Aryana's Angels

Rappel du premier message :

02/02/2013
Je sais, ça fait longtemps..
Petit texte sur mon rapport quelque peu compliqué à l'écriture, qui m'est tombé dessus aujourd'hui.

L’écriture, c’est un paradoxe. Une amie qui trahit, un médecin qui tue. Un mélange d’haine et d’amour.
Elle est attendue, souhaitée, portant des rayons lumineux à ceux qui ont touché son coeur, des tourments aux autres.
Chaque pas vers elle obsède, chaque pas vers elle fait reculer. Elle ne se laisse pas attraper avec un pauvre filet à papillon. Personne ne la piège, tout le monde est piégé.
Certain attrapent le syndrome de Stockholm et la veulent pour eux tout seul.
La femme de lettres n’apprécie personne, elle aime ou pas. Alors la femme de lettres n’apprécie personne tout en se laissant aimer.
Les autres veulent s’enfuir et se croient libérés de leur prison de papier. Une prison fragile, qui se brise si on lui en veut trop. Une prison tellement immense qu’elle semble vide. Une prison où s’enferment tous les sentiments des prisonniers. La femme a faim de haine, d’amour et de rancoeur, de tout ce qu’elle ne connait pas. Une fois qu’elle y touche, plus jamais on ne les revoit.
L’écriture est voleuse de sentiments. Un femme jalouse que personne ne peut attacher.


C’est l’histoire d’un ridicule petit être amoureux d’une étoile. Si brillante, si lointaine, si sournoisement belle qu’elle ne le laisserait jamais toucher sa lumière. Lui ne pouvait avoir que la noirceur qu’elle cachait aux autres moins pathétiques.
Mais lorsque la femme lui prenait ses mots, un sourire effleurait les lèvres de l’être solitaire. Et lorsqu’elle lui volait son essence, l’hypnotique ensorceleuse pouvait entendre un faible «merci».
Et ainsi le faible être de chair et d’os, abandonné par son étoile, attendait patiemment en fixant le ciel. Car après qu’elle lui ai volé pensées et sentiments, arraché chaque parcelle de son âme, la petite fille anesthésiée espérait qu’elle lui reviendrait.

15/08/2012 :
Poême pour le concours d'écriture de thème : Nos regards se croisent.

Spoiler:

2011 :Petit poême. Ames sensibles, vous pouvez vous abstenir..

Spoiler:

Et, aujourd'hui, sous vos yeux émerveillés .....MA PREMIERE COLORISATION !!!!! xD *trop fière pour ce que c'est ..^^''* (=> direct "les créations en pixels ! =P")

10/03/2012
Rédaction ...xD (oui c'es de la triche ! =P)

Spoiler:

je suis fière de toi aryanna !! entièrement d'accord avec kaede net tchiii001 (tchiii ton pseudo et t il du as elda/chii dans chobits ?)

Jusqu'à quand tu vas mettre deux "n", imbécile ? ^^'''''
Il faut que je mette on dessin, mais faut que tu me dises si il te vas ! ^^

Vas-y si je voulais pas que tu le mettes, je l'aurais pas posté :')

petitepommedu69 a écrit:

tchiii ton pseudo et t il du as elda/chii dans chobits ?

Oui^^

Message d'il y a longtemps :

Pomme-chan m'a fait découvrir Chobits, alors ce n'est pas à moi de parler de ce manga ! Grouille toi de revenir ! xD

Merci Ami-chama, je le mets tout de suite ! ^^


Maintenant !
J'ai essayé de me faire un nouvel avatar vie fait hier, et j'ai galéré ! xD
Et en plus, ça a donné un résultat pourri, va falloir que je recommence :
Essai 1: (mauvais format...x) )

Spoiler:

Essai 2 :

Spoiler:

Au final : Retour à la case départ, le reste n'allait pas avec.

Spoiler:

Rassure-moi tu comptes rechanger la taille après ? ...

Bien sur ! ^^
Et ce n'est pas pour ce forum, rassure-toi ! xD

c'est magnifique

Aryana je ne sais pas trop dans quoi déplacé ton topic. >'< Pourrais-tu me dire si tu veux garder cuila pour tes poèmes ou pour tes créas graphiques stp ? (Et oui, les vacances ça sert aussi à faire du rangement ! XD)

J'ai vu ça ...xD Garde le pour le littéraire ! ^^
Merki ! <3

Okai ! Et hop, déplacé ! ^^

Merki ! ^^

Je m'ennuie et j'ai pas d'idées là maintenant, donc je vous sort ma dernière rédaction ..x) (oui, c'est de la triche ! =P)
Le thème était : raconter un souvenir d'enfance de deux points de vue : celui que vous avez maintenant, et celui que vous aviez à l'époque ...^^'' (sujet POU-RRI ! En fait, je déteste tous les sujets de rédaction, en général ..)

Aujourd'hui, j'ai revu cette femme.
Cette femme-là, je ne connais d'elle ni son nom, ni son âge. En fait, je ne la connais pas. Mais je la vois.
Combien d'années a-t-elle passées à cet endroit ? Aussi loin que je me souvienne, je l'y ai toujours vue, dans un coin de cette place.
La vie frappe durement ceux qui, comme elle, ne peuvent pas se défendre.
J'avais quatre ans lorsque je l'ai aperçue pour la première fois. Je me promenais en ville, suivant gaiement mes parents et me demandant où nous allions arriver. Je suis arrivée sur cette place et elle était là. Plus jeune, certes, mais au même endroit. Assise dans sont trône de fer, impératrice d'un monde de solitude, elle régnait seule sur es quelques dalles où elle roulait misérablement, quêtant de quoi vivre.
" Pourquoi personne ne s'arrête ? " me demandai-je.
Elle était seule. Pourquoi personne ne semblait la voir, ni entendre ses cris silencieux? Je ne cessais de la regarder. Elle posa son regard sur moi et je reçus sa douleur comme une gifle à mon coeur de gamine. Mais le temps me rattrapa et l'on me tira loin d'elle.
Chaque fois que je la revis, cette scène me marqua et je ne pouvais m'empêcher d'accuser mentalement ce monde d'adulte qui ignorait ce corps blessé coincé dans un fauteuil roulant.
Aujourd'hui je suis retournée dans cette ville, à cette place. Elle y est toujours, un peu plus vieille, un peu plus triste. Une vague de résignation m'est tombée dessus et j'ai compris l'indifférence des adultes.
On ne peut pas sauver tout le monde. Même si c'est dur à admettre.
Aujourd'hui j'ai revu cette femme.
Et comme des milliers de gens avant moi, sous le regard accusateur d'un enfant, j'ai continué à marcher.

J'aime bien ton style d'écriture. ^^ Mais il est triste ton souvenir. =(

Merci..
Eh oui, je verse souvent dans le drame ..^^'

Nouveau texte, pour un concours d'écriture de ma soeur.
C'est un peu écrit pressée par le temps, je m'en excuse...
Le thème est : Nos regards se croisent.

Tes pas qui résonnent, pressés par la pluie
Mes doigts qui tremblent sur le béton trempé
Ta lumière qui éclaire chaque mur de ma nuit
Ma prison de ténèbres qui m'en laisse brûlée
Une vie pour une vie, je te donne la mienne
Vis pour deux, toi et la bohémienne
Va-t-en et laisse moi, moi le rebut
Nos regards se croisent, mais, n'ai crainte...ils ne se croiseront plus.

02/02/2013
Aujourd'hui, ma relation à l'écriture m'a sautée à la figure, d'où un texte encore court.

L’écriture, c’est un paradoxe. Une amie qui trahit, un médecin qui tue. Un mélange d’haine et d’amour.
Elle est attendue, souhaitée, portant des rayons lumineux à ceux qui ont touché son coeur, des tourments
Chaque pas vers elle obsède, chaque pas vers elle fait reculer. Elle ne se laisse pas attraper avec un pauvre filet à papillon. Personne ne la piège, tout le monde est piégé.
Certain attrapent le syndrome de Stockholm et la veulent pour eux tout seul.
La femme de lettres n’apprécie personne, elle aime ou pas. Alors la femme de lettres n’apprécie personne tout en se laissant aimer.
Les autres veulent s’enfuir et se croient libérés de leur prison de papier. Une prison fragile, qui se brise si on lui en veut trop. Une prison tellement immense qu’elle semble vide. Une prison où s’enferment tous les sentiments des prisonniers. La femme a faim de haine, d’amour et de rancoeur, de tout ce qu’elle ne connait pas. Une fois qu’elle y touche, plus jamais on ne les revoit.
L’écriture est voleuse de sentiments. Un femme jalouse que personne ne peut attacher.


C’est l’histoire d’un ridicule petit être amoureux d’une étoile. Si brillante, si lointaine, si sournoisement belle qu’elle ne le laisserait jamais toucher sa lumière. Lui ne pouvait avoir que la noirceur qu’elle cachait aux autres moins pathétiques.
Mais lorsque la femme lui prenait ses mots, un sourire effleurait les lèvres de l’être solitaire. Et lorsqu’elle lui volait son essence, l’hypnotique ensorceleuse pouvait entendre un faible «merci».
Et ainsi le faible être de chair et d’os, abandonné par son étoile, attendait patiemment en fixant le ciel. Car après qu’elle lui ai volé pensées et sentiments, arraché chaque parcelle de son âme, la petite fille anesthésiée espérait qu’elle lui reviendrait.