La larme du debutant

C'était un samedi, nous jouions dans le parc ou nous jouions tous les week-ends. Ses jours là n'étaient pas comme les autres, et il ne le sera jamais. Ces les jours ou mon meilleur ami, m'annoncer qu'il devait quitter la ville, et déménager...
Depuis, 6 ans sont passés lentement, me rappellent de la promesse de ses jours là, " Natsumi, je te promettent de revenir bientôt, dès que je peux je reviens ici et je te retrouverais. Je te le promets Natsumi!' ces mots, jamais je ne les aie oubliés, jamais je n'ai oublié son visage, son odeur, sa voix.
Pourtant, je ne me rappelais plus de tous les moments passés ensemble, il s'effacer, comme si on effacer mes souvenirs avec un vieux torchon pour me souiller de nouveaux souvenirs, qui me rendraient moins heureux.
Depuis ses jours, il y a 6 ans, je ne souris plus, ou du moins comme avant, je ne m'amuse plus. Je n'ai même plus goût à la vie. Pourtant, juste après son départ, je suis rentré en CM1 et je mais suis faits beaucoup d'amis, mais tous insignifiants pour moi. Non, je ne voulais pas d'eux il me fallait LUI et personne d'autre, je ne voulais pas d'amis qui ne tenaient pas à moi comme lui, qui joue avec moi comme lui, qui soit comme lui. C'était lui ou personne d'autre.
-Madame Valencis, votre fille a comme qui dirait quelque difficulté a bien écouté en cours. Je suis souvent obligé de la reprendre et ou de la "réveiller". Je ne peux accepter un comportement tel que celui-ci en classe. Vous comprenez? Dit le professeur, assis devant la dame.
-Oui, j'ai très bien compris monsieur Dante. Mais que puis-je faire pour qu'elle puisse ne pas retourner dans la lune? Nous ne pouvons rien monsieur.
Voilà le sujet de toutes mes années passé a l'école. Plusieurs psys, plusieurs médecins, plusieurs professeurs, mais pour quoi faire? Moi tout ce que j'attendais c’était son retour.
Je marchais dans la rue, essaye de me souvenir du temps où il était encore auprès de moi, quand il me tenait le bras et me disait " Natsumi! Natsumi! Tu viens on va au parc?'


'Natsumi! Attend moi' "Natsumi..." plus j'essaie de me souvenir, plus cela m’effacer, pourtant je ne voulais pas que cela s'efface de ma mémoire, contre rien au monde je n'effacerais ces doux souvenirs de ma mémoire.
-Attention!
je tournai un peu la tête vers la personne qui venait de me crier dessus. Je vis une voiture s'approcher de moi, elle me foncer droit dessus, ne pouvant m'éviter, et ne pouvant l'éviter.
Ce garçon m'attrapa et me tirait vers lui de justesse. Le visage m'était impassible, je n'avais même pas froncé un sourcil.
-Mais tu es folle ou quoi?! Si je ne t'avais pas tirée tu serais morte, tu veux mourir ou quoi??! me cria le garçon.
-Oui.
Le garçon stoppa net, il me défigura, la bouche un peu ouverte et les yeux demandent "quoi . Répète s'il te plaît'. Il secoua la tête pour voir si cela était vrai puis me redéfigura.
-Je m'appelle Viencent Hatsuno, et toi?
-... Je m'appelle Natsumi Valencis.
-Nastumi Valencis? La Natsumi qui est l'ami d'enfance de John Kiler?
-Tu connais John? Qui es-tu? Où est t-il? Dit moi tout ce que tu sais s'il te plaît, je veux vraiment le revoir, je veux entendre sa voix, je veux qu'il me tienne... comme avant.
-Entendre sa voix? Cela sera un peu difficile, car vois-tu, John Kiler... a été assassiner.
Cela n'était pas possible, j'avais mal entendu c'est tout, il ne pouvait pas être mort, pas encore. Il m'avait promis, il l'avait promis qu'il reviendrait, il avait promis de revenir, et il est mort? Cela ne pouvait qu’être un stupide mensonge de son par, cela ne pouvait qu’être sa.
Nous avons continué à discuter, enfin plutôt lui. Il me raconta que John avait été retrouver, mort cher lui coucher sur le sol baignant dans son propre sang, et qu'il n'avait pas retrouvé le meurtrier. Que cela fait 2 mois qu'il était mort et qu'il avait retrouvé une lettre disant qu'il devait aller à Kyôto pour trouver une fille du nom de Natsumi Valencis pour lui donner une lettre. Puis il sortit la lettre et me donna son numéro, pour


que je puisse le recontacter si je voulais plus de renseignements.
Il quitta le banc ou nous Étions assis, puis il partit direction la gare,
Je restai assise longuement, regarde cette lettre qui m'était destinée. Que pouvait telle bien contenir?
Quel secret garder telle? Pourquoi cette lettre na telle jamais été envoyer et pourquoi été t-il mort? La vie en valait telle la peine? Sa vie, étais-ce vraiment son moment? Et la mienne dans tout ça? Maintenant qu'il était mort, plus rien de me ne faisais rester sur cette terre.
Je pris mon courage à deux mains, je voulais savoir ceux qu'elle contenait, mais je ne pouvais la lire ici, la nuit tomber doucement et mes parents auraient été inquiets si je n’étais pas rentrer.
Arriver à la maison, ma mère me sourit en posant la même question "Comment a été ta journée?" jamais je ne répondais vraiment à cette question si futile. Pourtant je lui en répondais, pour poser cette éventuelle question.
-Maman, tu le savais n'est-ce pas? Tu le savais... qu'il était mort?
Ma mère baissa les yeux, détournant la question, elle se forçait à sourire. Je ne pouvais rester là en me disant " pourquoi né mon ton rien dit? Suis-je la seule qui n’étais pas au courant?' Impossible à savoir sans demander.
-Tu le savais?? Et vous, vous ne m'aviez rien dit? Vous pensiez vraiment que jamais je ne l'aurais sus et que j'aurais abandonné? Vous me décevez vraiment. Je... Je vous déteste tous!
Puis je partis en courent, pleurent sur mon passage, 6 ans, 6 ans à l'attendre pour me dire qu'il était mort? Cela n'était qu'un terrible cauchemar dont j'allais me réveiller n’es-se pas
Je sautai dans mon lit, tenant sa lettre dans ma main, la calant contre ma poitrine, qui ne faisait que souffrir.
Je me couchai sur le dos et levai la lettre pour voir de qu'elle contenait. Je soufflât un peux et commença à ouvrir cette enveloppe qui contenait la dernière lettre de John.
Je l'enlevai précieusement, je ne voulais pas l’abîmée.
"Chère Natsumi,
Je ne sais pas quand tu


Recevra cette lettre, mais cela sera sûrement trop tard pour moi.
Je ne sais pourquoi, mais quelqu'un me suis en ce moment, il me guette ou que je sois
Je t’écris cette lettre pour te mettre en garde, et te donne ceci.
Ce pendentif mon été offert par ma mère, il est dans ma famille depuis plusieurs générations.
Nous l'offrons à la personne que nous aimons le plus au monde. Je n'ai pus te l'offrir il y a 6 ans, car je ne comprenais pas encore mes sentiments. Mais finalement je les compris et je veux te dire que tu es la personne qui conte le plus pour moi.
Je veux aussi te dire que tu es en danger. Quelqu'un te surveille aussi, je ne sais pas trop ce qui se passe mais je sais que l'on veux ma mort.
Il est trop tard pour moi, le moment est bientôt venus, je suis désolé de ne pas pouvoir exaucer ma promesse, mais la mort se rapproche.
John Killer"

Quoi? Quelqu'un le suivait? Impossible et quelqu'un m'est aussi? Mais pourquoi? Je n'ai rien à cacher. Et pourquoi ce pendentif?
Je regardai le pendentif, puis je décidai de téléphoner à Vincent pour lui demander conseil.
Quand je l'appelai, personne ne répondu. Il ne devait pas être cher lui ou il ne devait pas m'entendre. Il se faisait tard, il devait déjà être 22 heures, et demain j'avais cours.
Je n'arrivais pas à fermer l’œil, tous ce que j'avais appris aujourd'hui me bouleverser. Lui mort, moi surveiller, que pouvais-je faire? Faire comme si de rien était? Cela était peut-être la solution. Mais qui aurait cru que je serais surveillé? Et surtout pourquoi?
Le lendemain je me réveillai, j'avais réussi à fermer l’œil que très tard dans la nuit. Je me levai et je partais directions le lycée. Le chemin me semblât plus long, beaucoup plus long. Pourtant c'était bien le même chemin que celui que j'avais pris encore hier dans la matinée.
Tout me semblât diffèrent, la cour, le lycée, les gens, les arbres


Pourtant rien n'avait changé, mais moi oui. Un groupe d'élèves me regarda, je partis en leurs directions, ils furent surpris que je me joigne à eux. Que me rester-t-il de cette vie?
Une chose me venu a l'esprit, on me suivait, et il le suivait. J’étais la prochaine non? Alors je devais tout faire pour éviter de rester seul à ne serait-ce qu'un moment. Il me restait une chose sur cette terre. Découvrir la vérité.
-Eh! Natsumi, comment vas-tu?
-Oh? Tu as changé quelque chose sur toi? Tu as l'aire plus... libéré.
-Eu? Non pourquoi?
-Tu es plus belle comme sa je trouve...
Ils me souriaient, je les avais minoré pendant 6 ans, et il me souriait comme si on était tous mais depuis longtemps.
Pour une fois depuis 6 ans, la lumière rentrait dans mon cœur pour étinceler mon visage.
Je ne mangeais plus seul, je ne partais plus seul, mais je ne faisais que les "emprunter" à mon usage.
Je savais qu'il me fallait découvrir la vérité, alors je partis au point de rendez-vous fixé avec Vincent pour parler de cette mystérieuse lettre.
Au point de rendez-vous, Vincent m'attendait déjà, le rendez-vous été fixe dans une vielle gare au plein sud de Kyoto. Il y avait quelques carreaux cassaient et du lierre traverser les fenêtres. Quelque pousse de violette et de lilas, et des fenêtres reboucher. Les murs d'un beige pâle avec un toit rouge oranger par le soleil tapant, tous laisser penser qu'elle avait été abandonne.
Nous nous assîmes l'un à côté de l'autre. Il me regarda calmement, comme s'il savait déjà ce que j'allais lui dire. Le savait-il vraiment? Seul lui pouvait me le dire.
Il ses rapproché rapidement de moi, je ne m'en rendis pas compte car j’étais perdu dans mais penser.
Il ses rapproché et commença a essayé de s'emparer de mes lèvres. Je le repoussai violemment et le regardai. Je tremblais de tous mes membres, la rougeur sur mon visage me brûler les joues, impossibles de bouger. Que venait-il de ce passe? Avait-il réussi a m'embrasser?
Je poussai un crié effroyable, toute la faune


du entendre ses cris épouvantable ce qui les fut fui.
Les tremblements empiraient, impossible de bouger d'un pas. Il me regarda, avec un petit sourire sur son visage. Mes yeux d'une claire tremblée de peur, il le fixait avec une terreur que je n'imaginais pas. Que m'arrivait-il?
Après quelques secondes, je me retournai brusquement et je courus aussi vite que je le pouvais, je courais aussi vite que mes jambes me le permettaient. Mes cheveux d'un brun si pur semblait s’être ternit. Mes yeux qui avaient un éclat orangé, venaient de disparaître comme une petite brise de printemps.
Je courais, mais ou allais-je? Rien d'ici ne me rappeler ne serait-ce qu'une seule rue. Je m’étais sûrement perdu. Je n'avais pas un sens de l'orientation très fin, et je ne savais encore moins me situer dans un moment de panique. Cela devait faire vingt bonnes minutes que je courais, et mes jambes commencer seulement à sentier une grosse fatigue arrivée. Je m'arrêtai, impossible de faire un pas de plus, je m'écroulai à terre et je soupirai d'un gros coup. Il se faisait déjà tard, mes parents devaient s'inquiète, et pour la première fois je n'avais pas mon téléphone sur moi. Je devais l'avoir laissé avec mes affaires dans le vieux gars abandonner. Mais qu'allais-je faire? Il m’était impossible de faire un pas de plus, et j’étais collait contre un mur à moitié endormie.
Un jeune homme se dirige vers moi je crois. Je ne voyais plus très bien et tout tourner dans ma tête.
Je me rappelle de lui avoir dit "aider moi" mais plus rien après. Que venait-il de m'arriver?
Je me réveillai le lendemain, dans un endroit que je ne connaissais pas. Ou étais-je? Pas dans ma chambre, ça c'était sûr. La porte s’ouvrait, se pouvait-il que se soit Vincent qui revenait à la charge? Je pris le coussin qui me servait d'oreiller comme protection. Cela ne me prote gais pas beaucoup, mais c'était déjà quelque chose contre lui.


La porte s'ouvra peut à peut pour laisser place a... un inconnu. Un jeune homme de 20/22 ans tout au plus, d'un blond si clair et ces yeux bleus d'un cristal étincellent. Mais qui était-il?
-Eu? Eu qui... où... dis-je d'une voix tremblante.
-Je m'appelle Jonathan Bottar, je vous ai retrouver par terre à moitié morte. Vous trembliez de tous vos membres et vous m'avez dit "aider moi", vous étiez apeuré et aviez l'aire de fuir quelque chose. Comme je ne savais pas où vous habitiez je vous ai ramené chez moi, me disait-il d'une voix calme et serraine.
Je le croyais, que pouvais-je faire d'autre? Il m'avait sûrement sauvé la vie, Vincent ne m'aurait sûrement pas aidé été ne m'aurais pas loupé.
-Eu. Merci monsieur Bottar, je vous suis très reconnaissante de m'avoir sûrement sauvé la vie.
-Mais appelle-moi Jonathan voyons, et tutoie moi s'il te plais-je ne suis pas si vieux que sa je n'ai que 21 ans quand même.
-Ah! J'ai oublié de me présenter. Je m'appelle Natsumi Valentie et j'ai 15 ans et suis en première année au lycée Detweur.
-Le lycée Detweur? OK. Veux-tu quelque chose à manger ou bien à boire?
-Non merci Mons... Jonathan, je vais retourner de ce pas cher moi. Mes parents doivent terriblement s'inquiéter.
-Très bien mais, dit moi. Où habites-tu?
-Au centre de Kyôto, vers Michibuta.
-Quoi? Mais ces vraiment très loin. Tu es sur de pouvoir t'y retrouver seul? Tu ne veux pas plus tôt que je te raccompagne?
-Eh ben...
-Très bien je t'accompagne.
Je ne connaissais pas cet homme, pourtant il apaisait mon cœur comme s'il était mon John. Pourtant ce n'etais pas lui. Cela m'attrista un peu de me rappelles de John, mais je me disais qu'il ne fallait pas que j'oublie mon défi, découvrir la vérité sous le meurtre de John.
Jonathan marchait à côté de moi, me faisant quelque sourire gai de temps à autre. Ces yeux brillaient d'un éclat pur et innocent.

Nous marchions tranquillement quand Vincent me vit. Il nous suivit, ce qui me fit perdre confiance, je commença à me mettre à trembler, mes jambes ne bougeaient plus et mes yeux se remplissais de terreur. Ma tête se baissa, impossible de le regarder en face. Il souriait narquoisement, ces yeux d'une malice profonde remplir ces yeux noirs foncer d'un gris claire. Mon geste si subitement terrifier n'échappa pas à l’œil de Jonathan. Il me regarda et vit Vincent s'approcher de moi. Il commença à froncer les sourcils et ces yeux se remplir de vigilance, il savait qu'il devait faire attention à ce jeune homme.
Jonathan s'approcha de moi et me pris par l'épaule, il me colla contre lui et me fit marcher tranquillement. Vincent regardait la scène avec rage. Impossible d'en rester là avec lui. De la haine entra dans ces yeux. Il aurait pu faire peur à n'importe quels enfants, mais Jonathan ne le regardait pas et l'ignora totalement, juste pour l’agacer encore plus. Il me souriait d'un petit sourire tranquille, ce qui m'apaisa aussitôt. Je lui rendis le pareil et un petit sourire sorti de mon visage de zombi.
Jonathan venait sûrement de me sauver la vie, et il ne demandait même pas une ombre d'explication. Il était vraiment très gentil et super cool.
Il me ramena jusqu'à la porte, puis entra avec moi, je ne pouvais pas le laisser partir alors qu'il venait de me sauver la vie. Habituellement mes parents n'étaient pas là. Mais là ils attendaient impassiament quelque chose. Ils étaient inquiets et remplissent de terreur à l'idée que leur fille avait disparu.


-Maman... Papa?
Mes parents me sautereau coud, ils étaient heureux que je sois belle et bien vivante, et en un seul morceau. Mais mes parents virent Jonathan qui regardaient la scène un peu plus loin. Les yeux de mes parents foncer au noir, se demandent qui était-il et que faisait-il avec moi.
-Maman, Papa, je vous présente Jonathan Bottar, il m'a hébergé pendant la nuit quand je me suis perdu dans le sud de Kyôto. J'avais perdu mon téléphone et je ne pouvais pas vous joindre, et comme je n'avais pas d'argent je ne pouvais vous prévenir que je dormirais cher quelqu'un. Je suis vraiment désolé de vous avoir inquiété. Mais ne lui en voulais pas s'il vous plaît, il m'a aidé alors qu'il ne me connaissait pas et...
-Ce n'est pas si important Natsumi, le plus important ces que tu sois en un seul morceau, mais ne nous refait jamais une telle frayeur! Me disait ma mère sur un ton inquiet.
-Madame, Monsieur, Natsumi, je vais vous laisser dans vos retrouvailles.
-Mais non reste Jonathan, je voudrais te remercier en te préparent quelques gâteaux et du thé si Maman veut bien, dis-je.
-bien sûr, pas de problème pour moi.
-Mais non je ne veux pas gêner cette retrouvaille si touchante.
-Mais reste mon garçon puisque l'on te le propose.
Jonathan regarda mes parents avant de me regarder, et aquiesa d'un petit oui de la tête.
Tout ce que je voulais pour l'instant, c'était découvrir la vérité, et qu'il reste près de moi.