Number- Fanfiction Gakuen-Alice

Son quotidien est de voler les portefeuilles dans les métros, elle ne se souvient pas d'avoir eu une autre vie, on l'appelle Numéro 2 mais ce qu'elle ignore est que son vrai prénom est Mikan.
Sa meilleure amie est appelé Numéro 3 mais elle apprend que sa véritable identitée est Yukaoi, alias Aoi.
Dans son entourage, leurs identitées sont composé de numéros et de grades mais elle va vite apprendre la réalité autre part : À l'Académie.

-Numéro 2 ? appela le Chef.

Son vrai nom...enfin, c'est ce qu'il prétendait, était Klenrick Nedfors. Cela faisait maintenant un an que j'étais Numéro 2. Chez nous, c'était comme un grade. Je ne connaissais pas mon "prénom".
Le Numéro 1 est toujours la recrut la plus récente tendit que le Numéro 8 est la plus vieille. Bientôt il sera majeur, partira et laissera son Numéro à Numéro 7. Dans un an, un nouveau enfant égaré déstiner a devenir le futur Numéro 1 sera rechercher.
Klenrick Nedfors ( Qu'on appelle tous "Chef") est d'origine française et parle japonais, il nous apprends la langue française dès notre arrivée ici.
Je lui lançais avec habilité une lasse de billet et citais le montant :

- 100.00 Yens. ( Environ 975 euros.)
- Pas mal! Numéro 3 ?

Elle s'avança vers lui rougissante et déposa entre ses mains une lasse de billets soigneusement plié en deux et murmura :

- 60.000 Yens... ( Environ 585 euros.)
- Mieux Numéro 3 ! Numéro 4!

On sortit discrètement de la pièce. Numéro 3 était peut-être pas la meilleure mais elle restait de loin la plus intelligente d'entre nous! Elle est une surdoué, dit le Chef.
Ici, c'est notre repère, notre maison. Notre quotidien se passe dans les métros où l'on "vole" les potefeuilles. Pour moi, du moins que je m'en souvienne, sa a toujours été ma vie et sa a toujours été Aoi qui m'a contredit que cela était illégale!
Elle appelle cela le pickpocket.
Moi j'appelle sa la loi de la nature!
Je ne me souviens de rien d'avant mes 7 ans. Le Chef m'a dit que j'étais amnésique, que j'avais oublié. Il m'a dit que c'est Numéro 3 qui m'aurait trouvé dans la rue il y a 5 ans, seul, sans personne.
Numéro 3 m'a raconté qu'elle m'avait entendu et retrouvé à moitié brûlé, chancelante dans une rue malfamé et qu'elle m'aurait soigné... par son "alice".
Un dont inné qu'elle détenait depuis toute jeune, celui des flammes. Non, elle ne m'avait pas achevé en me brûlant, mais elle avait retiré les brûlure causé par les flammes puis avait fait appelle aux autres Numéros quit étaient devenu Numéro 6 et Numéro 8 à présent. Numéro 3 avait 6 ans (et cela faisait 2 mois qu'elle avait rejoint cette vie là) et mentalement elle en faisait déjà 8! Rien que d'y penser je me demande comment on peut-être aussi intelligente et charmante à la fois!

Elle m'avait appris qu'en réalité elle avait un prénom : Yukaoi, mais qu'elle préférait Aoi.

" Mais... c'est quoi un prénom? Et pourquoi tu préfère une autre forme que ce prénom? Et à quoi sa sert ? "Aoi" est un changement de grade ?"

Elle avait hoché négativement la tête avec amusement et m'avait répondu :

" Tu saura un jour"

Je ne comprenais toujours pas...
Depuis ce jours là, on avais été destiné à devenir Binôme pour la chasse au portefeuilles.
Numéro 3 m'a aussi raconter qu'elle c'était retrouvé ici, après avoir fugué à 6 ans! Elle était surdoué et je lui aurais donné 8 belles années mais quelle raison pouvait forcé à une fillette de fugué?
Elle ne me l'avait jamais dit, hélas, malgré notre amitié.
À présent j'avais 12 ans et elle en avait 11, cette année on était sur Tokyo et on passait la plupart du temps au métro.
J'avais appris facilement que les autres enfants, eux, passaient leurs temps à "l'école" pour "apprendre". Je n'en voyais pas l'utilité, il y avait les livres pour cela. Numéro 3 et moi, passions un peu de temps à la bibliothèque pour apprendre là bas, même si le Chef l'ignorait.

- Numéro 2 ? me demanda Numéro 3 quand nous fûmes monté dans une des petites chambres que nous partagions avec nos binômes.
- Oui ? souris-je de toutes mes dents à son attention.
- Tu avais l'air pensive, s'enquit-elle en s'asseyant sur son lit du dessous te attendant que je la rejoigne. Tu pensais à quoi?

Je secouais la tête avec amusement et m'asseyais à ses côté.

- Je pensais à notre rencontre... lui murmurais-je sur le ton de la confidence.
- Et ? s'impatienta-t-elle avide d'en savoir plus.
- Et..... tu est trop curieuse! finis-je par déclarer avec ironie tout en lui lançant un coussin.

Elle fit mine d'être éffarée par cette révélation et se jetta sur moi pour me faire des chatouilles savant pertinemment que j'étais craintive et c'était repartit pour des éclats de rire. Une minute après un coup à la porte se fit entendre et la voie étouffé de Numéro 6 résonna :

- Hé ! C'est pas finit là dedans?!



►


Comme toujours, Numéro 3 et moi nous séparions au croisement du métro et nous devions nous retrouvez dans 4 heure, à midi pile.
Comme tout les matin sa avait été : Levé 6 h. / Petit-déjeuner. / Rangement. / Douche froide./
La routine, une vie comme les autres pour nous les Numbers ( NDA - Surnom qu'ils se sont donné).
J'observais dans la foule, j'identifiais, j'assimilais le moindre de leurs geste puis je la vis. Elle. La personne qui regardais autour d'elle avec nervosité, qui gardait un bras près de sa poche.
Je pris une moue des plus enfantines et me fondie dans la foule.

Il était déjà 11h et j'avais déjà vidé 3 poches. L'un d'entre eux m'avait profondément déçus mais peut-être qu'avec une ou deux proies de plus...
Cela faisait maintenant dix minutes que j'observais, encore et encore. Une d'entre elles attira mon attention. Il était bien vêtue, oui, un peu space avec son sac-à-main mais il avait l'air tellement...naïf. Il abordait un grand sourire du genre "La Vie Est Belle" avec un panneau sur le front marqué "Proie Facile Libre Service, Servez-Vous Mes Amies". En espérant qu'il n'ait pas attisez la convoitise d'un autre videur de poche!
Je suivais la personne avec un éloignement abordable, pour ne pas attirer son attention, la mine pensive comme toutes les jeunes de mon âge. Il y avait peu de monde à cette heure-ci, la majorité travaillait et il en fallait de peu pour qu'il me suspecte...
J'attendais le moment opportun, il attendait le métro tendit que je restais derrière, contre le mur, près d'un distributeur. Une annonce passa, prévenant l'arrivé du métro dans une minute et lui, écoutait cette annonce avec ce même enjouement.
Maintenant !
Je glissais ma main vivement et habilement sans le toucher dans son sac à main mais tout aussi vivement il m'attrapa le poignet.
Non.
Impossible.
Je restais immobile, les membres tendus prêt a m'enfuir mais il me tenait fermement.
La première chose que l'on nous avais appris à faire était de ne jamais se faire prendre, sous aucun prétexte.

" ... sinon vous finirez seul, sans personnes, et on vous enfermera "

Quelques regard suspicieux se posèrent sur nous et le jeune homme (il doit avoir dans les 26 ans) restait avec ce sourire. Il posa un regard sur moi et déclara dans un soupire d'éxaspération :

- Combien de fois tais-je dis de ne pas tripotez mon sac-à-main ? Je sais, il est beau... je t'en achèterais un pour ton anniversaire, d'accord ?

... Hein ?
Aussitôt les personnes se désintéressèrent vite de nous et le jeune homme m'entraina dans les escaliers vide du métro. Il se tourna vers moi avec un sourire dont je ne pouvais identifier la signification.
Dans tout les cas, il n'avait pas l'air énerver... Mais venait-il de me sauver en faisant croire que...?
Mais pourquoi?

- Alors ? chantonna-t-il. Qu'avons-nous là ? Une jeune petite voleuse ?
- ...

Je ne répondait pas, je n'avais pas le droit d'adrésser la parole à un inconnu, surtout lui! Il ignora mon silence et continua :

- Dans tout les cas, ne devrais-tu pas être en cours ?

Je restait muette tendit que les mots me revint en tête.
"Enfermer".
"Seul".
Il allait appeler les hommes en uniforme en leurs dire de...m'enfermer. Numéro 3 aussi? Nan, pas elle.
Le jeune homme du comprendre ce que je m'apprêtais à faire car il posa un doigt agile sous mon menton et souffla :

- Reste ici... Je ne peu pas te laisser partir sans te donner un petite leçon. D'accord ?

Sa voie sonnait suave, plus douce... et une envie irrésistible de rester ici me submergea...
Comment ?!
Aussitôt, une sorte de barrière projeta cette sensation en dehors de mon subconscient tel un bouclié.
Je clignais plusieurs fois des yeux et fusillait du regard le jeune homme avant de prendre les jambes à mon coup non sans avoir au passage prit son portefeuilles. J'ignorais sa voie qui me hélait en vain et tirais un vieu téléphone-portable de ma poche pour avertir Aoi de me rejoindre. Elle était déjà là quand j'eus rejoins le croisement, l'air inquiète. Je lui fit signe de se dépêcher et nous sortîmes toutes les deux du métro avec hâte et arriver dehors nous repriment notre souffle.

- Numéro...2 ? Que...se passe....t-il ? haleta-t-elle épuisé par cette course.

Je lui fit signe que je ne voulais pas en parler. J'avais honte.
Même si j'avais eu le portefeuil, j'avais rater une mission pour la seconde fois de ma vie après que l'on m'ait prévenus.
Et on m'avais épargner.

►


- Monsieur le Directeur, je suis venu ici pour vous faire part de quelque chose. Je suis tombé accidentellement sur une jeune fille dans le métro et... j'ai utilisé mon alice sur elle. Mais celui là n'a eu aucun effet comme avec Elle.
- En effet, je vois. Mais en êtes-vous sûre? Peut-être cela viendrait-il de vous?
- Sans aucun doute Monsieur. Je n'ai jamais eu de problèmes avec.
- Alors que faites-vous encore ici ? Si ce que vous dites est vrai alors elle doit être transférez ici immédiatement. J'ais un rendez-vous cependant alors vous pouvez disposez.
- Et en ce qui conscerne le badge... ?
- Je vous en restiturait un autre.
- Bien Monsieur.

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Voilà le premier chapitre, j'éspère qu'il vous a plut et qu'il est a été à hauteur de vos attente!
Touts commentaire et critique vis-à-vis de ce chapitre sont les bienvenus.
Avec toute mon amitiée,
Tsurakia

Je ne me souvenais plus de comment on faisait pour ressentir les sentiments.
C'était un vide totale, un gouffre, mais elle a toujours été près de moi pour me guider.
" Quand on est heureuse on sourit ! "
Elle avait joint ses paroles au geste en souriant de toutes ses dents puis m'avait regarder droit dans les yeux pour ajouter :
" Souris aussi pour tes proches, car il y a des personnes qui n'y arrivent pas."
J'avais acquiser mécaniquement, en signe de compréhension et avais immiter son sourire. Voyant le résultat elle avait pincer les lèvres, l'air réfléchit.
Comment réparé un coeur glacial, vide de sentiment comme le mien?
Je n'étais qu'un corp vide.
" Que ressens-tu ?"
Que ressentais-je éxactement? Je n'en savais rien.
Elle m'avait appris à ressentir les choses, à être triste, joyeuse, sereine, anxieuse...
Toutes ces choses là, je les lui devaient.
" Un miracle", avait-elle sourit.
Elle m'avait redonné vie.

Aoi...

J'ouvris les yeux, sentant une luminosité présente. Le trop de lumière agressa aussitôt mes yeux que je refermis aussitôt. Des points de lumière apparaissaient à travers mes paupières que je clignais délicatement pour m'y habituer. Finalement, je les ouvris avec précaution et trouvais un visage concentré à quelque centimètre du miens. Abasourdie, je restais figé, les yeux grand ouvert. Je ne comprennais pas...Qui était-elle ?
La jeune femme afficha ensuite un grand sourire chaleureu et souffla d'une voie chantante un : "Je reviens tout de suite!" avant de s'en aller en sautillant.
Je ne la connaisait pas ! Sa, j'en étais certaine !
Je fixais le plafond voûté, d'un blanc cassé. Je sentais quelque chose d'étrangement moelleu sous moi, comme si j'étais sur un nuage. Je bougeais mes jambes engourdis pour m'asseoir et me massais soignesement l'épaule droite avant d'observer la pièce. J'étais dans une chambre lumineuse, assise sur un lit. Le papier peint de la pièce était d'un violet très clair. Je vis à ma gauche une porte ouverte que la dame avait du oublier de fermer, laissant apparaitre un couloir blanc et face à moi , un meuble blanc aux poignets de tiroir violet assortient au mur. À ma droite se trouvait une grande fenêtre aux rideaux légèrement transparant, laissant apparaitre de là où j'étais la vue d'une forêt avec un ciel bleu dégagé. On devait donc se trouver à un étage asser haut...
Je m'approchais dela fenêtre, tentant d'identifier où j'étais ... Je voyais quelques personnes en uniforme entrer, certains même soutenuent par d'autres personnes. Ils avaient l'air tous mineur...
Soudain, les faits de la veilles me revinrent en mémoir. J'étais partis fair les courses, avais faillit finir emmener par des jeunes saoul et m'étais fait sauver par "lui", le jeune homme du métro à la tête de "Proie Facile"... Il avait parler d'une académie et Numéro3 avait tout manigancer pour m'amener à lui... Puis je m'étais enfuit et m'étais cogné contre...un mur. Il y avait l'histoire du portefeuil. Son portefeuil se trouvait dans mon manteau. Où est-il en plus? J'observais mes vêtements qui étaient qu'une simple robe de chambre blanche à noeud rose et une paire de chaussettes. Dans mon manteau il y avait aussi la photo... Où est-il ? Et où me trouvais-je ?
J'entendis un bruit de pas lent, l'air flâneur, s'approcher de la chambre où je me trouvais. J'apposais les paumes de mes mains sur le rebord de la fenêtre, le corp tendu, aux aguets. Malgré tout je pivotais mon visage vers la porte ouverte pour voir qui sa pouvait être. Un jeune en uniforme apparu, les cheveux noir de jais à moitié cacher sous un bonnet et les mains dans les poches de son uniforme noir et beige...
Remarquant mon regard quand il passait par le couloir il cligna une fois des yeux et tourna son visage vers le miens et me détailla avec un étonnement non feint. Il posa des yeux rond sur moi avec un "Hm?" étonné.

- Je t'ais déjà vus ? s'étonna-t-il tout en restant à l'entrée l'air songeur.

Je clignais plusieurs fois des yeux, étonné par sa familiarité innatendu.

- Je ne pense pas, fis-je en détournant mon regard gêné. Mais...sais-tu où on est ? ajoutais-je avec éspoir.

Il me regardait comme si je venais de sortir tout droit de nul part et son regard s'illumina d'une compréhension soudaine.

- Aaaaah, t'es nouvelle ! s'agita-t-il avec un grand sourire chaleureu qui me détendit de suite. On est à l'Académie Alice.

Ces mots eurent l'éffet d'une bombe dans mon subconscient. Cet homme a l'air idiot avait donc profiter de mon...évanouissement pour me rammener illico-presto dans cette Académie. Qui se trouve à...?

- Et c'est où sa ? demandais-je abasourdie tel un robot, comme à l'époque où je n'avais plus de coeur.
- À Tokyo, répondit-il hésitant, s'attendant surement à ce que je m'évanouisse d'une seconde à l'autre.

Il entra dans la chambre pour se tenir face à moi et plonger ses yeux dans les miens, à quelques centimètre de mon visage.

- Heeeey... Sa va ?
- Tout va bien, murmurais-je. Je me retrouve juste tout d'un coup dans une académie qui se trouve à Tokyo, ce qui veux dire à des milliers de kilomètres de chez moi, après avec découvert que j'avais un sois-disant "don" tout comme mon amie qui avait manigancer cela. Sinon, à part sa, tooooout va bien...

Il me regarda étonner, et se mit à rire de mon histoire. Maintenant que je venais de dire tout celà à voie haute, je trouvais celà aussi asser irronique comme situation, comme si je me trouvais dans un manga ou dans la fanfiction d'une auteur sadique. Je me mis à rire avec lui, prenant en compte qu'au moin j'étais tomber sur une personne sympa qui était autre qu'Aoi. Pour la première fois de ma vie, je riais, face à une autre personne. Il tapota soudain mon épaule avec un clin d'oeil, ce qui me troubla intèrieurement car je n'avais pas l'habitude de tel familiarité.

- Toi, tu es une fille vraiment pas banal !
- Un compliment?
- Yes! lança-t-il en levant le pouce suivit d'un large sourire.

Je souris à mon tour quand une voie m'interpella en lançant un "Numéro2 !" soulagé. Je reconnaitrais cette voie entre mille.
C'était le jeune homme du métro et de la nuit dernière avec sa chevelure dorée et son sourire niai. Il était suivit de la jeune femme qu'il congédia d'une voie charmeuse. Elle avait rougit avant de sortir avec empressement.

- Ooooh, s'étonna-t-il ravie. Tu as fait la connaisance du jeune Andò!
- Où est mon manteau, coupais-je me contrefichant de ce qu'il disait.
- Dans une des poubelles-rheu qui on dut être vidée il y a ....15minutes! Pourquoi? sourit-il innoscemment.
- Qu-quoi? fis-je d'une petite voie les yeux bordées par les larmes.
- Mais...j'ais vidé les poches du manteau et mit la photo sur la table de nuit de ta chambre! sourit-il victorieu.

J'ouvris de grand yeux brillant d'éspoir et inspectait la table de nuit de la chambre sous tout les angles de mon regard analysant, sans rien trouvé.
Le rire du charmeur retentit.

- Pas dans cette chambre. Là on est à l'hôpital ! Mais dans TA chambre qui se trouve au dortoir des primaires! Par contre mon portefeuil je l'ais gardé!

Je me détendis aussitôt, n'ayant que fais attention au fait que ma photo était en sécurité. Le portefeuil, il pouvait se le garder.
"Andò", lui, me regardait avec incompréhension.

- Tu avais le portefeuil de ce prof perver?
- Perver ? m'étonnais-je.
- Oh! Que de grands mots ! Tout sa parceque je suis beau!

"Andò" me tira près de lui pour m'éloigner du professeur "perver".
Moi, je le détaillais, ce prof, avec attention.

- C'est vrai, il est beau, analysais-je comme on le faisait pour résoudre un calcul.
- Tu vois ? sourit le prof avec son sourir éternel.

Un silence régna et le professeur "perver" claqua des mains.

- Alors Numéro2 ! Bienvenu à l'Académie Alice! Un lieu où tu pourras déployer ton alice sans te cacher et où tu te ferras des amis comme avec Andò!

Des amis? Comme lui? Et mon alice?

- Je n'ais jamais eu à devoir cacher mon alice car je n'en connaisais même pas l'éxistence hier soir, précisais-je.

Le professeur se décomposa et "Andò" se mit à rire avec un "Bien joué petite" qui m'était adréssé.

- Oui, c'est vrai, avoua-t-il avec un sourire embarassé. Tu as besoin qu'un autre alice soit déclenché pour utiliser le tien! C'est l'alice d'Annulation qui consiste à te protéger et à annuler les autres alices.

Oh...
Bizarrement, je n'étais pas trop emballé.
Car à cause de sa, j'étais ici.

- Je ne peux pas rentrer chez moi ? demandais-je.

Un silence embarassé prit place.

- Non, les visites éxterieur sont la plupart impossible jusqu'à la fin de tes études. Il est très rares d'en avoir le droit... Et tu es une alices, ce qui veux dire que tu es aussitôt inscrite dès que l'on t'as identifier comme tel. Il n'y a pas de traitement de faveur concernant celà.

Je me pétrifiais. Numéro3. Où était-elle ? Devrais-je leurs dire qu'elle aussi était une alice..? Non. C'était un secret, je lui avais promis de ne rien dire. Et si elle aurait voulu venir ici, elle serait venu. Mais pourquoi m'avait-elle attiré vers eux, sachant que l'on serait séparé ?!
On étaient amies, même plus que de simples amies, on étaient casi-fusionnelle. Elle avait recréer mon coeur après m'avoir trouver...
Quelqu'un m'attira contre lui. C'était mon "nouvel ami ?".

- Narumi ! Regarde ce que tu as fait! Elle pleure maintenant.

Je remarquais seulement maintenant les larmes humide sur mes joues.

- J-je veux retourner chez moi...

Retrouver Numéro3, aurais-je aimé ajouter.

- Numéro 2, ce n'était pas un endroit pour toi là bas...

Il avait l'air sérieux. Je reniflais bruyament alors Narumi me tendit un mouchoir que j'acceptais avec joie. Je me mouchais bruyament et jettais le mouchoir dans la poubelle.

- Compris? s'enquit M.Narumi. Ici, on est comme une famille! Et tu as Andò !

Narumi me souriait grandement. Bizarrement, j'avais confiance en lui. Je tournais mon visage vers Andò, qui me souriait aussi avec chaleure.
J'avais confiance en Aoi, alors si elle avait tant voulu à ce que je vienne ici, sa devait être pour une réelle raison.
Je resterais ici, jusqu'à ce qu'elle vienne à moi où qu'elle m'appelle.
J'avais confiance en elle, alors autant le lui montrer.
Narumi comprit à mon air ce qu'il voulait voir et écarta les bras avec un :

"-Bienvenu à l'Académie Alice ! "


►


Narumi m'avait signalé qu'un de mes uniformes était dans le deuxième tiroir alors que les autres étaient dans ma chambre. J'avais petit-déjeuner en retard et Narumi m'avait expliquer en quoi consistait une académie sous l'air étonné de Tsubasa qui devait me prendre pour une cervelle vide maintenant, ce qui était à moitié le cas.
Oui, il avait insisté à ce que je l'appelle Tsubasa et m'attendait en ce moment même devant la chambre d'hôpital le temps que je mettes mon uniforme de primaire*.
Dès que j'en fus enfin vêtue, je me détaillais dans la glace avec étonnement. C'était la première fois que je portais une tenue aussi...jolie. Et c'était un uniforme! Mes nattes étaient noué grâce à des noeud assortie à mon uniforme noir et rouge, aux motifs écossais identique à l'uniforme de Tsubasa. C'était gênant à l'admettre mais je me trouvais...mignonne. Je sortis de la chambre avec empressement, asser soulagé de sortir de cette pièce. Je trouvais Tsubasa à l'exterieur, adossé au mur. Il ouvrit de grand yeux en me voyant et lâcha un "Trop mignonne". Je m'empourprais.

- Merci, lui souris-je.
- Tu es tout aussi mignonne quand tu es gêné ma p'tite Kohai!
- K-kohai ? m'étonnais-je encore plus rougissante en constatant que cela voulait dire qu'il était donc mon Sempai.

Il sourit avec malice et m'explica ensuite qu'il devait m'ammener a mon bâtiment scolaire car il y en avait 3. Primaire/College/Lycée.
Mon professeur principal serait Narumi et je devais comme premier test m'entendre avec ma classe en une semaine.

- Une classe! m'étais-je éxclamer. Sa a l'air vraiment...bizarre !
- Tu n'es jamais aller à l'école?!
- Nan...pas concrètement.
- Bizarre! Et, pourquoi Narumi s'amuse-t-il à t'appeler "Numéro2" ?

Ce fut à mon tour d'être étonné.

- Hein ?
- Bah...c'est bizarre comme surnom x)

On arrivaient à ce moment là face à un grand bâtiment, dresser face à nous. C'était...gigantesque!
Il n'y avait personne autour, on auraient dit que c'était désert.

- Ils sont tous en cours, m'expliqua Tsubasa-Sempai en remarquant mon regard perplexe. Les cours ont commencer il y a 10 minutes !

J'acquiseais vivement avec un sourire et toute fébrile, me dirigeais à ses côtés au bâtiment. On finient par nous engoufrer dans les multiples couloirs richement décorer avec un air rassurant.
On s'arrêta face à une porte. On pouvait entendre les rires et les cris éxité de quelques élèves qui devaient être de vrai boules d'énergie sur pate. Le son d'un objet se renversant me fit sursauter.
Tsubasa-Sempai se mit à rire en voyant ma tête.

- Et encore, c'est une des classes les plus calmes de primaire, me confia-t-il avec un clin d'oeil.

Wow...Moi qui avais l'habitude du calme réglementaire et exemplaire chez nous, les Numbers, alors je n'immaginais pas... Etait-ce pire que dans les métros?
Que me conseillerait Numéro3?
" Numéro2 ! Souris, quoi qu'il arrive !"
Un sourire s'afficha aussitôt sur mon visage et Tsubasa-Sempai m'adressa un clin d'oeil encourageant avant de frapper à la porte.
Un "Entrez" bafouiller et presque innaudible se fit entendre et , sur de lui, Tsubasa entra, ce qui fit que je le perdis de vut.
Les cris se firent entendre encore plus avant de se fondre pour faire place au silence curieux.
" Ah ! La nouvelle! Merci !"
Tsubasa resortit de la salle, m'adressa un nouveau clin d'oeil.

- Ils t'attendent! On se voit à la pause ! Ok ?
- Merci Tsubasa-Sempai! lui souris-je réellement reconnaisante en m'inclinant. Je vais faire de mon mieu!
- Sa c'est cool! ... Bon bah By, j'te laisse! S'il y a un problème, fais appel à moi!
- Merci! souris-je chaleureusement a mon nouvel ami.

Il me fit un petit signe de la main, l'autre fourré dans sa poche et s'en alla d'un pat nonchalant. J'inspirais profondément, me secoua rapidement et affichait un sourire confiant avant d'entrer dans la pièce.
La première chose que je vis fut la vingtaine de paire d'oeil posé sur moi, des dessins flottant dans l'air, et l'homme cache sous son bureau. Celui-ci, en me voyant, se releva avec un sourire désolé et tendit un bras vers moi pour que je montes sur l'estrade. Troublé par le dessin d'un monstre qui grogna à mon encontre je m'éxécutais et fit face à la classe.

- Bien, bien ! annonça le professeur. Je vous présente une nouvelle camarade, qui viens d'arriver : Mikan Sakura! Tu peux te présenter!

J'eu l'impression d'avoir reçu une décharge électrique dans le cerveau. Je savais : C'était mon prénom et mon nom.
Je ne savais pas comment mais je le savais. J'avais une identitée, tout comme Aoi?
"Mikan" ne voulait-il pas dire "Mandarine"? Et "Sakura", "Cerisier"?
Je trouvais cela, magnifique...
Alors je m'appelle Mikan Sakura mais aussi Numéro 2.

- Mikan ? ... Mikan ?

Je sortis aussitôt de mes pensées, des rirents fusèrent.

- Présentes-toi, répéta le professeur pour ma plus grande gêne.
- O-oui! Veuillez-m'excuser. Bonjour, je m'appelles ...M-Mikan Sak-Sakura!
- Hé! Je croyais avoir mal entendu mais ce n'était pas la fille disparu après un incendit, là? fusa une voie.

Des murmures avide et choqué fusèrent dans la pièce. Certains me regardaient avec étonnement.
Je me sentit devenir rouge et le professeur intervint aussitôt :

- Je ne pense pas que Mikan veuille en parler.
- Pfff! Elle n'a pas de langue ou quoi ? ignora une fille aux heveux boucler et a l'air félin. Pourquoi elle ne répond pas elle même quand on pose une question?
- Sumire!

Un silence se fit aussitôt. D'après ce que je pouvais voir, les élèves n'avaient pas l'hâbitude de recevoir une tel autôrité provenant de ce professeur.

- Et... quel est ton alice? osa avec hésitation une fille aux cheveux rose en me souriant timidement.
- L'Annulation, répondis-je aussi timidement ne sachant pas comment me comporter.

Les élèves murmurèrent entre eux, commentant ce que je venais de dire mise à part un duo de garçons l'air froid et désintérésser ainsi qu'une fille qui m'observait en silence.
Je croisais le regard de la fille. Elle avait des yeux violets et de court cheveux noir de jais. Elle tenait entre ses mains un petit oisillon électrique.
Je ne savais pas, mais j'avais l'impréssion que cette vie à l'académie serait asser révélatrice...


* [Au Japon la primaire se déroule en 6 ans.]