... Je ne me le pardonnerai jamais. Je me demandais ce que tu pensais de moi, mais c’est simple, tu m’as déjà oubliée. C’est comme ça. Le soleil s’estompe pour moi. Les ténèbres prennent sa place. Je ne suis qu’une ombre.Une ombre parmi les lumières.
- Mon obsession :
Je me sens si confuse. Quels sont ses sentiments ? Pourquoi je m’inquiète pour des choses si futiles. Pourquoi je veux bien paraitre à travers son regard ?Peut-être pour de la fierté... C’est si important pour moi. Son avis de moi. Je veux pouvoir lui parler, pouvoir le faire rire, pouvoir lui dire bonjour,quelque soit l’endroit où on se trouve. Oui, c’est vraiment ce que je veux.Mais je manque tellement de confiance en moi. Et je m’inquiète, pas spécialement parce qu’il est plus important que les autres. Enfin si... Il est plus important, parce que je ne suis pas confiante vis-à-vis de lui. Quand je le serais, ce sera une victoire pour moi. Je veux être véritablement son amie.Juste son amie... Mais pour ça, il faudrait déjà que j’ai le courage. Alors peut-être que c’est futile de se dire que je m’inquiète si je lui dit bonjour ou pas, peut-être que c’est futile que je sois de bonne humeur quand j’échange quelques mots avec lui, mais pour moi c’est important. C’est une victoire contre moi-même. Contre mes défauts. Pour toujours m’améliorer. Il représente l’obstacle. L’obstacle qu’il me faut franchir pour avancer. Et forcement, j’en ai peur. J’ai peur de ses réactions. Mais je l’aime. J’aime ce défi. Sans défi,sans obstacle à relevé, est-ce que la vie serai intéressante ? Non, sans doute pas. Je ne dois pas être confuse, non. Parce qu’il me permet d’avancer. Je lui doit beaucoup. C’est grâce à lui que je suis comme je suis. Quand je suis avec lui, je veux être meilleure. Pour l’impressionner. Quand il est près de moi, j’essaye de faire des efforts. Je veux être à sa hauteur. Je veux compter pour lui. Je pense souvent à lui. Tout le temps. Je me dis « Est-ce que je vais le voir aujourd’hui ? », « Est-ce que je vais être plus forte ? » Mais après tout, c’est normal. Il est mon défi. Mon obsession. Edit : 21/02/12- L'ombre... :
Qu’est-ce qu’est réellement la vie ? De l’espoir ? De la joie ? Des couleurs ? De l’amour peut-être ? Oui, j’ai pensé ça un moment. Que j’étais naïve. La vie n’est qu’illusion, désespoir. Dès qu’un peu de lumière apparait dans ma vie, il est immédiatement écrasé. Écrasé par l’ombre qui plane sur moi. Sur tout. Je ne peux plus avancer. Je ne peux plus penser. Je ne peux que pleurer. Pleurer toutes les larmes de mon corps. Pourquoi vivre ? Pourquoi vivre si c’est pour souffrir ? Oui, la vie n’est que souffrance. L’amour n’est que la haine. L’amour.... C’est un des nombreux pièges de la vie. On croit être heureux, on croit vivre quelque chose de fort, et tout de suite après, les larmes, le désespoir. Comme un coup de poignard dans le dos. L’amour est une traitresse. Je pleure encore, et soudain je m’arrête. Je n’ai plus de larme. Je suis vide. Rien n’a de sens. Il faut que je me déconnecte. De la vie, de tout. Je ne peux plus avoir de sentiments. C’est une faiblesse. Une faiblesse qui amène à la souffrance. Cette souffrance qui m’accompagne partout. Comme une ombre. La seule certitude de ma vie. La seule chose qui ne ment pas. La vie est mensonge. Oui, et pauvres sont ceux qui la croit ! Oui, je les plaints. Je souffre oui, mais j’ai la vérité. La vérité, la solitude, la peine. C’est un tout. C’est mon fardeau. C’est tout ce que j’ai. L’ombre plane, encore, toujours. Jamais je n’accéderai au bonheur. C’est un souvenir vague. Une illusion parmi d’autres. Rien qu’un souffle, un courant d’air. Je ne vois que du noir. J’aurais préféré être ignorante. Non, j’aurai préféré ne pas vivre. Pourquoi ? Pourquoi rester seule ? Parce que je suis différente. Je sais. Ils sont naïfs, ils sont dans le mensonge. Oui, je les plaints, mais je les envie. Le bonheur, un espoir que je n’ai plus. N’y a-t-il pas quelqu’un, quelqu’un qui peut me comprendre ? Mais que je suis stupide... Comment pourrais-je croire ça... Comment pourrai-je croire qu’il y a encore de l’espoir ? Je ne peux pas, non. Mais j’en ai envie. J’en ai tellement envie ! L’ombre m’étouffe, je veux sortir de là ! Sortir de cette abîme ! Mais je ne peux pas, non, je ne peux pas. Je suis condamné à errer dans l’obscurité. Errer, jusqu’à l’éternité.... Edit : 13/03/12- S'ils savaient :
J’aimerai tellement qu’on me comprenne... Qu’on sache. J’aime, je l’aime. Mais personne ne me comprend. Personne ne me croit capable d’aimer. Ils ne me prennent pas au sérieux. Ils ne remarquent rien. Ils ne voient que l’image qu’ils ont de moi, l’image que je leur donne. Suis-je vraiment comme ils le pensent ? Une fille... Juste une fille... Mais pas une fille amoureuse, certainement pas une fille amoureuse. Non, ils ne comprennent pas la profondeur de mes sentiments. Ils ne savent pas décrypter mes regards, mes appels... S’ils savaient, s’ils savaient vraiment... Tout ce que je ressens, un trop plein d’émotions, un trop plein de tout. Mais la seule chose qui leur importe, c’est mon allure, mon sourire qui n’en est pas un. Ils se rassurent. Ils ne veulent pas voir. Mais je ne suis pas que ça ! Oui, je l’aime, ou peut-être que je n’en suis pas sûre. Mais ça a de l’importance. Ça fait partie de moi. De ce que je suis. Tout le monde cache quelque chose, je ne suis pas la seule. Mais ils ont peur, ils ne veulent pas se dévoiler, ils veulent garder leurs secrets. Mais moi je voudrais qu’on sache que je suis sensible. Que malgré les apparences, je n’ai pas tellement confiance en moi. Et toutes ces émotions qui me submergent ! C’est presque trop. Trop pour moi qui ne peut rien faire. Parce que les gens refusent de voir, refusent de voir que je suis moi. Je dois tout garder pour moi, tout encaisser. C’est difficile, mais je n’ai pas le choix. Parce que quand on prend l’initiative de dire quelque chose d’important à quelqu’un, celui-ci ne fait que se moquer, ne comprenant pas. Toujours pas. Pour lui, ce ne sont que des mots, des mots dans le vent. Mais ces mots, ils me définissent. Alors, suis-je moi aussi dans le vent ? Juste un souffle ? Un souffle qu’on oublierai cinq minutes plus tard. Je ne suis pas éternelle. Juste passagère. Oui, c’est tout ce qu’ils voient de moi. S’ils savaient... S’ils savaient vraiment, peut-être que je serai quelqu’un. Edit : 06/04/12- Ce n’est qu’une Chimère :
- Je suis avec lui. Il me tend la main, me fait un sourire. Je me sens bien, je me sens heureuse. Il me fait confiance, il me soutient. Je suis bien avec lui. – - Il me tire contre lui, j’accepte son étreinte. Je me sens protégée. Il me sourit. Il me rassure. – - Il est là, devant moi. Il me regarde dans les yeux. Je sens mon cœur qui chavire. Je suis amoureuse. – - Nous sommes assis. Je suis dans ses bras. Nous sommes bien. Je me sens invincible. Je peux tout réussir avec lui. Je lui souris, il me sourit. – - Je fais une blague. Il rit, je ris. Je suis heureuse. Il me tient la main. Je ne veux pas le lâcher. – - On est couché l’un à côté de l’autre. Et on regarde le ciel. Il a l’air heureux. Je le suis aussi. Il y a quelque chose, nous sommes complice. Je le regarde. Toujours ce sourire. Je n’ai peur de rien. – - Il y a de la musique. Il me sert dans ses bras. Je me sens rassurée. Je me sens bien. Il me sourit. Encore. Je le regarde, il m’embrasse. Je suis comblée. Je l’aime, il m’aime. – Et soudain, la réalité. Ce ne sont que des rêves. Des scènes que je m’invente. Des mensonges. Je me sens accablée. J’ai encore rêvé. De lui. Je ne sais même pas pourquoi. Je ne sais pas comment. Toutes ces histoires sont tellement bien. Et à chaque fois, mes rêves paraissent si réels. A chaque fois, je me laisse trompée. Imaginant que c’est la réalité, imaginant que c’est ma vie. Oui, si ma vie pouvait être comme ça ! Je serai tellement heureuse. Si ma vie serait comme ça, je serai tellement bien. Mais ce ne sont que des illusions. Des illusions que je pourchasse. Je cours toujours après, sans jamais pouvoir les attraper. Ce ne sont que des chimères. Il n’est qu’une chimère. L’élu de mon cœur. De mon cœur torturé. Le cœur du jeune fille en manque, en manque d’amour.
- Cours :
Cours. Encore. Ne t’arrête pas. « tu tombe ? » Relève-toi. « Tu as peur ? » Ne t’écoute pas. Ne prends pas le temps de réfléchir. Cours. Ou sinon, il sera trop tard. « Tu as faim ? » Ignore-le. Ne prends pas ton temps. Agis. « Tu es triste ? » Ravale tes larmes. Ne sois pas faible. Cours. Vis. N’attends pas. N’attends rien. Cours. Toujours. « Tu doutes ? » Fais un choix. Ne t’arrête surtout pas. « Tu es fatigué ? » Oublie-le. Suis ton chemin. Ne dévie pas. Cours. - Je ne suis qu’un robot :
Je ne suis qu’un robot. Pourquoi vivre ? Je regarde les autres. Ils sourient. Ils pleurent. « Pourquoi ? » Moi, je ne sens que du vide. Je ne suis qu’un robot. J’ai envie de comprendre. Mais je ne peux pas. Un jour, j’ai entendu dire que pour vivre, il fallait aimer. J’ai essayé. J’ai tout fait pour aimer. Mais je n’y arrivais pas. « Pourquoi j’existe ? » Je n’avais pas de réponse. Je n’arrivai pas à ressentir quoi que ce soit. Je ne suis qu’un robot. Puis je le rencontre. Il est gentil. Il sourit, il rit, il s’occupe de moi. Je le regarde avec froideur. Pourtant je voudrai pouvoir l’aimer ! « Pourquoi je n’arrive pas à l’aimer ? » Je ne suis qu’un robot. Il me recoiffe. IL me tient la main. Je devrai ressentir quelque chose. Mais rien. Je ne ressens rien. Il me dit qu’il m’aime. Je ne comprends pas. Puis, il disparait. Je suis à nouveau seule. Mais ça ne me fait ni chaud ni froid. Je ne suis qu’un robot. J’ai essayé de comprendre. Les sentiments. Mais je ne comprends pas. « Je ne suis qu’un robot. »
- Mes rêves :
Il occupe toutes mes pensées. Pas une minute je n’arrête de penser à lui. Il ne me laisse aucun répit. Il n’abandonne jamais mes souvenirs. Il me hante. J’ai l’impression de vivre à travers lui, de dépendre de lui. Pour moi, c’est vital de le voir chaque jour, même de loin. Je connais par cœur son visage, son sourire. Il me permet de me sentir vivante. J’essaye toujours de l’impressionner. Il me force à aller au bout de moi-même. Pour la première fois, j’ai envie d’être belle. Pour lui. J’ai envie qu’il me remarque, même si je sais que ça n’arrivera pas. Mais je ne perds pas la face. J’ai toujours de l’espoir. Il alimente mon espoir. Je ne sais pas si je l’aime, mais il m’obsède. Son visage m’accompagne partout. Et pourtant je le connais si peu, trop peu. Mais quelque chose d’irrépressible m’attire à lui. Je veux le connaitre, le découvrir. Et je veux qu’il sache comment je suis, qui je suis. Je voudrai que nous puissions parler. Juste parler. Mais il est trop loin. IL est bien trop loin. Ce que je veux n’a aucun sens, n’a pas lieu d’être. On n’est pas du même monde. Autant je suis attiré par lui, autant quelque chose me repousse, me forçant à rester à distance. Me montrant que je ne suis pas à la hauteur. Je suis en bas, il est en haut. Et il n’y a rien qui me permette de m’élever à lui. Rien à part mes rêves. Toujours mes rêves.
- Liberté :
Si je pouvais être libre. Comme un oiseau. Un oiseau qui vole si haut dans le ciel. Un oiseau qui fait ce qu’il veut. Si je pouvais être comme lui, avoir le choix. Pouvoir faire ce dont j’ai envie. Pouvoir voler dans le ciel. Le ciel si immense, si bleu, si profond. Je voudrai pouvoir vivre, pouvoir respirer l’air frai. Pouvoir m’échapper de mes devoirs. Pouvoir écouter la musique, la musique du bonheur. Si seulement je pouvais être libre, libre comme l’air. Si seulement je pouvais vivre ma vie comme je l’entends ! Ce serait si bien ! Tellement bien... Mais je suis emprisonnée. Je suis un oiseau en cage. Et je suis ma propre cage, ma propre prison. Je voudrai être libre. Mais je ne m’en donne pas l’occasion. Je voudrai être libre, mais ce n’est qu’un vœu. Un vœu futile. La liberté.
- Courage :
Le courage. C’est quelque chose qui m’a toujours manqué. Quelque chose que je n’ai jamais pu m’approprier. J’envie les gens courageux. C’est seulement quand on est courageux que la vie nous sourit. Je n’ai jamais osé. Peut-être est-ce un manque de confiance en moi... Je ne sais pas. J’ignore tant de choses ! Je voudrai savoir. Savoir comment être courageuse. Savoir comment faire le premier pas. Savoir comment vivre sans trop de douleurs, sans trop de déceptions. Sans cette rage qui me tenaille. Sans mon air agressif ou distant. Parce que je n’ai jamais eu le courage de montrer ce que je ressens. C’est tellement plus facile de laisser les autres interpréter. C’est tellement plus facile de laisser le choix à d’autres. Je suis lâche. Incapable de prendre une décision. J’ai toujours peur de ce qui va m’arriver. Détestant ne pas savoir. L’ignorance me fait peur. Je suis lâche, je préfère me mentir plutôt que d’affronter la réalité. Je préfère rester dans le doute. J’ai peur de souffrir. Ou peut-être ai-je peur d’être heureuse finalement ? Peut-être que je ne veux pas me laisser cette chance... Mais peut-être est-ce juste de la paresse. Oui, ça doit être ça mon problème : je suis trop paresseuse. Incapable d’agir. Ça aurait été bien si j’avais pu être un peu plus courageuse. Oui, je crois que ça aurait été bien.
- Le choix :
Parfois la vie est dure. Parfois, rien n’a de sens. Parfois, les mots ou les larmes ne suffisent pas. Parfois, on est déçu, triste, désespéré. Souvent, on est triste, déçu ou désespéré. Ou peut-être bien les trois en même temps. Parfois, on se sens seul, terriblement seul... Abandonné. De tous. On se sens trahi, minable ou lâche. On se sens n’être rien. On ne voit que nos défauts. Parfois, on est pessimiste. On ne comprends pas, on ne comprends rien. Parfois, on a du mal à accepter la vérité. La vie a l’air si noire, si triste. La plupart du temps, il nous manque quelque chose, on se sens vide. La plupart du temps, on a l’impression de vivres comme des fantômes. Et on a peut-être raison. Peut-être bien que la vie est triste, que les gens nous abandonnent, que nous ne sommes que des minables. Mais il ne tient qu’à nous de tout changer. Il ne tient qu’à nous de sourire. De vivre, réellement. De remarquer les couleurs du ciel, de la musique que forme la vie. IL ne tient qu’à nous de changer et de changer les autres. Et nous pouvons choisir de voir le bon côté des choses. Et là, seulement, la vie aura des couleurs. Et là, seulement, on pourrai vraiment être quelqu’un, même quelqu’un de bien. Mais peu de gens prennent le temps de changer, de tout changer. Peu de gens choisissent de croire en l’espoir. Alors la vie est triste, oui, la vie est triste. Parce qu’on choisit de l’ignorer. Mais je crois qu’on peut changer, moi, je crois en l’espoir, je crois en la vie. Je crois en nous.
- Vivre :
La vie. C’est quelque chose de si énorme. Quelque chose d’infini. Si peu de gens en profitent. Tant de gens se lamentent. Trop de gens se lamentent. Ils sont faibles. Nous sommes faibles. Tous. Incapable de voir la vérité. On se cache derrière les mensonges. Et on transforme ces mensonges en la nouvelle réalité. Notre réalité. Nous sommes en train de tout détruire. Et de nous détruire nous-mêmes. De détruire cette vie. Nous avons peur. On veut tout contrôler. Mais on perd, à chaque fois. On perd tout. On ne vit plus. On n’est que fantôme. La vie. C’est mon rêve. Si je pouvais l’atteindre. Si on pouvait retrouver notre âme. Je veux vivre. Je veux vivre ! Mais pourquoi pas ? Pourquoi ne pas changer ? Pourquoi ne pas faire le premier pas ? Oui, je peux le faire. Vivre. Réellement. Sortir de l’ombre. Pourrais-tu me suivre ? Venir avec moi dans la lumière ? Oui, viens, lève-toi. On restera ensemble. Et on trouvera les autres. On les relèvera. Et on sera tous, ensemble, dans la lumière, dans la vie, dans mon rêve. Oui, tel est mon rêve : vivre.
Edit 19/06/12
- Vide :
N’avez-vous jamais ressenti ce vide ? Ce vide qui vous tenaille par le ventre. L’envie de ne rien faire. Ou plutôt, l’absence d’envie. Le moment où vous rester là, sans bouger. Juste en train de vivre et encore. C’est ce que je ressens ; un trou béant. Il me manque quelque chose, quelque chose d’important, de vital. Il me manque l’amour. Ce sentiment d’être seule, toujours seule... Ne trouvant personne à aimer, personne qui serait capable de m’aimer. Je me sens vide. Sans aucune raison de vivre. Sans rien. Et je ne bouge pas. Je ne fais rien. Je n’ai plus envie de rien d’autre que de rester là, juste à penser. Il n’y a aucun sens à ma vie. Elle est juste là. C’est tout. J’envie ces gens qui ont trouvé leur bonheur à deux, ou seul. Moi je ne peux pas. Je ne suis même pas triste. Je suis juste dépourvue d’amour. Je voudrai retrouver le goût de vivre mais rien n’y fait, ce trou béant reste encrée en moi. Dans mon âme. J’espère, un jour, pouvoir trouver cet amour. Cet amour qui a l’air si magnifique. Cet amour dont j’ai besoin. Oui, j’espère le trouver, je l’espère de tout cœur mais je suis incapable d’agir. Parce que le vide me rattrape et me donne le vertige. Alors je ne peux rien faire d’autre qu’attendre. Attendre et espérer.
- Les larmes :
Tu sens la liberté qui te reviens. Tu l’as sens ? Cette liberté qui t’est chère. Cette liberté qui t’est due. Et cette liberté d’où la sors-tu ? De l’amitié ? Du bonheur ? De l’amour peut-être ? Oh oui, l’amour m’a donné la sensation de liberté. L’amour m’a donné l’impression d’être invincible, poussée par mes rêves. Et lorsque ce dont tu as cru se brise, il n’y a plus de retour en arrière possible. Les larmes, toujours les larmes. Elles ont remplacé mes rêves. Comme si elles voulaient laver les souvenirs douloureux. Les souvenirs noirs... Les souvenirs d’un temps heureux. Un temps bercé dans l’utopie et dans les mensonges. Garde ta naïveté, garde-la précieusement. Essaye de préserver la liberté de ton cœur. Avant que l’ombre et la tristesse t’entravent de leurs chaines. Car moi je suis enchainée. La tristesse me ravage. C’est comme un feu, brulant, dévorant, qui torturerai mon corps, mon âme. Et mes larmes incessantes essayent de le faire taire. Mes larmes sont mon seul réconfort. Comme je jalouse ces temps heureux ! Surtout garde ton ignorance. La vérité est bien trop sèche, trop douloureuse, surtout pour celui qui aime. Surtout pour celui qui rêve. Et comme j’ai rêvé souvent ! Et comme j’ai aimé ! Comme je l’ai aimé... Et je crois que je l’aime encore. Malgré tout. Et cet amour qui me donnait la liberté me fait maintenant suffoquer. J’aimerai m’en débarrasser mais il persiste, l’amour est plus fort. Je souffre. Je hurle intérieurement cette douleur. Pourquoi ? Pourquoi a-t-il fallu que ça se termine comme ça ? Parce qu’un jour ou l’autre, les rêves s’envolent. Parce que la vérité réclame son dû. Parce que la mort réveille à la réalité. Brutale. Et je me retrouve seule. Seule face à mon désespoir. Dans les ténèbres de la peine. Ne t’avais-je pas prévenu ? Préserve ce qui te reste de pureté, de naïveté, reste dans le mensonge. Peut-être seras-tu sauvé. Peut-être même seras-tu épargné. Mes larmes ne cessent toujours pas de couler. Pourquoi faut-il que je vois son corps, inerte ? Pourquoi ses yeux sont ternes, sa peau, froide ? J’aurai voulu qu’il reste avec moi plus longtemps. J’aurai voulu qu’il ait le temps de m’embrasser, tendrement, délicatement. J’aurai juste voulu avoir le temps de le serrer dans mes bras et de lui murmurer : « Je t’aime. » Edit 15/10/12- Ceci n'est pas un poème :
Ce n'est pas un poème. Ce n'est pas un roman. Je le sais. Je devrais le savoir. Mais pourtant les histoires m'emportent. Et le "si seulement j'étais...." m'envahit. Je ne fais que rêver. Rêver d'un monde meilleur. D'un monde où j'aurai ma place. Fait d'aventures, de magie, d'amour... Et je me dis que ce serait bien. Oui, ce serait bien. Si seulement... Mais le monde n'est pas un roman. Et à cause de mes rêves, je me ferme à ce monde. Je me ferme et j'oublie tout. A part mes rêves. Et je m'enfonce encore. Encore plus. Finalement je me réveille. Et je souffre. Comme à chaque fois. Peut-être même plus qu'avant. La réalité me fait mal. La réalité me frappe. Et au lieu de l'accepter, au lieu de me sauver, je fuis de nouveau et je me ferme. Encore. Mais ça ne peut plus continuer ainsi. Parce qu'il faut que je pense à vivre. Enfin. A vivre réellement. Edit 5/11/12- Je me souviens qu'on dansait :
Je me souviens que je tournais. Je me souviens de son rire. Du mien mélangé au sien. Je me souviens être tombée dans ses bras. Je lui écrasais les pieds parfois. On dansait. Je me souviens qu'on dansait. Je me souviens du bonheur qui m'enveloppait. Je me souviens que je ne voulais plus lâcher sa main. A jamais. Oui, je me souviens de ces quelques pas de danse avec lui. C'était magique. Je me souviens de son sourire. Je me souviens qu'il était beau. Que je me sentais belle. Belle en tournoyant toute la nuit, me laissant guider par ses gestes. Je me souviens de la musique. Elle était belle. Aussi belle que ce moment. Je voulais que ça dure éternellement. Je me souviens être tombée amoureuse. De lui, de la danse, de l'amour. Je me souviens. Je me souviens parce que c'était beau. Je me souviens qu'on dansait. A deux. Edit 12/01/13- Un océan de larmes :
Je sens les larmes couler. Couler à flot. Plus rien ne peut les arrêter. Elles ravagent tout sur leur passage. A un point où je ne me souviens même plus de qui je suis, d'où je viens. La seule réalité qui me vient c'est cette immense tristesse semblable à un océan. Un océan de larmes. Je ne sais même plus qui j'aime, qui je hais. Tout se confond, tout se mélange. Je ne ressens plus que ce désespoir dévorant. Est-ce donc ça, la réalité de la vie ? Plus rien d'autre n'a d'importance. plus personne n'existe. Il ne reste que moi. Face à elle. Tout change. même la perception de la vie. Avant, elle était pour moi un soleil éclatant. Maintenant, ce n'est plus que de l'eau, qui jamais ne s'arrête de s'écouler. Comme mes larmes. Mes larmes de regret, de peine et de désespoir qui ne s'arrêtent plus de couler. Juste parce que je t'ai perdu, toi.
- Déjà, tout s'efface :
Chaque jour est un pas de plus vers l'enfer. A chaque pas je m'éloigne de la lumière. Bientôt, je ne l'apercevrai plus. Bientôt, j'oublierai son éclat. Chaque mot sonne comme un regret, chaque parole comme un adieu. Je suis loin de bonheur d'autrefois. Ces jours heureux je peux les oublier. Car si ce souvenir reste, les ténèbres n'en seront que renforcés. N'en seront que plus cruels. Ce destin funeste me rattrape petit à petit. Je ne peux plus me voiler la face. il ne me reste plus qu'à accepter et oublier. Car je suis trop faible pour me battre. Trop faible pour trouver l'espoir. A quoi ressemble la lumière ? Déjà, je ne m'en souviens plus. Déjà, tout s'efface. Chaque jour me rapproche de l'enfer. Est-ce aujourd'hui que je sombrerai ?
- Toujours seule :
J'aurai aimé que quelqu'un me prenne dans ses bras. Ressentir la douce chaleur d'une étreinte. J'aurai aimé pouvoir me confier à quelqu'un. Alléger, ne serait-ce qu'un peu, le fardeau pesant sur mes épaules. Le fardeau de la peine et de la solitude. Oui, je suis seule. Et la profondeur de mon chagrin est immense. Il ne me reste plus qu'à me recroqueviller sur moi-même, dans un coin, et pleurer toutes les larmes de mon corps. Et dans ce petit espace où les ténèbres semblent s'avancer vers moi, je ressens ce désir de ne plus être seule. La douleur me fait suffoquer. Depuis combien de jour suis-je comme ça, à pleurer ? Seule, dans les ténèbres de mon âme, je ne sais plus rien. Il ne reste que la solitude. Écrasante. Je pleure. Encore. J'espère que cela pourrait alléger ma souffrance. Même si j'en doute. J'aimerai que quelqu'un se penche vers moi. Quelqu'un pour me faire sourire, pour me rassurer. Quelqu'un qui s'intéresserait à moi. Mais je suis toujours seule. Je reste transparente. Et je me sens sombrer. EDIT 8/02/13- Déclaration :
Je t'aime. Je ne veux pas juste sortir avec toi, non, je t'aime. Vraiment. Jamais je n'ai eu le courage de te le dire, ni même de te l'écrire. Je t'aime. Chaque fois que je ferme les yeux, ton image s'impose à moi. Chaque fois que je laisse mes pensées libres, elle vont vers toi. Je t'aime. Passionnément. Je ne sais pas pourquoi, mais c'est comme ça. Chaque fois que je te vois, j'ai envie de t'enlacer, de t'embrasser. Je t'aime tellement. Et quand je vois cette fille tourner autour de toi, je suis jalouse. Terriblement jalouse. Parce que je t'aime. Choisis-moi. Aime-moi. Je voudrai te rendre heureux comme tu me rends heureuse. J'aimerai t'apporter cet amour sincère, sans détour. J'aimerai que tu m'aimes autant que je t'aime. Parce que c'est plus beau que tout. Mais surtout parce que je ne pourrai plus vivre sans toi.
- Amoureuse de toi :
Des fois j’ai l’impression que tu n’en as rien à foutre de moi. Des fois j’ai l’impression que tu ne me vois même pas. Je suis triste, blessée, souffrante, amoureuse… Amoureuse de toi. De ton corps, de ton caractère, de ta manière d’être. J’aime tes qualités, même tes défauts, je t’aime tout entier. Mais toi, toi tu ne sais rien. J’ai envie de courir vers toi, de t’enlacer, de t’embrasser, de te dire « je t’aime ». Mais je ne peux pas. Parce que je ne suis rien pour toi. Je suis triste, blessée, souffrante, amoureuse… Amoureuse de toi. Ce n’est pas que j’en ai eu envie, ce n’est pas que je l’ai décidé. Mon amour pour toi s’est imposé en moi. Et je ne peux rien faire contre. J’aimerai que tu me regarde des fois. J’aimerai que tu me désire, que tu m’aimes, que tu ne puisses plus te passer de moi. Mais bien sûr, ce n’est pas le cas. Je suis triste, blessée, souffrante, amoureuse… Amoureuse de toi. Ça me fait de la peine de te voir avec d’autres. De te voir loin de moi. Pourquoi n’arrive-je pas à t’atteindre ? Pourquoi n’ai-je pas la force d’aller vers toi ? J’ai l’impression d’être faible. Faible face à toi. Je ne suis rien, rien pour toi, juste une fille comme les autres, juste une fille sans intérêt. Je suis triste, blessée, souffrante, amoureuse… Amoureuse de toi. Pourquoi ne peux-tu m’aimer ? Si seulement tu savais… Si tu savais tout ce que je ressens… Peut-être que ça changerait quelque chose. Peut-être que ça changerait tout. Mais jamais je n’oserai, jamais je n’oserai te dire combien je t’aime. Vas-y, je t’en pris, demande-moi de t’embrasser. Aime-moi. Désire-moi. Fais de moi ce que tu veux. Je suis toute à toi. Je suis triste, blessée, souffrante, amoureuse… Amoureuse de toi. S’il te plait, ne me laisse pas comme ça… Ne me laisse pas sans toi. Je suis si démunie. J’ai l’impression qu’il me manque une partie de moi quand je ne suis pas avec toi. Pourquoi est-ce arrivé à moi ? Pourquoi je suis tombée amoureuse de toi ? Je ne sais pas, je ne pourrai pas le dire. Ça me fait souffrir. Tu ne peux même pas imaginer à quel point. A quel point être loin de toi me fait souffrir. Mais je me résigne parce que jamais tu ne m’aimeras. Je suis triste, blessée, souffrante, amoureuse… Amoureuse de toi. Edit 7/03/13- Peur :
J'ai peur. Peur qu'il soit passer à autre chose, peur que ce soit trop tard. Je le sens qui s'éloigne petit à petit et ça me frustre. Je l'aime. Je ne veux pas le perdre alors que je croyais vraiment que ça pouvait marcher entre nous. Ça me rend tellement triste ! Alors j'essaye de ne pas y penser, d'oublier le plus possible. Moi qui m'imaginais déjà lui avouer mes sentiments... Maintenant, je n'en ai plus le courage. Parce que je sais que lui ne m'aime pas. Qu'il s'en fou totalement de moi. Et ça me fait mal. Terriblement mal. Je veux que ça cesse. Je veux le voir pour me rassurer. Pour me dire que je me suis trompée. J'ai peur. Peur parce que j'ai encore de l'espoir. Peur que cet espoir soit anéanti.
- Appel d'espoir :
Je te sens si loin de moi. Ressens-tu ce manque ? Ce manque qui me dévore et me consume ? J'ai peur de te perdre. J'ai peur de t'avoir déjà perdu. Pourquoi ne réponds-tu pas à mes appels ? Pourquoi est-ce de plus en plus difficile pour moi d'y croire ? Croire que tu pourrai m'aimer, que tu attacherai de l'importance en moi. Je t'aime. Mais j'ai l'impression que déjà, tu m'oublies. J'ai l'impression que tu es passé à autre chose alors que rien n'a eu le temps de débuter. Pourquoi faut-il que je souffre tant de tes absences ? Du vide que tu laisses en moi ? Je voudrai tellement te prendre dans mes bras, me rassurer ! Mais au fond de moi, je sais que tu es déjà parti. Tu es déjà loin. Et je suis seule. Pourtant, je ne peux m'empêcher d'espérer. Je ne peux pas me faire à l'idée que tu m'aies déjà oubliée. Alors, dis-moi, est-ce déjà trop tard ?
- Rage :
La vie. Qu'est-ce que la vie ? C'est un ensemble de déceptions, de rage, de douleur, d'amour, de regrets... J'en ai marre de cette vie. Je rate tout ce qui est important à mes yeux. Perdu l'amour, incapable de réaliser mes rêves, mes ambitions... J'en ai marre de rester dans ma chambre sans pouvoir rien faire. Je n'ai plus rien pour moi. Je me désintéresse de tout. Pourquoi réussir, travailler, si ça ne m'apporte rien ? Aucune fierté, aucun espoir. Je ne vois pas pourquoi je continuerai à lutter pour quelque chose qui ne compte pas pour moi. J'enrage, seule, enfermée chez moi. Je n'ai plus aucun but. Rien qui me raccroche à la vie, rien ! Alors pourquoi, hein, pourquoi ? Pourquoi faire des efforts alors qu'il n'y a personne pour s'en intéresser ? Je tombe dans l'oubli.Si je n'étais plus là, personne ne s'en apercevrait. Et la vie continuerait son cours. Je ne suis rien. Rien de plus qu'une poussière. Chacune de mes espérances m'a porté un coup, me détruisant petit à petit. Je suis brisée.Brisée ! Et il n'y a personne pour répondre à mon cri.Personne pour entendre mon appel. Je n'en peux plus de cette rage qui me consume. J'ai beau crier, elle ne part pas. Ne m'abandonne pas. N'y a-t-il pas quelqu'un qui pourrait m'aider ? Quelqu'un qui pourrait s'arrêter, juste un instant, et me demander sincèrement : "Est-ce que ça va ?". Non, il n'y a personne. Personne d'autre que moi. Mais même moi je me désintéresse de ma vie.Cette vie pourrie dont je ne veux plus. Parce que l'espoir a laissé place à la déception. Parce que toute ambition a été exterminée. Parce que la rage a remplacé tout le reste. Me laissant là, vide, sans avenir, comme un déchet qu'on jette. Alors, la vie n'est plus rien. La vie est inutile. Alors, je ne suis plus rien. Je suis inutile.
J'espère que mes textes vous ont touché, n'hésitez pas à me donner votre avis
Dernière édition par Nodoka le Jeu 7 Mar - 17:41, édité 17 fois | |
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Auteur | Message |
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Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Jeu 19 Avr - 17:10 | |
| Merci Ary-chan ! ♥ Pour une fois, ils ne sont pas tous tournés vers l'amour^^
Hi hi, merci de les lire Lia-chan ♥ | |
| | | Aryana Chouchou
Messages : 5627 Date d'inscription : 02/01/2011 Age : 26 Localisation : Dans le palais fleur
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Sam 21 Avr - 12:36 | |
| De rien, c'est vrai que ça change un peu ! ^^ Ils m'ont plus plus que les précédents, je les trouve plus profonds ou peut-être plus clair, je comprends très bien le contexte et l'histoire principale, ça me va ! ^^ | |
| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Sam 21 Avr - 19:22 | |
| Oui moi aussi je les préfère... Ah mon avis, je m'améliore^^ | |
| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Mar 19 Juin - 20:26 | |
| Alors en voilà deux nouveaux ! Ce sont pas mes plus réussi mais bon... ^^' Vide.- Spoiler:
N’avez-vous jamais ressenti ce vide ? Ce vide qui vous tenaille par le ventre. L’envie de ne rien faire. Ou plutôt, l’absence d’envie. Le moment où vous rester là, sans bouger. Juste en train de vivre et encore. C’est ce que je ressens ; un trou béant. Il me manque quelque chose, quelque chose d’important, de vital. Il me manque l’amour. Ce sentiment d’être seule, toujours seule... Ne trouvant personne à aimer, personne qui serait capable de m’aimer. Je me sens vide. Sans aucune raison de vivre. Sans rien. Et je ne bouge pas. Je ne fais rien. Je n’ai plus envie de rien d’autre que de rester là, juste à penser. Il n’y a aucun sens à ma vie. Elle est juste là. C’est tout. J’envie ces gens qui ont trouvé leur bonheur à deux, ou seul. Moi je ne peux pas. Je ne suis même pas triste. Je suis juste dépourvue d’amour. Je voudrai retrouver le goût de vivre mais rien n’y fait, ce trou béant reste encrée en moi. Dans mon âme. J’espère, un jour, pouvoir trouver cet amour. Cet amour qui a l’air si magnifique. Cet amour dont j’ai besoin. Oui, j’espère le trouver, je l’espère de tout cœur mais je suis incapable d’agir. Parce que le vide me rattrape et me donne le vertige. Alors je ne peux rien faire d’autre qu’attendre. Attendre et espérer.
Les larmes.- Spoiler:
Tu sens la liberté qui te reviens. Tu l’as sens ? Cette liberté qui t’est chère. Cette liberté qui t’est due. Et cette liberté d’où la sors-tu ? De l’amitié ? Du bonheur ? De l’amour peut-être ? Oh oui, l’amour m’a donné la sensation de liberté. L’amour m’a donné l’impression d’être invincible, poussée par mes rêves. Et lorsque ce dont tu as cru se brise, il n’y a plus de retour en arrière possible. Les larmes, toujours les larmes. Elles ont remplacé mes rêves. Comme si elles voulaient laver les souvenirs douloureux. Les souvenirs noirs... Les souvenirs d’un temps heureux. Un temps bercé dans l’utopie et dans les mensonges. Garde ta naïveté, garde-la précieusement. Essaye de préserver la liberté de ton cœur. Avant que l’ombre et la tristesse t’entravent de leurs chaines. Car moi je suis enchainée. La tristesse me ravage. C’est comme un feu, brulant, dévorant, qui torturerai mon corps, mon âme. Et mes larmes incessantes essayent de le faire taire. Mes larmes sont mon seul réconfort. Comme je jalouse ces temps heureux ! Surtout garde ton ignorance. La vérité est bien trop sèche, trop douloureuse, surtout pour celui qui aime. Surtout pour celui qui rêve. Et comme j’ai rêvé souvent ! Et comme j’ai aimé ! Comme je l’ai aimé... Et je crois que je l’aime encore. Malgré tout. Et cet amour qui me donnait la liberté me fait maintenant suffoquer. J’aimerai m’en débarrasser mais il persiste, l’amour est plus fort. Je souffre. Je hurle intérieurement cette douleur. Pourquoi ? Pourquoi a-t-il fallu que ça se termine comme ça ? Parce qu’un jour ou l’autre, les rêves s’envolent. Parce que la vérité réclame son dû. Parce que la mort réveille à la réalité. Brutale. Et je me retrouve seule. Seule face à mon désespoir. Dans les ténèbres de la peine. Ne t’avais-je pas prévenu ? Préserve ce qui te reste de pureté, de naïveté, reste dans le mensonge. Peut-être seras-tu sauvé. Peut-être même seras-tu épargné. Mes larmes ne cessent toujours pas de couler. Pourquoi faut-il que je vois son corps, inerte ? Pourquoi ses yeux sont ternes, sa peau, froide ? J’aurai voulu qu’il reste avec moi plus longtemps. J’aurai voulu qu’il ait le temps de m’embrasser, tendrement, délicatement. J’aurai juste voulu avoir le temps de le serrer dans mes bras et de lui murmurer : « Je t’aime. »
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| | | Aryana Chouchou
Messages : 5627 Date d'inscription : 02/01/2011 Age : 26 Localisation : Dans le palais fleur
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Jeu 5 Juil - 11:19 | |
| Ouah. Bon, désolée de voir ça aussi tard, hein ! ^^'''' Tu me connais..>> J'adore les deux. Je pensais préférer "Vide", mais au final, c'est dur de choisir... Le premier est très "pensées" alors que le deuxième plus tournées sur le dialogue, l'amertume. J'adore! | |
| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Dim 8 Juil - 18:54 | |
| Merci beaucoup ! =D C'est pas grave pour le temps^^ | |
| | | Aryana Chouchou
Messages : 5627 Date d'inscription : 02/01/2011 Age : 26 Localisation : Dans le palais fleur
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Dim 22 Juil - 17:54 | |
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| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Lun 15 Oct - 22:24 | |
| Bon ben, ça fait un moment mais voici un nouveau texte ! Fait à l'instant donc je ne peux pas encore savoir si je le trouve bien ou pas^^' Ceci n'est pas un poème.- Spoiler:
Ce n'est pas un poème. Ce n'est pas un roman. Je le sais. Je devrais le savoir. Mais pourtant les histoires m'emportent. Et le "si seulement j'étais...." m'envahit. Je ne fais que rêver. Rêver d'un monde meilleur. D'un monde où j'aurai ma place. Fait d'aventures, de magie, d'amour... Et je me dis que ce serait bien. Oui, ce serait bien. Si seulement... Mais le monde n'est pas un roman. Et à cause de mes rêves, je me ferme à ce monde. Je me ferme et j'oublie tout. A part mes rêves. Et je m'enfonce encore. Encore plus. Finalement je me réveille. Et je souffre. Comme à chaque fois. Peut-être même plus qu'avant. La réalité me fait mal. La réalité me frappe. Et au lieu de l'accepter, au lieu de me sauver, je fuis de nouveau et je me ferme. Encore. Mais ça ne peut plus continuer ainsi. Parce qu'il faut que je pense à vivre. Enfin. A vivre réellement.
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| | | Aryana Chouchou
Messages : 5627 Date d'inscription : 02/01/2011 Age : 26 Localisation : Dans le palais fleur
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Mar 16 Oct - 19:38 | |
| Très touchant et fin, je l'aime beaucoup ! | |
| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Lun 5 Nov - 19:29 | |
| Merci ! =D En voilà un nouveau, j'ai essayé un autre style (enfin, on voit quand même ma façon d'écrire dedans^^') =) : Je me souviens qu'on dansait.- Spoiler:
Je me souviens que je tournais. Je me souviens de son rire. Du mien mélangé au sien. Je me souviens être tombée dans ses bras. Je lui écrasais les pieds parfois. On dansait. Je me souviens qu'on dansait. Je me souviens du bonheur qui m'enveloppait. Je me souviens que je ne voulais plus lâcher sa main. A jamais. Oui, je me souviens de ces quelques pas de danse avec lui. C'était magique. Je me souviens de son sourire. Je me souviens qu'il était beau. Que je me sentais belle. Belle en tournoyant toute la nuit, me laissant guider par ses gestes. Je me souviens de la musique. Elle était belle. Aussi belle que ce moment. Je voulais que ça dure éternellement. Je me souviens être tombée amoureuse. De lui, de la danse, de l'amour. Je me souviens. Je me souviens parce que c'était beau. Je me souviens qu'on dansait. A deux.
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| | | Rushire Client de prestige
Messages : 2157 Date d'inscription : 09/04/2010 Age : 28 Localisation : Gakuen Alice
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Lun 5 Nov - 21:08 | |
| L'avant-dernier est très joli!! et le dernier aussi *o* Ps: c'est comme dans le dessin, on impose sa patte même quand on veut changer le style xD | |
| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Lun 5 Nov - 21:46 | |
| Merci beaucoup !
Ouais, c'est exactement ça :p | |
| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Sam 12 Jan - 1:04 | |
| Allez, quelques nouveaux textes ! (bon, je vous rassure, je ne suis pas dépressive^^') Un océan de larmes.- Spoiler:
Je sens les larmes couler. Couler à flot. Plus rien ne peut les arrêter. Elles ravagent tout sur leur passage. A un point où je ne me souviens même plus de qui je suis, d'où je viens. La seule réalité qui me vient c'est cette immense tristesse semblable à un océan. Un océan de larmes. Je ne sais même plus qui j'aime, qui je hais. Tout se confond, tout se mélange. Je ne ressens plus que ce désespoir dévorant. Est-ce donc ça, la réalité de la vie ? Plus rien d'autre n'a d'importance. plus personne n'existe. Il ne reste que moi. Face à elle. Tout change. même la perception de la vie. Avant, elle était pour moi un soleil éclatant. Maintenant, ce n'est plus que de l'eau, qui jamais ne s'arrête de s'écouler. Comme mes larmes. Mes larmes de regret, de peine et de désespoir qui ne s'arrêtent plus de couler. Juste parce que je t'ai perdu, toi.
Toi, le bonheur.- Spoiler:
Aurai-je un jour la chance de t'apercevoir ? Le vent souffle sur moi. Le froid de l'hiver est comme une morsure sur ma peau. Le souvenir d'un espoir m’étreint. J'ai tellement attendu. Tellement guetté ta silhouette dans le noir. Mais jamais je ne t'ai vu. Je marche doucement sur la neige épaisse. Mes pas transpercent le silence. Je marche toujours à ta recherche. J'ai placé tous mes rêves en toi. Juste en toi. Je resserre mon écharpe, enfonce mon bonnet. Mes mains sont froides. Aussi froides que mon cœur. J'attends la chaleur de ton étreinte réconfortante. Est-ce qu'un jour je pourrai y goûter ? La vue est magnifique. Le blanc de la neige recouvre tout. Comme un voile protégeant un bien précieux. Tu étais mon bien précieux. Et pourtant, je te connais si mal. Tu n'es plus qu'un souvenir qui s'accroche à moi, gravé dans mon âme sombre. Je marche toujours vers cette lumière. Peut-être que cette fois je te verrai ? Je ferme les yeux. Respire. Je me sens émue, juste maintenant. Quelque chose se passe. Peut-être que quand j'ouvrirai les yeux je pourrai t'effleurer ? Je les ouvres, doucement. Mais je ne te vois pas. Évidemment. J'aimerai pourtant tant vivre à travers toi. Toi, bonheur. Déjà, tout s'efface.- Spoiler:
Chaque jour est un pas de plus vers l'enfer. A chaque pas je m'éloigne de la lumière. Bientôt, je ne l'apercevrai plus. Bientôt, j'oublierai son éclat. Chaque mot sonne comme un regret, chaque parole comme un adieu. Je suis loin de bonheur d'autrefois. Ces jours heureux je peux les oublier. Car si ce souvenir reste, les ténèbres n'en seront que renforcés. N'en seront que plus cruels. Ce destin funeste me rattrape petit à petit. Je ne peux plus me voiler la face. il ne me reste plus qu'à accepter et oublier. Car je suis trop faible pour me battre. Trop faible pour trouver l'espoir. A quoi ressemble la lumière ? Déjà, je ne m'en souviens plus. Déjà, tout s'efface. Chaque jour me rapproche de l'enfer. Est-ce aujourd'hui que je sombrerai ?
Toujours seule.- Spoiler:
J'aurai aimé que quelqu'un me prenne dans ses bras. Ressentir la douce chaleur d'une étreinte. J'aurai aimé pouvoir me confier à quelqu'un. Alléger, ne serait-ce qu'un peu, le fardeau pesant sur mes épaules. Le fardeau de la peine et de la solitude. Oui, je suis seule. Et la profondeur de mon chagrin est immense. Il ne me reste plus qu'à me recroqueviller sur moi-même, dans un coin, et pleurer toutes les larmes de mon corps. Et dans ce petit espace où les ténèbres semblent s'avancer vers moi, je ressens ce désir de ne plus être seule. La douleur me fait suffoquer. Depuis combien de jour suis-je comme ça, à pleurer ? Seule, dans les ténèbres de mon âme, je ne sais plus rien. Il ne reste que la solitude. Écrasante. Je pleure. Encore. J'espère que cela pourrait alléger ma souffrance. Même si j'en doute. J'aimerai que quelqu'un se penche vers moi. Quelqu'un pour me faire sourire, pour me rassurer. Quelqu'un qui s'intéresserait à moi. Mais je suis toujours seule. Je reste transparente. Et je me sens sombrer.
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| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Sam 2 Fév - 22:54 | |
| Bon ben... Pas de commentaire mais je mets un nouveau quand même ! Un plus joyeux cette fois ^^ Déclaration.- Spoiler:
Je t'aime. Je ne veux pas juste sortir avec toi, non, je t'aime. Vraiment. Jamais je n'ai eu le courage de te le dire, ni même de te l'écrire. Je t'aime. Chaque fois que je ferme les yeux, ton image s'impose à moi. Chaque fois que je laisse mes pensées libres, elle vont vers toi. Je t'aime. Passionnément. Je ne sais pas pourquoi, mais c'est comme ça. Chaque fois que je te vois, j'ai envie de t'enlacer, de t'embrasser. Je t'aime tellement. Et quand je vois cette fille tourner autour de toi, je suis jalouse. Terriblement jalouse. Parce que je t'aime. Choisis-moi. Aime-moi. Je voudrai te rendre heureux comme tu me rends heureuse. J'aimerai t'apporter cet amour sincère, sans détour. J'aimerai que tu m'aimes autant que je t'aime. Parce que c'est plus beau que tout. Mais surtout parce que je ne pourrai plus vivre sans toi. EDIT 8/02/13Un peu plus long celui-ci et un peu moins joyeux ^^ Amoureuse de toi.- Spoiler:
Des fois j’ai l’impression que tu n’en as rien à foutre de moi. Des fois j’ai l’impression que tu ne me vois même pas. Je suis triste, blessée, souffrante, amoureuse… Amoureuse de toi. De ton corps, de ton caractère, de ta manière d’être. J’aime tes qualités, même tes défauts, je t’aime tout entier. Mais toi, toi tu ne sais rien. J’ai envie de courir vers toi, de t’enlacer, de t’embrasser, de te dire « je t’aime ». Mais je ne peux pas. Parce que je ne suis rien pour toi. Je suis triste, blessée, souffrante, amoureuse… Amoureuse de toi. Ce n’est pas que j’en ai eu envie, ce n’est pas que je l’ai décidé. Mon amour pour toi s’est imposé en moi. Et je ne peux rien faire contre. J’aimerai que tu me regarde des fois. J’aimerai que tu me désire, que tu m’aimes, que tu ne puisses plus te passer de moi. Mais bien sûr, ce n’est pas le cas. Je suis triste, blessée, souffrante, amoureuse… Amoureuse de toi. Ça me fait de la peine de te voir avec d’autres. De te voir loin de moi. Pourquoi n’arrive-je pas à t’atteindre ? Pourquoi n’ai-je pas la force d’aller vers toi ? J’ai l’impression d’être faible. Faible face à toi. Je ne suis rien, rien pour toi, juste une fille comme les autres, juste une fille sans intérêt. Je suis triste, blessée, souffrante, amoureuse… Amoureuse de toi. Pourquoi ne peux-tu m’aimer ? Si seulement tu savais… Si tu savais tout ce que je ressens… Peut-être que ça changerait quelque chose. Peut-être que ça changerait tout. Mais jamais je n’oserai, jamais je n’oserai te dire combien je t’aime. Vas-y, je t’en pris, demande-moi de t’embrasser. Aime-moi. Désire-moi. Fais de moi ce que tu veux. Je suis toute à toi. Je suis triste, blessée, souffrante, amoureuse… Amoureuse de toi. S’il te plait, ne me laisse pas comme ça… Ne me laisse pas sans toi. Je suis si démunie. J’ai l’impression qu’il me manque une partie de moi quand je ne suis pas avec toi. Pourquoi est-ce arrivé à moi ? Pourquoi je suis tombée amoureuse de toi ? Je ne sais pas, je ne pourrai pas le dire. Ça me fait souffrir. Tu ne peux même pas imaginer à quel point. A quel point être loin de toi me fait souffrir. Mais je me résigne parce que jamais tu ne m’aimeras. Je suis triste, blessée, souffrante, amoureuse… Amoureuse de toi.
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| | | Emiri-chan Patronne
Messages : 9101 Date d'inscription : 20/02/2010 Age : 29 Localisation : Sur le nuage magique !
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Jeu 7 Mar - 1:03 | |
| J'ai tout lu aujourd'hui. Vers les premiers j'ai été émue et j'ai versé de petites larmes puis après je me suis habituée au ton triste et mélancolique de tes écrits. Ils m'ont permis de te découvrir, car je ne me serais jamais doutée que tu ressentes tout ça. Ce que tu écris me parle beaucoup, j'ai vécu certaines choses que tu as décrites. Bon il y subsiste quelques clichés mais c'est pas bien grave, puisque ce sont tes ressentis. J'espère que tes prochains écrits seront plus joyeux, même si la réalité de la vie nous empêche de goûter au bonheur. | |
| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Jeu 7 Mar - 17:23 | |
| Merci beaucoup Emiri-chan ! C'est clair que si on les lit d'affilé, ça revient toujours au même plus au moins ^^ C'est vrai que quand on me voit comme ça, on peut pas se douter que je traverse des moments difficiles comme cela ^^' Je suis très contente que tu ais pu t'identifier à certains de mes textes (bon, je devrais pas en fait parce qu'ils sont presque tous triste en fait^^') et que tu ais pu ressentir les émotions que j'essaye de faire passer. Merci beaucoup ! J'espère aussi pouvoir écrire des textes joyeux un jour ^^' Enfin, ici, trois nouveaux, malheureusement, loin d'être joyeux non plus ^^' - Peur :
J'ai peur. Peur qu'il soit passer à autre chose, peur que ce soit trop tard. Je le sens qui s'éloigne petit à petit et ça me frustre. Je l'aime. Je ne veux pas le perdre alors que je croyais vraiment que ça pouvait marcher entre nous. Ça me rend tellement triste ! Alors j'essaye de ne pas y penser, d'oublier le plus possible. Moi qui m'imaginais déjà lui avouer mes sentiments... Maintenant, je n'en ai plus le courage. Parce que je sais que lui ne m'aime pas. Qu'il s'en fou totalement de moi. Et ça me fait mal. Terriblement mal. Je veux que ça cesse. Je veux le voir pour me rassurer. Pour me dire que je me suis trompée. J'ai peur. Peur parce que j'ai encore de l'espoir. Peur que cet espoir soit anéanti.
- Appel d'espoir :
Je te sens si loin de moi. Ressens-tu ce manque ? Ce manque qui me dévore et me consume ? J'ai peur de te perdre. J'ai peur de t'avoir déjà perdu. Pourquoi ne réponds-tu pas à mes appels ? Pourquoi est-ce de plus en plus difficile pour moi d'y croire ? Croire que tu pourrai m'aimer, que tu attacherai de l'importance en moi. Je t'aime. Mais j'ai l'impression que déjà, tu m'oublies. J'ai l'impression que tu es passé à autre chose alors que rien n'a eu le temps de débuter. Pourquoi faut-il que je souffre tant de tes absences ? Du vide que tu laisses en moi ? Je voudrai tellement te prendre dans mes bras, me rassurer ! Mais au fond de moi, je sais que tu es déjà parti. Tu es déjà loin. Et je suis seule. Pourtant, je ne peux m'empêcher d'espérer. Je ne peux pas me faire à l'idée que tu m'aies déjà oubliée. Alors, dis-moi, est-ce déjà trop tard ?
- Rage :
La vie. Qu'est-ce que la vie ? C'est un ensemble de déceptions, de rage, de douleur, d'amour, de regrets... J'en ai marre de cette vie. Je rate tout ce qui est important à mes yeux. Perdu l'amour, incapable de réaliser mes rêves, mes ambitions... J'en ai marre de rester dans ma chambre sans pouvoir rien faire. Je n'ai plus rien pour moi. Je me désintéresse de tout. Pourquoi réussir, travailler, si ça ne m'apporte rien ? Aucune fierté, aucun espoir. Je ne vois pas pourquoi je continuerai à lutter pour quelque chose qui ne compte pas pour moi. J'enrage, seule, enfermée chez moi. Je n'ai plus aucun but. Rien qui me raccroche à la vie, rien ! Alors pourquoi, hein, pourquoi ? Pourquoi faire des efforts alors qu'il n'y a personne pour s'en intéresser ? Je tombe dans l'oubli.Si je n'étais plus là, personne ne s'en apercevrait. Et la vie continuerait son cours. Je ne suis rien. Rien de plus qu'une poussière. Chacune de mes espérances m'a porté un coup, me détruisant petit à petit. Je suis brisée.Brisée ! Et il n'y a personne pour répondre à mon cri.Personne pour entendre mon appel. Je n'en peux plus de cette rage qui me consume. J'ai beau crier, elle ne part pas. Ne m'abandonne pas. N'y a-t-il pas quelqu'un qui pourrait m'aider ? Quelqu'un qui pourrait s'arrêter, juste un instant, et me demander sincèrement : "Est-ce que ça va ?". Non, il n'y a personne. Personne d'autre que moi. Mais même moi je me désintéresse de ma vie.Cette vie pourrie dont je ne veux plus. Parce que l'espoir a laissé place à la déception. Parce que toute ambition a été exterminée. Parce que la rage a remplacé tout le reste. Me laissant là, vide, sans avenir, comme un déchet qu'on jette. Alors, la vie n'est plus rien. La vie est inutile. Alors, je ne suis plus rien. Je suis inutile.
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| | | Emiri-chan Patronne
Messages : 9101 Date d'inscription : 20/02/2010 Age : 29 Localisation : Sur le nuage magique !
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Dim 10 Mar - 14:04 | |
| De rien.
Je m'identifie à tes trois derniers écrits, heureusement pour les deux premiers je n'en souffre plus mais pour le dernier, j'y suis encore par moment. | |
| | | ♥Mikan-chan♥ Client de prestige
Messages : 2056 Date d'inscription : 15/08/2011 Age : 26 Localisation : Dans la cabane de Mr Bear ...
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Lun 8 Avr - 17:55 | |
| Ah là là les textes sur l'amour .. J'en fait des tonnes quand je m'ennuie (Donc surtout en étude haha' :p) En tout cas, je me retrouve un peu dans tes textes, parce que je ressens la même chose que toi Continue comme ça | |
| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Lun 8 Avr - 18:43 | |
| Merci beaucoup ! ♥ Ha ha, souvent, moi je fais ça chez moi ^^
(tu fais ton comeback sur le fo ? =D) | |
| | | Aryana Chouchou
Messages : 5627 Date d'inscription : 02/01/2011 Age : 26 Localisation : Dans le palais fleur
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Lun 8 Avr - 19:30 | |
| (comeback à répétitions..x') ) C'est sur que la tristesse et le désespoir (où tu vois de la mélancolie, toi...? ^^' ) sont très présents, mais on ne désespère pas de voir ton espoir tenir un jour pour de bon !<3 Le premier et le deuxième se ressemblent beaucoup, j'ai pensé à une suite, mais le troisième est rageur..peut-être pas assez ? J'ai bien aimé !
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| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Lun 8 Avr - 20:14 | |
| Merci ^^ Même si je ne suis pas vraiment sûre que l'espoir arrivera maintenant...
Oui, en fait, j'ai fait les deux premiers l'un à la suite de l'autre ^^'
Oui, sans doute pas assez, mais j'avais du mal à augmenter le ton de la rage par écrit. | |
| | | ♥Mikan-chan♥ Client de prestige
Messages : 2056 Date d'inscription : 15/08/2011 Age : 26 Localisation : Dans la cabane de Mr Bear ...
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Mar 9 Avr - 17:26 | |
| comeback = ? | |
| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Mar 9 Avr - 17:28 | |
| Bah, t'étais fort absente non ? En tout cas, ça faisait longtemps que je ne t'avais pas vu sur le fo', alors je dis que tu es de retour, que tu fais ton comeback :p | |
| | | ♥Mikan-chan♥ Client de prestige
Messages : 2056 Date d'inscription : 15/08/2011 Age : 26 Localisation : Dans la cabane de Mr Bear ...
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Mar 9 Avr - 17:34 | |
| Ah haha' ok x) Nan mais je comprenais pas le mot "comeback" je suis nulle en anglais | |
| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions Mar 9 Avr - 17:36 | |
| bah ça veut dire "venir en arrière", "revenir" quoi =) | |
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| Sujet: Re: Mes textes : des sentiments, des émotions | |
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