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| | Cauchemar. | |
| | Auteur | Message |
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Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Cauchemar. Jeu 8 Aoû - 22:57 | |
| Salut tout le monde ! J'ai enfin écrit ceci. C'est un cauchemar que je faisais très souvent quand j'étais petite. En fait, je le faisais assez régulièrement. C'est un cauchemar qui m'en apprenait beaucoup sur moi-même. Il commence dans un endroit que j'aime beaucoup. Les personnages qui sont dedans changent de temps en temps. Mais ce sont toujours mes plus proches amis. J'ai arrêté de le faire maintenant. La dernière fois que je l'ai fait, j'ai reconnu l'endroit, et j'ai fuis avant que tout ne se produise. Mais je regrette presque de ne plus le faire. Alors je l'ai écrit une fois. En décrivant ce qui s'y passe. Et maintenant, je l'ai écrit de nouveau, mais en l'interprétant comme une histoire. J'aimerai vous le faire lire, si ça vous intéresse =) - Cauchemar :
Un instant plus tôt, la gaité régnait dans la pièce. Un instant plus tôt, tout le monde riait, moi y compris. Nous vivions, tout simplement, heureux d'être là. Mais cela, c'était avant. Avant que la peur ne s'insinue dans mon âme. Avant que tout ne commence.
Nous étions dans le hall. Très grand, très spacieux. Le plafond était retenu par quelques colonnes. La salle n'était pas beaucoup meublée, des chaises, des longues tables, c'est tout ce qu'il y avait. Nous étions beaucoup, une petite cinquantaine. Je discutais joyeusement avec mes amis près de l'entrée. Nous étions quatre. C'est à ce moment-là qu'ils sont arrivés. Ils étaient assez nombreux. Je les voyais dans la petite allée qui menait à notre bâtiment. Tout de suite, un malaise grandit en moi. La tension montait. La peur s'insinuait en moi. Je regardais autour de moi, personne ne semblait remarquer le danger imminent. Que devais-je faire ?
_ Il faut fuir ! » Lançai-je à mes amis.
Ils ne comprirent pas tout de suite, mais la peur devait se lire dans mes yeux, car ils m'ont suivie sans poser de question. Je devais partir. Seulement, l'entrée était bloquée. Enfin, ils entrèrent. Des hommes tous pareils, habillés totalement en noir et ayant le crâne chauve. Était-ce déjà trop tard ? Non, je ne pouvais pas abandonner. Les autres commencèrent à comprendre le danger, plus ou moins. Les hommes tournèrent lentement la tête vers nous. Ils nous fixaient. Je ne pouvais pas soutenir ce regard. Un regard froid, cruel ; malsain. La peur. La panique. Cela montait en moi tellement vite que j'en avais mal à la tête. Il fallait fuir !
_ Venez !
Je couru, mes amis à ma suite. Avec un peu de chance, nous arriverions à nous cacher. L'important était de ne pas regarder en arrière. Un garçon, comprenant aussi la situation, nous suivit. Il avait l'air paniqué, terrorisé même. Je montai à toute allure les escaliers. En haut, nous étions dans un long couloir avec pleins de portes toutes identiques. Elles menaient d'ailleurs toutes à des chambres semblables les unes des autres. Enfin, aux yeux de tous. Car moi, je connaissais bien les lieux. Sans hésitation, je m'engageai dans l'une d'elle. Le garçon gémissait, de plus en plus fort. Ne pouvait-il pas se taire ? A ce rythme, les hommes nous retrouveraient !
_ Chut ! Soufflai-je.
C'est là que nous les entendîmes. Des hurlements déchirants. Et des bêtes rugissant. Ces rugissements étaient à glacer le sang. Ça ne pouvait venir d'aucun animal connu. Que se passait-il en bas ? L'horreur s'empara de moi. Ils étaient tous en train de mourir. Dévorés par des bêtes monstrueuses. Un instant, je ne parvins plus à bouger. En entendant ces bruits, le garçon se mit à crier de peur. Et je repris mes esprits.
_ Chuut ! Il faut rester discret !
Mais c'était trop tard. Déjà, j'entendais des bruits de pas venant à nous. Bientôt suivis par des pas plus rapides, plus bruyant encore. Et des rugissements excités. Ils arrivaient. Vite, sans plus attendre, j'ouvris le passage secret, un escalier étroit qui allait vers le haut. Je les fis tous passer, puis y allai à mon tour, prenant bien soin de tout refermer derrière nous. Nous étions dans un petit grenier au plafond très bas. C'était ma cachette secrète. Il y avait des coussins partout, pour rendre l'endroit plus confortable. Mais à ce moment, c'était angoissant plus qu'autre chose. Je fis comprendre à mes amis de rester calmes et de ne pas faire de bruit. C'était notre seule chance de nous en sortir. J'essayais de montrer l'exemple, mais j'avais extrêmement peur. Et si l'endroit n'était pas assez sécurisé ? Mon malaise grandissait. De nouveau, nous entendîmes les pas des hommes en noir et des reniflements bruyants, plus proche cette fois. Le garçon se remit à gémir. Fort, beaucoup trop fort. A nous quatre, nous essayions de le faire comprendre de se taire. Mais plus on essayait de le calmer, plus il gémissait. Et l'incontournable survint. Ils nous entendîmes. Les bêtes surexcitées grattèrent le mur où se cachait l'escalier, j'en étais sûre. Et puis, dans un grand bruit de fracas, le mur s'effondra. Et les bêtes déboulèrent dans la pièce. Ils étaient énormes. Hideux. Leurs mâchoires étaient immenses, prêtes à déchiqueter n'importe quoi. Ils peinaient à rester dans un espace si petit. Mais une bête parvint quand même à passer. La terreur me paralysa. Nous étions fichus. Mes amis aussi étaient terrorisés. La bête, plus que menaçante, rugissait à tout rompre. Enfin, je pu à nouveau bouger.
_ Vite ! Il y a une petite issue de l'autre côté ! Dis-je à mes amis.
Je me précipitai vers ce passage. En réalité, ce n'était qu'une petite fissure au sol, laissant à peine la place à une personne de se faufiler dedans. Elle menait à un escalier descendant, très mal en point.
_ Vite, vite, vite !!
Je laissai mes amis passer en premier. Quand vint mon tour, la bête nous aperçu enfin, le garçon et moi. Elle poussa un grognement victorieux. J'essayai de passer la fissure, mais je n'y parvenais pas. J'étais coincée ! La bête s'approchait de plus en plus, j'étais terrifiée. Je pleurais, je criais. C'était la fin. J'allais mourir là. Avec horreur, je vis la bête attraper le garçon dans sa gueule. Il poussa un hurlement effroyable, inhumain. Ça ne pouvait pas être possible ! Je pleurai encore plus fort. J'entendais ses os se broyer un à un. Il était mort à présent. La bête le dévorait. Et moi, impuissante, en larme, j'assistais à ce sinistre spectacle. Bientôt, ce serait mon tour. L'angoisse monta encore d'un cran. Je n'allai pas y arriver ! C'est alors qu'une deuxième bête réussi à entrer, elle était un peu plus petite et n'eut aucun mal à foncer vers moi. Après tant d'efforts, j'allai mourir. Au moins, mes amis survivraient. Mais au moment où la bête arriva à deux doigts de ma tête, je parvins enfin à me glisser dans la fissure. Je tombai lourdement sur l'escalier en bois usé. C'était un escalier en colimaçon, dont les lattes étaient totalement usées. Sans perdre un instant, je m'élançai dedans. A mon passage, certaines lattes s'effondraient, tombant en poussière. Mais je n'y faisais pas attention, courant de plus en plus vite. Enfin, je débouchai dans un large couloir aux murs et au sol totalement blanc. Là, je retrouvai mes amis, tous essoufflés. M'avaient-ils attendu ? Ou bien mon attente quand j'étais bloquée m'avait parue plus longue qu'en réalité ? Je décidai de ne pas me poser la question. J'étais totalement essoufflée, mais l'adrénaline coulait toujours en moi. Par où aller à présent ? Je n'étais jamais allée à cet endroit auparavant. Sans trop réfléchir, je me remis à courir, allant vers la gauche de l'escalier. J'avais de plus en plus de mal à courir. Mais au moins, les rugissements des bêtes paraissaient plus lointains. Je ne m'arrêtais pas de courir et encourageais mes amis. Ils ne me posèrent pas de questions sur le garçon, devinant sans doute qu'il était mort. Le couloir paraissait infini. Mais au bout d'un moment, nous arrivâmes à une intersection. On n'eut pas besoin de choisir car, à notre grand effroi, du passage de gauche arrivaient des hommes en noirs accompagnés par des bêtes. Sans plus d'hésitation, on prit le chemin de droite en redoublant de vitesse. Mais on perdait beaucoup trop d'énergie et les bêtes semblaient infatigables. Petit à petit, elles se rapprochaient de nous. Soudain, une de mes amies s'effondra, n'en pouvant plus.
_ Non !
Non, il ne fallait pas, non ! Vite, il fallait que je la sauve ! Je voulais faire demi-tour, l'aider à se relever mais les autres me retenaient, me poussant à avancer.
_ Laissez-moi ! Criai-je, mais rien à faire.
Ne comprenaient-ils donc pas ? Si nous la laissions seule, elle mourrait !
_ C'est trop tard ! Répliqua un de mes amis.
En effet, c'était trop tard. Je continuai à courir. Et derrière moi, j'entendais les hurlements déchirants de mon amie. Moi aussi je hurlais, je hurlais et je pleurais. Mais je ne pouvais pas arrêter de courir. Jamais je n'avais ressentis autant de tristesse. Elle était morte de la pire manière qui soit. Et je l'avais abandonnée. Et ça pesait tellement fort dans ma poitrine. J'entendais ses os se broyer sous les puissantes mâchoires d'une des bêtes.
_ Non ! Non, non, non...
Le chagrin et la terreur m'écrasaient, m'empêchant de respirer normalement. Si elle mourrait, est-ce que ça valait la peine de continuer ? Mais je ne pouvais pas penser à ça. Sinon, je serais perdue moi aussi. On continua tous à courir, encore plus vite qu'avant. Chacun de nous pleurait. Nous réussîmes à créer de la distance entre nous et nos poursuivants. Il n'y avait plus que la peur et une volonté inconnue, au dessus de moi, qui me poussaient à avancer. Le calme était revenu. Et on entendait plus que nos sanglots. Mais je savais qu'ils n'étaient pas si loin. Puis, enfin, une porte apparue. Elle était aussi blanche que le reste. J'avais un très mauvais pressentiment. Il ne fallait pas passer cette porte. Je ne pouvais pas. Bizarrement, j'avais encore plus peur de cette porte que des hommes en noir et de leurs bêtes. Mais mes amis n'étaient pas du même avis et me poussaient à entrer. J'hésitais toujours, mais les bêtes arrivaient de nouveau, encore plus excitées, encore plus assoiffées de sang.
_ Vite ! Me souffla mon ami.
Je n'eus pas d'autre choix que d'entrer. Dès que la porte se referma derrière nous, je su que plus aucun retour en arrière ne serait possible.
L'atmosphère changea d'un coup. Nous étions dans l'obscurité. Un calme anormal régnait dans la pièce. Ce silence soudain était oppressant. Autour de nous se trouvait un tas d'objets divers, des breloques cassées, des statues, des tables et chaises entassées. Tous ces objets remplissaient totalement l'espace et nous avions du mal à tous trouver une place. Quand je m'habituai un peu plus à l'obscurité, je distinguai une porte de l'autre côté de la pièce. Pour être sûre, j'essayai d'ouvrir la porte par laquelle nous étions venus mais je n'y arrivai pas. Finalement, je du admettre que notre seule option était de franchir cette deuxième porte. Il n'était pas facile de trouver un chemin jusque là. Je me cognai à une table basse et me fis mal au genou. Derrière moi, les autres se la prirent aussi. La peur des hommes en noir m'avait quitté. L'appréhension l'avait remplacée. Ainsi que la peur omniprésente. Elle me nouait le ventre. Mais ce n'était pas la même peur qu'avant, elle était bien plus angoissante. Comme si elle attendait le bon moment pour surgir totalement. Pour me prouver qu'elle devait bien être là. Qu'y avait-il derrière cette porte ? Je voulais rester dans cette pièce-ci, je ne voulais plus prendre de risque. Mais je savais que je devais continuer. Jusqu'au bout. Après avoir pris une grande inspiration, j'ouvris la porte. Encore une fois, le décor changea totalement. Nous étions entre deux murs gris. Ces murs et le sol étaient très sales et en mauvais état. Tout de suite je compris ; nous étions dans un labyrinthe. Je me retournai, mes amis étaient toujours avec moi mes la porte avait disparue, laissant place à un long couloir. Je décidai de continuer vers l'avant. En marchant, j'essayais de faire le moins de bruit possible. On avança dans le labyrinthe en choisissant le chemin au hasard. J'avais l'impression qu'un long moment s'était écoulé depuis que nous marchions. A un moment donné, une nouvelle intersection nous fit hésiter. Il fallait choisir entre aller à gauche ou continuer tout droit. Les couloirs se ressemblaient comme deux gouttes d'eau, pourtant quelque chose m'attirait profondément et inexplicablement vers le chemin de gauche. Il fallait passer par là, c'était évident. Mais alors que je m'avançai vers ce couloir, cette évidence me troubla. Quelque chose n'allait pas. Ce n'était pas normal. Un piège, sans aucun doute. J'essayais de convaincre mes amis de choisir de continuer tout droit. Mais ils ne m'écoutaient pas. Étais-je folle, disaient-ils, il fallait absolument passer par là ! Je savais bien que ce n'était pas le cas, mais avant que je puisse l'en empêcher, ma sœur, la personne à qui je tenais le plus au monde s'engagea dans ce couloir. Elle fit quelques pas sans que rien ne se passe. Mon ami tenta de la suivre mais je le retins.
_ Reviens !
Elle se retourna vers moi, en souriant, comme pour dire « Tu vois ? Il n'y a rien ! ». Mais c'est à cet instant que tout le labyrinthe s'ébranla. D'un coup, les murs s'effondrèrent derrière ma sœur. Et entre nous se dressa une immense grille, qui partait du sol jusqu'au plafond. D'autres murs s'écroulaient, encadrant cette barrière. Derrière nous aussi, le chemin était bloqué. Puis, tout se calma. Mais ma sœur était totalement bloquée, piégée par la grille et les murs. J'étais terrorisée. Et cette peur se reflétait dans ses yeux. Puis, tout d'un coup, de l'eau s'écoula derrière elle, passant par quelques fissures et s'écrasant contre les murs brisés. Le niveau de l'eau montait rapidement là où elle se trouvait. Et elle était totalement piégée ! Je criai après elle. Je voulais absolument la sauver. Elle ne pouvait pas mourir, pas elle ! L'eau passait difficilement de notre côté, par contre, chez elle, l'eau lui arrivait déjà à la taille. A ce rythme, bientôt, elle n'aurait plus pied. Je criai de toute mes forces, tirant sur cette fichue grille, frappant les blocs de pierres. Elle criait aussi. Je pleurais à présent. Je devais absolument créer un passage ! Mais quoique je fasse, rien n'y faisait. Je criai son nom tout en pleurant, continuant à vouloir casser la grille. Et puis, alors que l'eau avait presque atteint le plafond, ma sœur cessa de se débattre et de crier. Et elle me regarda d'un air résolu. Comme si elle avait été vaincue. Je compris qu'elle allait abandonner, qu'elle allait arrêter d'essayer de survivre.
_ Non !!
Il ne fallait pas ! Je criais, je pleurais, tapais contre cette grille, je voulais l'arracher. Je me faisais mal mais je continuais quand même. Elle me regardait d'un air doux, d'un air aimant. Me murmure qu'elle m'aime. Puis, son visage entier fut engloutit par l'eau. Elle me regardait toujours, le sourire aux lèvres. Je pleurais. Non, ce n'était pas possible. Ça ne pouvait être vrai... Derrière moi, mon ami est horrifié et ne peut plus bouger. Il nous regarde, interdit. Je tire toujours contre cette sorte de grille. L'eau nous arrivait maintenant à la taille. Ma sœur se rapprocha et je m'arrêtai. Elle mit ses mains contre la grille et j'en fis autant. Elle me regardait intensément, ce petit sourire confiant toujours accroché aux lèvres. Dans son regard, je compris ce qu'elle voulait me dire. « Sauve-toi. Laisse-moi. » Mais je ne pouvais pas la quitter. Je ne pouvais pas l'abandonner. Elle manquait d'air, je le voyais, mais elle continuait de me regarder. Petit à petit, son regard s'éteignit. Je la regardai mourir, sans rien pouvoir faire. Je criai de nouveau. « Non ! Non !! ». Et je pleurais à n'en plus finir. Pas elle ! Surtout pas elle... La douleur était trop intense. Je ne pouvais plus rien faire. Je reste là, à la contempler. C'est à ce moment-là que mon ami fut enfin libéré de son effroi. Il essaya de me forcer à bouger. Mais je m'accrochais plus fort à la grille, voulant me rapprocher de ma sœur. Voyant cela, il me tira plus fort. Il me fit reculer. Je sorti de mon état d'hébétude. L'eau nous arrivait à la taille et je ne m'en étais même pas rendue compte. Il me tira encore. Je bougeai enfin. Il fallait continuer, quoi qu'il arrive. Pour elle. Pour lui. Alors, je continuai. Le chagrin me dévorait. Pour une fois, ce n'était pas moi qui guidais mais je me laissais guider. On accéléra, et plus on s'éloignait, plus le niveau de l'eau diminuait. On changea plusieurs fois de direction, passant par différents couloirs. Mais je ne me souvenais de rien. Rien à part le visage de ma sœur, souriant, englouti par l'eau. On marcha longtemps, très proche l'un de l'autre. Je m'accrochais à lui. Bientôt, il n'y eut plus de trace d'eau. Je me remis peu à peu. Je ne devais pas abandonner, il fallait survivre. Mon ami me guidait encore et je ne pouvais que lui en être reconnaissante. Il fallait qu'on puisse sortir d'ici, tous les deux. Mais j'étais bien trop faible, bien trop distraite. Et je marchai sur une dalle différente des autres. Tout de suite, une flèche fonça à toute vitesse sur moi. Mais ce ne fut pas moi qui fut touchée. Mon ami s'était interposé tout en criant « attention ! ». Il se l'était prise en plein cœur. « Non... Non... » Il tombe mais je ralentis sa chute. J'étais à présent à genoux sur le sol, lui dans mes bras. Le sang coulait abondamment de sa blessure. Il me sourit, puis son corps s'affaissa. Il était mort. Mort. Par ma faute. Je restais là, accroupie, serrant son corps contre le mien et me mis à crier de toutes mes forces, le visage levé vers le haut. Je criai toute ma peine. Pour toutes les personnes mortes pour moi. Pourquoi s'était-il sacrifier ainsi ? C'était ma faute ! Je pleurais, criais, encore et encore. Je ne savais pas combien de temps je restai là, à hurler. Ça n'avait pas d'importance. Seule ma peine était importante. Seuls eux étaient importants. Seul lui. Lui qui s'était sacrifié. Lui dont j'avais causé la mort. Et puis, ma bouche s'assécha, mes larmes ne coulaient plus. J'étais vide. J'étais seule. Je me relevai doucement. Une fois debout, quelque chose me pressa : il ne fallait surtout pas rester là ! Il fallait que je sorte d'ici au plus vite ! Je fis un dernier adieu à mon ami puis je recommençai à avancer, en courant cette fois. Vite, un escalier se dressa devant moi. Je le pris en montant. En haut, je m'arrêtai. Devant moi, il y avait une grande place floue, comme baignée d'une brume rosée, des sortes de nuages. Derrière cette brume se trouvaient tous mes amis. Mes amis sensés être morts. Ma sœur aussi était là. Elle me souriait. Ils m'encourageaient à les rejoindre. Tout serait fini. Tout ceci ne serait plus qu'un cauchemar. Il suffisait juste de m'arrêter de monter et de les rejoindre à travers cette brume. Je ne souffrirai plus. Tout ce que je désirais au plus profond de moi se trouvait là. Il suffisait de faire quelques pas... Je fis un pas. Tout serait fini... Je fis un autre pas et m'apprêtai à franchir la brume. Mais je m'immobilisai. Non. Non, ce n'était pas possible. Ce n'était qu'un mirage, un piège de plus. Au pris d'un immense effort, je me détournai de cette brume et continuai mon chemin vers le haut. Montant les escaliers. Dès que je pris cette décision, tout se mit à trembler. Je couru plus vite. Puis, l'espace changea. Je pris un escalier en colimaçon, très étroit, comme entortillé sur lui-même. Les lattes étaient de toutes les couleurs. Je passai d'escalier en escalier. Je ne savais plus vraiment si je montais où si je descendais. Je passais de l'un à l'autre. Tout se chamboula, tout se mélangea. Autour de moi, il faisait noir. D'un noir impénétrable. On ne voyait que les escaliers. C'est comme s'ils étaient entourés de vide, accrochés au vide. Les escaliers étaient extrêmement fragiles. Les marches étaient vieilles. Tout continuait de trembler, de plus en plus fort. Je vis de la poussière tomber des escaliers tandis que je continuai à avancer, sans vraiment savoir où j'allais. Et puis, tout d'un coup, une latte en dessous de moi s'effondra. J'étais bloquée. Tout tremblait encore. Je n'arrivai pas à me dégager. Ma jambe était bloquée. J'avais peur. Terriblement peur. La panique m'envahit totalement. J'essayai toujours de sortir de là. Des escaliers entiers s'effondraient, tombant dans le vide. La peur. La terreur. Cette peur écrasante. Et puis, cette évidence : c'était la fin. J'allais mourir. Curieusement, je ne parvins pas à pleurer. Peut-être que j'étais trop apeurée pour ça. Ou bien, peut-être que j'avais déjà trop pleuré pour tous les autres. Finalement, aucun de nous ne survivrait. Tout tremblait de plus en plus fort. Dans un dernier effort, j'essayais toujours de débloquer ma jambe. Même si au fond de moi, je savais que c'était inutile. Et puis, l'escalier sur lequel j'étais s'effondra à son tour. Voilà comment j'allai mourir. Seule. Impuissante. Terrorisée. Je vis le bois s'écrouler sur moi. Puis plus rien. Le vide absolu.
J'ai écrit une autre fin. Une fin dont j'ai rêvé une seule fois. - La deuxième fin :
Autour de moi, il faisait noir. D'un noir impénétrable. On ne voyait que les escaliers. C'est comme s'ils étaient entourés de vide, accrochés au vide. Les escaliers étaient extrêmement fragiles. Les marches étaient vieilles. Tout continuait de trembler, de plus en plus fort. Je vis de la poussière tomber des escaliers tandis que je continuai à avancer, sans vraiment savoir où j'allais. Et puis, tout d'un coup, une latte en dessous de moi s'effondra. J'étais bloquée. Tout tremblait encore. Je n'arrivai pas à me dégager. Ma jambe était bloquée. J'avais peur. Terriblement peur. La panique m'envahit totalement. J'essayai toujours de sortir de là. Des escaliers entiers s'effondraient, tombant dans le vide. La peur. Cette peur écrasante. J'allais sans doute mourir là, même après avoir vu mes amis mourir les uns après les autres. Même après leur sacrifice. Finalement, ils étaient morts pour rien. Il aurait mieux valu que ça soit mon ami qui survive, lui, il aurait réussi. « Sauve-toi. » Cette voix me frappa de plein fouet. Le visage souriant de ma sœur me revint. Elle voulait que je survive. Puis, le visage de mon ami s'imposa à moi. Souriant lui aussi. Non, je ne pouvais pas laisser leur sacrifice être vain. Il fallait que je survive. Pour eux. Encouragée par cette nouvelle ferveur, je tirai d'un coup sec ma jambe, bien plus fort que ce dont je m'aurai cru capable, et je me libérai enfin. Je n'en cru pas mes yeux. J'avais réussi. Vite, je me levai. Il ne fallait pas passer cette chance. Mon escalier commença à trembler lui aussi. Prise de panique, je couru, dévalant les marches le plus rapidement possible. Je m'appuyais tellement fort dessus qu'elles s'effondraient toutes à mon passage. Mais je n'y faisais pas attention. Je devais sortir de cet endroit. Je passai d'un escalier à l'autre. Et puis enfin, je la vis. Une lumière étincelante dans ce noir obscur. La sortie. Je m'approchai de plus en plus. Et puis, enfin, je fus face à cette lumière. Elle avait la forme d'une porte. Elle était éblouissante. Je n'osais pas y croire. Je fermai les yeux, et traversai cette lumière. Je fis quelque pas. Et puis, j'ouvris les yeux. J'étais dans une prairie qui s'étendait à l'infini. Il n'y avait plus aucune trace de l'endroit où je venais de vivre l'enfer. Il y avait un arbre tout près de moi, il était seul au milieu de toute cette herbe. Le ciel était bleu, seuls quelques nuages d'un blanc immaculé s'égaraient par-ci par-là. Le soleil étincelait de toute sa splendeur. Sa lumière m'éblouissait. Une petite brise fit virevolter mes cheveux. Un large sourire m'échappa malgré moi. Je n'avais plus peur. J'étais vivante. J'étais libre. - /!\Ne pas lire si vous n'avez pas encore lu l'histoire/!\:
Comme je le disais, les personnages changeaient des fois. J'ai fini par conclure que c'étaient mes amis les plus proches. J'ai remarqué que la personne qui meurt noyé (ici ma sœur), c'est la personne à qui je tiens le plus au monde. C'est la mort qui m'est la plus douloureuse. Parce que j'ai le temps de voir la personne mourir. Celui qui se prend la flèche pour moi, c'est la personne en qui j'ai le plus confiance, avec qui je me sens très proche. Des fois, j'aimerai refaire ce rêve, juste pour savoir qui serait à quelle place.
Merci d'avoir lu ! =D N'hésitez pas à me laisser un commentaire, que ce soit sur l'écriture en elle-même ou sur le cauchemar. Bref, laissez-moi votre avis ! =) | |
| | | juju piou Architecte
Messages : 5739 Date d'inscription : 22/04/2012 Age : 26 Localisation : Erre dans Tokyo à la recherche de Yato
| Sujet: Re: Cauchemar. Lun 12 Aoû - 23:04 | |
| O.O OMG c'est encore plus puissant que quand tu avais explique dans la cours!
bizarrement ton texte ... enfin les décors me font pense a Alice au pays des merveilles mais niveaux "drak"
En tout cas c'est stressant , epuissant , fort , triste ,brut, sec , dur tout ce qui se passe dedans! O.O Pas un instant de répit!
C'est inetrresent comme tu ne renonce pas ,comment tu te bas (moi perso apres le gas avec le flèche je serais laisser la a coter de lui ou j'aurai continuer sans me debatre en me dissant "sans eu je n ai plus de raison de vivre ou autre....) Mais toi non ! *-* je t'envie un peu ^-^
bizzarement le passage avec la flèche m'a fais pense a "arrow" et le passage avec le labyrinthe a "maze" => oui je pense que je pense trop a SCC^-^ ha oui c'est aussi sec comme tu passe de la peur au "vide" ou a la "liberté" .... c'est étrange comme sensation! X')
perso ta fin me fait pense au paradis ^-^ (plus precissement a celui de shiemi => oui je reviens encore avec les mangas^-^)
Mais juste un "OUaW" a la fin!O.o
Ps: j'envie ta sœur!XD | |
| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Cauchemar. Mar 13 Aoû - 1:00 | |
| Ah ? Merci ! C'est sans doute parce que quand je vous l'ai expliqué oralement, je ne faisais que décrire ce qui se passait. Par contre là, c'est comme si je revivais ce moment. (mais en moins puissant parce que c'est impossible de reproduire cette peur irrationnelle qu'on a uniquement dans les rêves ^^)
J'aime beaucoup tous les adjectifs que tu as utilisé parce que j'avais peur de ne pas réussir à ressortir toutes ces émotions (qui étaient bien présentes). C'est clair que dans ce rêve, je n'ai jamais le temps de souffler ^^'
Merci, mais dans les rêves tout est différent. On est bien plus fort. Je ne sais pas si dans la réalité je serai capable de faire la même chose. Peut-être que oui, après tout si dans le rêve je le fais, ça doit bien venir de quelque part ^^' Mais bon, là j'étais poussée à continuer, quelque chose me disait de continuer à avancer, je ne l'ai pas fait uniquement grâce à ma volonté ^^ Mais merci beaucoup, je n'avais jamais vraiment perçu ça comme une qualité ^^
Effectivement, tu pense trop à CCS x) Parce que ça y ressemble pas tellement ^^
Tu veux dire que dans les deux cas la fin est brute, cassante ? Maintenant que tu le dis... En même temps, vu la situation, c'est logique, du moins dans le premier cas ^^ Le pire c'est que je n'ai pas vraiment l'impression de m'être une fois réveillée à la fin du rêve, je devais sans doute passer à un autre. (Quoiqu'il y a certaines versions où je mourais plus tôt et là je me réveillais ^^)
Au paradis ? Hum... Peut-être... Je ne l'avais jamais vu comme ça. Pour moi, ça représentais surtout la vie, la liberté, le salut... Mais c'est intéressant comme théorie =)
Ouaw ? C'est le mot x)
Pourquoi, parce qu'elle meure lentement ? x) Non mais ça n'a pas toujours été elle. Je me rappelle que ça a déjà été ma meilleure amie... C'est juste que comme j'avais décidé de ne pas citer de nom, je trouvais embêtant de toujours dire "mon ami(e)", sans distinction. Du coup, je me suis dis que ce serait mieux de choisir la version où c'est elle, et c'est vrai que souvent c'était le cas. Mais je pense que si je faisais le rêve de nouveau, ce ne serait plus elle ^^
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| | | juju piou Architecte
Messages : 5739 Date d'inscription : 22/04/2012 Age : 26 Localisation : Erre dans Tokyo à la recherche de Yato
| Sujet: Re: Cauchemar. Mar 13 Aoû - 1:17 | |
| Et bas la c'est clairs tu les a bien sortit ces émotions!XD (même peut etre un peu de trop?!XD) oui!XD
Perso des fois je me demande si les reves ne sont pas un "test" que l'on nous fais faire ou que l'on se fait faire pour savoir qui l'on est et si on le fait ou non ^-^ ba pour quel qu'un comme moi qui a tendance a se sacrifier c'est une qualiter!XD
oui enfait ce que je veux dire c'est que l'on passe d un truc "noir" a un truc"blanc" sans etapes intermediaire^-^ donc en gros ca fait comme si tu me mettais une claque!XD
C'est pareil pour les 2 fins.... pour moi c'est comme si tu avais changer de monde ^-^
oui parce que c'est trop ... beau!XD j'imagine la scene et pour moi c'est assez proche du paradis que je me fait ^-^
enfait je l'envie pour 2 choses la 1 ere est que tu l'aime fort....nan que tu l'adore! On sens que tu l'aime plus que les 2 autres persos.... enfait c'est ce que j'ai ressenti la 2 eme c'est que mem "morte" elle arrive a te faire aller de l'avant sans pour autant te gener
D'aulleur en parlant des persos "mort" j'ai une theorie sur ca (oui j'ai des theorie sur tout ^-^ *surtout sur les reves*) Le "gamin" bon je raconte peux etre un betise... mais ...... *fais sa timide * se serais pas ton futur fils? ou un de tes freres? le segonds persos soit c'est ton meilleur amis soit ton "epoux"!X') Mais je pense que ces personnages vont varier en fonction de tes connaissance au fur et a mesure des annee si pas ... ba c'est que c'est un reve a moitier premonitoire.
Basee sur +ou- la meme theorie comme tu connais les moindre recouins de la maison c'est que je supose .... soit c'est la tienne (c'est suremment le cas) soit des persos "segondaire" soit tu suis ton "instinc"
...... C'est moi ou je parle comme une psy? =_= *je me fais peur...* | |
| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Cauchemar. Mar 13 Aoû - 1:53 | |
| Ah ? Ben merci, maintenant je sais que je suis une bonne personne, du moins dans mes rêves x)
Oui, c'est la place de celui que j'aime le plus. Ma sœur à occurrence, mais sachant que j'ai arrêté de faire ces cauchemars vers l'âge de... 11 ans je dirais, on peut dire qu'elle est très importante pour moi parce que c'était mon modèle, mon réconfort. Quand j'étais en primaire, jusqu'en 5/6e, je pouvais pas m'imaginer être séparée d'elle. Maintenant c'est très différent. Mais c'est vrai, tu as raison que la façon dont elle me pousse à continuer à vivre, à travers son souvenir, c'est quelque chose de beau.
Le gamin c'est celui qui pleurniche tout le temps et nous fait repérer ? Si oui, je crois que tu fais totalement fausse route. Déjà, mes frères sont bien plus âgés et bien trop intelligents pour être ce gamin. Un fils aussi c'est exclu parce que j'ai mon âge à chaque fois que je fais le rêve, donc à cette époque dans les 6 jusqu'à 11 ans, donc pas possible x) Surtout que c'est quelqu'un qui m'exaspère dans le rêve, il m'agace vraiment beaucoup parce qu'il ne se tait pas. Et c'est un inconnu. C'est à cause de lui que tout le reste du rêve se réalise.
Le second perso... Tu parle de celui qui se sacrifie ? (pour moi c'est plutôt le dernier) Ou tu parle de celle qui meurt en premier dans mes amis ?
Oui oui, déjà à ce moment-là, ça changeait des fois, c'est en partie pour ça que je n'ai pas mis de nom. Parce que ce n'est pas définitif. Je suis convaincue que si je le faisais maintenant, beaucoup de personnages ne seraient pas les mêmes. Ça ne m'étonnerai même pas que tu y sois (en tant que le gamin pleurnichard sans doute... J'blague hein :p )
Encore une fois, je suis obligée de briser ta théorie. Parce que je connais l'endroit aussi dans la réalité. (je l'ai bien dit "ça commence dans un endroit que j'aime beaucoup). Ce n'est pas une maison (comment veux-tu qu'une maison ait un long couloirs avec pleins de chambres identiques ? ^^), c'est à bon-es, un grand bâtiment avec la grande salle, la cuisine à gauche, et en haut les dortoirs (pour faire simple parce qu'il y a pleins d'autres endroits ^^). C'est là où j'ai fait beaucoup de camp, on va souvent là avec mon groupe de jeune. J'y allais déjà quand j'étais petite parce que ma maman était la responsable. Mais vu que j'y ai passé beaucoup de temps, j'adore cet endroit. (par contre, le passage secret et les couloirs blancs n'existent pas x) )
(Tu as lu la théorie que j'ai faite moi-même dans le premier message ? Après la deuxième fin ?)
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| | | juju piou Architecte
Messages : 5739 Date d'inscription : 22/04/2012 Age : 26 Localisation : Erre dans Tokyo à la recherche de Yato
| Sujet: Re: Cauchemar. Mar 13 Aoû - 2:07 | |
| Mais tu es une bonne personne!!!!!! ....des foishaaaa ok!X') Mais bon ca reste un sentiment fort ^-^ oui c'est trop beau! Mais non tu as pas comprit^-^ tes fres plus "petit" ^-^ comme si tu avais remonter le temps parails pour ton "fils" oui je sais je vais loin dans mes idees masi ca reste tout de meme un reve! XD ~~soyons fous! XD~~ moi perso je ne le trouve pas agacant ... il pleure juste .... un peux comme tout tes persos ^-^ et alors que c'est un gamin moi je le trouve plutot fort.... de plus ca tombe il s' est aussi sacrifier pour toi ^-^ nan le dernier ^-^(celui qui se sacrifie) ouaiiiii!!!!!!!!!!!! \o/ je veux en faire partie!XD ¨juste pur avoir l'air trop classe quand je me sacrifierai ^-^) nan je ne pense pas que je serai le pleurnichard... je pense meme pas que je pleurerai ... pas parce que je ne suis as triste parcque je serai trop envahis par un sentiment de peur .... ha!XD faut croire que j'ai pas trop assimilee cette phrase!XD(je peux pas tout retenir!XP) ha ooooooookkkkkkkkkkkk tout s'explique!XD =_= c'est un spoiler? *va voir* ha ben oui!XD *lit* .......... j'ai fait tout mon developpent pour arriver a ce que je note la meme chose que toi (+ou-) sans avoir fait le reve !? je suis une pro ? | |
| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Cauchemar. Mar 13 Aoû - 2:18 | |
| Mais non parce que, je dis que c'est un gamin, mais il a le même âge que nous plus ou moins. (je te rappelle que quand je faisais ce cauchemar, moi aussi j'étais une enfant) En plus, il crie vraiment fort alors qu'on se cachait, c'est débile, nous tous on se taisait. Il était tellement paniqué qu'il ne nous écoutait pas et ne bougeait pas. Il s'est pas sacrifié non plus, c'est juste que je bloquais le passage puisque j'étais coincée et il ne savait pas s'échapper. Donc, je pense que ta théorie est totalement fausse ^^
Oui, le dernier c'est celui que j'aime le plus, après le noyé. Mais de là à dire que c'est mon copain... x) Et puis, c'est pas toujours un mec non plus quand je faisais le rêve... ^^
C'était une blague tu sais x) Le pleurnichard, c'est un type que j'aime pas x)
Ha ha x) Je me doutais bien que tu l'avais pas lu x')
Ben... A part les trucs évidents, genre avec ma sœur, t'as mauvais x) (enfin, t'as pas le même raisonnement, mais vu que c'est mon rêve, tu as mauvais :p ) | |
| | | juju piou Architecte
Messages : 5739 Date d'inscription : 22/04/2012 Age : 26 Localisation : Erre dans Tokyo à la recherche de Yato
| Sujet: Re: Cauchemar. Mar 13 Aoû - 2:26 | |
| En gros tu le considairai comme un gros boulets ....^-^ Pourquoi tu rejets toute les theorie!? j'en ai marre de pas avoir raison... bon en meme temps je suis nulle ^-^ ha?!XDDDDDD oui ca j'ai comprit maintenant!XDDDD ^-^ | |
| | | Nodoka Vigile
Messages : 10799 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 27 Localisation : là-bas
| Sujet: Re: Cauchemar. Mar 13 Aoû - 2:32 | |
| Ouaip ^^
Bah, ce sont des théories intéressantes puisque tu ne vois que la version que j'ai écrite, mais pour moi qui ai fait ce rêve tant de fois et avec des personnes différentes, je vois plus la différences, je remarque ce qui change mais aussi ce qui reste. Du coup, j'ai bien plus d'éléments. Mais tes théories auraient pu être bonne (sauf la première avec le gamin ^^) | |
| | | juju piou Architecte
Messages : 5739 Date d'inscription : 22/04/2012 Age : 26 Localisation : Erre dans Tokyo à la recherche de Yato
| Sujet: Re: Cauchemar. Mar 13 Aoû - 2:43 | |
| ca va alors!XD je suis a moitier nulle!X')
oui mais bizzarement je l'aime bien ^-^ donc j'ai envie de le defendre..... zarb ... O.o | |
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| Sujet: Re: Cauchemar. | |
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| | | | Cauchemar. | |
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