Textes en vrac

c'est le néant, les gens se parle sans se parler. L'envers est endroit. dans cette endroit sans envers, des boule de feux brulent pour l'infini. A jamais. Qui est capable de tuer l'énergie ? tous.

Ces énergie sont dans le néant du néant. elles sont déja morte, et meurs a nouveau.
Où sont elles ?
dans tout les monde elles n'existent plus. Dans les non mondes elles n'existent plus.
où sont elles passé ?
si ce n'est dans le néant du néant, perdu a tout jamais dans l'obscurité lumineuse... Elles sont néant.

c'est l'histoire d'une énergie venu dans le réel par un monde qui ne l'ai pas, ce monde c'est le monde où le zéro et l'infini ce confonde,

ce monde où seul l'énergie est maître, est imance et minuscule ,
cet énergie que rien n'arrête, cette énergie qui est plus lumineuse que la lumière, plus doré que l'or, plus fluide que le fluide lui même, cet énergie ne connait aucune limite elle est infinie certain l'apelerons amour ou espoir et elle, elle vie dans les ténebre ce monde de tout et de rien, ou on passe du sombre au claire, du blanc au noir. ce néant qui ne connait ni temps ni espace, ce néant ou subsite dans le froid glacial des tunel de lumière infinie qui si ils existé eclaterai la réalitée même, pourtant ce monde est partout et nul part. c'est le monde inépuisable où tout est possible. ce monde existe et n'existe pas.

il y a un sens qui fait de nous des homme : le toucher.

l'homme qui n'a jamais était pris dans les bras d'une autre personne devient fou, ce n'est plus un homme, c'est un monstre qui n'a besoin que de la chaleur de l'humanité. cet homme aura froid dans le desert de la solitude. Et il aura chaud, même si il fait -50°c, juste en aient une personne. pas 2 juste une lui suffise, a cette homme. et cette personne il l'aimera du fond de son coeur. elle lui aura fait prendre consience qu'il n'était pas un monstre. que se sont eux les monstre. Ceux qui s'oppose a ce qu'il prène quelqu'un dans ces bars quand il est mal. Ceux qui refusent qu'il soit humain. Et un brave humain, un humain qui connait la valeur de 2 personnes qui se tiennent dans la main pour se relever, ou encore celle de deux humains qui mutuellement se sèchent les larmes. ils souffrent. il le voit. il trouve ça magnifique cet humain... et d'autre ne passent qu'en lâchant un regard méprisant sur le couple qui sèche ses larmes. Mais lui qui est si seul, il trouvent cet instant tellement beau et se met lui même a pleurer. mais cet humain si seul au monde.

qui viendra sècher ces larmes ?

Quand le rouge et l'amour du coeur est emprisonné par les chaine noir et la haine du pique
la haine et l'amour mélangé dans les yeux,
la haine et l'amour dans le creux de la bouche
un mélange de bien est de mal
des humain sans instinct
la surface remplie de haine
la profondeur rempli d'amour

la protection pour prendre du plus
la protection pour garder du plus
la protection pour donner du moins

une vie le coeur emprisonné dans un conflit entre haine et amour

Le jus de cet infâme poison qui coule de ce monde essoré comme une serpillère. Ce poison si lourd et si pesant, si dure et insensible à l’opposé de la vie comme une antimatière qui vous frôle. Vous sentez cette noirceur, cette froideur, cet horreur. Regardez autour de vous, tant d’amour sont tombés, tant de vie ont été ruiné, tant d’âme on désespérer. Il y a des monstres tapis dans les ténèbres de vos entrailles.

La puanteur d’une âme en décomposition rode. Sentez la peur, ce vent glacé dans votre dos. Il n’y a rien, rien que le vide et vous-même perdu dans un océan obscur. L’embrun de ce poison se tapit dans vos narines. Vous ne pouvez le voir en face, mais vous le sentez. Il emplit vos poumons et se retrouves dans votre cœur. Il réveil la bête infiniment maléfique enfermer là. Vous ne pensez plus à rien, vous n’êtes juste que de l’antimatière, la bête du vide avide de haine. Peut importe le nombre de vie que vous allez prendre, vous êtes possédé par ce poison. Il circule dans votre sang, s’accroche à vos tripes jusqu’à éclaté, il vous consume, il consume tout autour de lui.  Rien ne peut l’arrêter, rien ne peut s’en défaire.

Ce poison aura fait dépérir des milliers de gens, comme des animaux  qu’on enferme. Depuis qu’il est arrivé sur terre, on ne jure que par lui. Il tue, bien plus que vous ne le pensez.  

Une demi-âme torturée s’en est allé le long d’une longue route, les jours, les mois les années on passer. Jamais elle n’as su se lever, à jamais enfoui. Rien n’est vivant, les cadavres sur le chemin étaient nombreux, rien ne se passait, le calme plat et pourtant un monstre avait envie de sortir un monstre si gentils. La gentillesse tue, la gentillesse était la torture de cet âme regardant le ciel au clair de lune. Il n’y avait qu’elle dans le froid, perdu à erré à jamais le long de cette route sinueuse. Devant elle le néant, autour d’elle la mort. Elle n’est qu’une âme que tout le monde ignore. Une âme qui ne demande juste qu’on la regarde, qu’on la comprenne et on l’écrase avec une fureur extrême. On cherche à la tuer, elle meurt, renait de ces cendres, mais jamais plus elle ne se réveillera, il n’y a qu’une lueur, une braise au fond d’elle. Elle qui était un feu magnifique, capable de réchauffé des milliers cœurs.  

Je  ne sais plus où je vais, je ne sais plus d'où je viens, c'est un mélange de toute les couleurs dans ma tête. Je ne vois que du gris, les couleurs si étincelantes autres fois se sont terni. Mon arc en ciel c'est transformé en brouillard, spectrale et fantomatique... passant d'une couleur à l'autre d'une façon qui m’éraye au plus au point. J'ai peur de l'avenir, peur du présent, peur de l'avenir. Je sent mon cœur opprimé, près à sauté, près à implosé. Mon cœur est en charpie, toute ces énergies qui résonne comme des harmonique et parte en résonance. Quand on vois les effet de cette dernière... c'est si dévastateur mais si agréable au début car on vibre.

Mon cœur se ré-accorde, mon cœur se reconstruit, mais il subit tant de pression. J'étouffe sous ce poids, j'étouffe sous cette force....

Je pense des blessure indélébile tel un anticorps. Je me tapis dans un monde qui n'est pas miens, dévorant la souffrance. Mais qu'es la souffrance ? Es ce cette choses qui nous rend triste et où sont ses barrière ? Entré dans un monde et s'y rependre OK, mais où ça mène ? Où ça s'arrête ? chaque monde est infini. Il y a un moment où on craque à la pression, notre propre pression, car 2 monde en un est impossible, mais on sait que l'infini est infini et que 2 fois l'infini est égal à l'infini. On me demande de comblé ces mondes. On me demande ça. Je relève le défis à chaque fois. Pour quoi ? Pour être emprisonné en ce monde. Il se défend. Je suis un virus, une entité maléfique pour lui. Et on me rejette une fois de plus... Je ne peut en supporté d'avantage. Mon monde est un chaos sur lequel je ne m'attarde plus, qui dépéri. Personne n'y viens, personne ne le vois, personne ne l'apprécie. J'en ai peur, je cours à l'aide de celui des autres. Je suis un jardinier des cœur meurtri par la souffrance. J'ai oublié qui j'étais. J'ai oublié ce que je suis. J'ai oublié ce que je serrais. Je suis un caméléon. Je m'adapte à tout. Je n'es pas de point fixe. Je suis libre, libre comme l'air mais putain que ça fait mal des fois.

Je  ne sais plus où je vais, je ne sais plus d'où je viens, c'est un mélange de toute les couleurs dans ma tête. Je ne vois que du gris, les couleurs si étincelantes autres fois se sont terni. Mon arc en ciel c'est transformé en brouillard, spectrale et fantomatique... passant d'une couleur à l'autre d'une façon qui m’éraye au plus au point. J'ai peur de l'avenir, peur du présent, peur de l'avenir. Je sent mon cœur opprimé, près à sauté, près à implosé. Mon cœur est en charpie, toute ces énergies qui résonne comme des harmonique et parte en résonance. Quand on vois les effet de cette dernière... c'est si dévastateur mais si agréable au début car on vibre.

Mon cœur se ré-accorde, mon cœur se reconstruit, mais il subit tant de pression. J'étouffe sous ce poids, j'étouffe sous cette force....

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Je pense des blessure indélébile tel un anticorps. Je me tapis dans un monde qui n'est pas miens, dévorant la souffrance. Mais qu'es la souffrance ? Es ce cette choses qui nous rend triste et où sont ses barrière ? Entré dans un monde et s'y rependre OK, mais où ça mène ? Où ça s'arrête ? chaque monde est infini. Il y a un moment où on craque à la pression, notre propre pression, car 2 monde en un est impossible, mais on sait que l'infini est infini et que 2 fois l'infini est égal à l'infini. On me demande de comblé ces mondes. On me demande ça. Je relève le défis à chaque fois. Pour quoi ? Pour être emprisonné en ce monde. Il se défend. Je suis un virus, une entité maléfique pour lui. Et on me rejette une fois de plus... Je ne peut en supporté d'avantage. Mon monde est un chaos sur lequel je ne m'attarde plus, qui dépéri. Personne n'y viens, personne ne le vois, personne ne l'apprécie. J'en ai peur, je cours à l'aide de celui des autres. Je suis un jardinier des cœur meurtri par la souffrance. J'ai oublié qui j'étais. J'ai oublié ce que je suis. J'ai oublié ce que je serrais. Je suis un caméléon. Je m'adapte à tout. Je n'es pas de point fixe. Je suis libre, libre comme l'air mais putain que ça fait mal des fois.