Ce forum a longtemps été le forum français le plus actif de Gakuen Alice, aujourd'hui, la série étant finie, nous nous devons d'avancer mais nous n'oublions pas que c'est par ce manga que tout a commencé. |
| | Co-productions de Mayura et Anaïs | |
| | Auteur | Message |
---|
anais-chan Animateur
Messages : 10841 Date d'inscription : 12/07/2010 Age : 27 Localisation : Searching my way to go
| Sujet: Co-productions de Mayura et Anaïs Mer 23 Mai - 21:54 | |
| - Spoiler:
Le triste sort de la vie Chapitre 1:Le 4 mars 1987 : "Teito ! Amysa !! Venez mettre la table !!" C'était Maman qui nous appelait, l'une des dernières choses qu'elle m'avait dite, à mon frère et moi. Moi c'est Amysa, et j'ai un frère jumeau, Teito, avant ça, on vivait tranquillement avec nos deux parents, mais après ce jour, rien n'a plus été pareil. C'était la nuit quand c'est arrivé, Teito et moi avions été réveillés par un grand bruit, et nous étions descendu à la cuisine, là, il y avait un homme inconnu, un couteau dans la main qui s'approchait de notre mère, il planta 3 fois avec acharnement son couteau dans le coeur de notre Maman, et quand il eut nous vu, il fit comme si de rien était et passa à côté de nous pour sortir de la maison. Sans un mot, je ne dis rien. Je regardais mon frère. Puis je me dirigea vers ma mère, et hurla jusqu'à se que ma voix se tue. Mon père descendit à ce moment-là, réveillé par mes cris, il découvrit son fils qui n'avait pas bougé depuis qu'il avait été témoin de la scène, debout comme un piquet, sa fille elle était assise par terre et ne cessait de pleurer, ce n'est qu'en s'approchant qu'il vit le corps de sa femme. Mon frère me regardait doucement et me tint la main, puis me ramena dans la chambre. Je ne parlais plus du tout, malgré toutes les tentatives de mon frère. Et pour notre père, il ne sortit pas de sa chambre pendant 3 jours, 3 jours où il resta avec le corps de notre mère, après ce délai, il sortit de sa chambre avec le corps de ma mère dans les bras et l'amena jusqu'à une chambre funéraire. Après cela, mon père, ne nous regarda même plus, je regardais mon frère, ne disant rien depuis ce malheureux jour. Mon père, finit par ne plus nous voir, mon frère et moi, sommes affamés. Teito: Amysa, ça va? Amysa ne fit que hocher la tête Teito: T'inquiètes pas, Amysa, on va se trouver à manger dehors, il y aura bien quelqu'un pour nous aider Amysa regarda son frère dans les yeux, au bords des larmes, elle hocha encore la tête Teito l'emmena dehors, ils parcoururent ainsi 3 quartiers, Amysa ne lâchant jamais la main de son frère. Amysa tomba, lâchant la main de son frère, une dame les regardait, Teito aida sa soeur a se relever, puis se dirigea vers cette dame. Teito: Bonjour... Nous... Avons besoin d'eau, où pouvons-nous en trouver s'il vous plaît. La dame les fixa avec un air de dégoût, puis partie. Teito baissa la tête et continua son chemin. Au bout d'une heure après cet incident, Amysa tomba, Teito remarqua enfin qu'elle s'était blessée au genou et cette fois-ci, une dame à l'air gentil arriva vers eux pour les aider, sa petite fille avec elle. Dame: Bonjour mon garçon, je vais t'aider, venez chez moi après, vous avez l'air en mauvais état. Le 8 Mars 1987 Nous avons trouver une dame, elle nous a ramener cher elle. Qui aurais crue que dans se mode si cruel fait de sang et d'horreur, pouvais exister des humains gentil et sociable. Je ne peu que être contente dans cette situation, si seulement papa ne nous avais pas abandonné, et maman qui est partie. Je ne fais que pleuré, dans le silence, je ne veux plus jamais parler. PLUS JAMAIS ! Aussi, dans ma nouvelle maison, il y a cette fille, Inoue, c'est la fille de la Dame qui nous a recueillis, Inumy Kakyra. La Dame insiste pour que nous la considérions comme notre soeur, Teito est d'accord avec ça, mais pas moi, elle n'est pas ma petite soeur ! Je voudrai bien le dire à Teito, mais je ne parlerai plus jamais, ça je me le suis promis. Le 15 Mars 1987: Aujourd'hui, je crois que j'ai compris, Inoue n'est peut-être pas ma soeur par le sang, mais je sens qu'elle sera toujours là pour moi, et je vais essayer de lui faire plus confiance. Je m'amuse bien avec elle, mais je ne veux pas sourire. Pourquoi Teito réussi. J'ai peur qu'il m'abandonne. Ô maman, j'ai peur, peur de ne plus me rappeler de toi, peur de perdre Teito, peur de tout. Pourquoi je ne peux pas sourire normalement ? Maman aide moi. Fin du journal. Teito: Inoue, si on allait jouer dans le jardin? Inoue: D'accord, tu veux venir Amysa ? Le sourire de Teito donna un air triste à Amysa, l'espace d'un instant, mais elle se ressaisit et pris la main de son frère. Inoue: Dis, Amysa, tu veux faire quoi comme jeu ? Inoue (à Teito): Dis, il n'y a vraiment aucun moyen de refaire parler Amysa ? Teito: Non, j'ai déjà tout essayé mais elle ne parle jamais. Teito eut l'air au bord des larmes en disant ça. Amysa tient la main de son frère, et lui fit un petit sourire qu'elle se forçait a faire mais que son frère ne vit pas. Teito sourit puis ils partirent dans le jardin. Inoue: Teito, si on joué a kolamailla? Teito: Ok, Amysa veux-tu jouer ? Amysa fit un signe pour dire non. Inoue: Allons voir les voisins, ils ont une fille et deux garçons, ils pourront peut-être jouer avec nous. Teito: Ok, tu viens Amysa? Amysa prit la main de son frère. Inoue: Olidia!! je voulais te demander si tu voulais jouer avec nous et tes frères aussi. Olidia: Bien sur, mais qui son ces deux personnes derrière toi? Inoue: Je te présente mon nouveau frère, Teito, et ma nouvelle soeur Amysa. Teito: Bonjour. Teito regarda sa soeur, qui la tient à la chemise, plus fort que d'habitude. Olidia: Enchantée, je suis vraiment contente de connaître une autre fille de mon âge, Amysa ! Amysa pris alors le T-shirt de son frère à deux mains et le serra très fort. Teito: Ah ! oui, c'est vrai, Amysa ne peux pas parler, et elle a aussi du mal à s'ouvrir aux autres, alors excuses-là s'il te plaît. Olidia: C'est pas grave, je m'y ferai et puis j'ai vraiment envie de bien m'entendre avec la soeur de ma meilleure amie Inoue: Héhé ! Tu verras Olidia, dès qu'elle te connaîtra mieux, tu pourras sûrement commencer à jouer avec elle, pour moi aussi ça a pris du temps pour qu'elle veuille bien m'écouter Amysa restait silencieuse, ne voulant pas lâcher le T-shirt de son jumeau Ainsi, l'après-midi passa, et Amysa resta soit toujours accrochée au T-shirt de son frère, soit seule dans son coin quand le jeu demandait de l'espace pour pouvoir jouer. Pas une seule fois de l'après-midi, elle ne sourit. Ce fut sur la route du retour que son univers fut une nouvelle fois bouleversé. Alors qu'Amysa avait enfin lâché son frère et traversait la route la tête baissée et un peu en retrait de Teito et Inoue, Une voiture arriva à toute vitesse vers elle, Inoue qui s'était retournée au moment là, courut pour la pousser et la sauver des roues de la voiture, malheureusement, ce fut Inoue qui fut écrasée. Un passant appela les urgences, et Inoue fut transportée et prise très vite en charge à l'hôpital. Le 8 Avril 1987 Ca fait deux heures qu'on attend dans la salle d'attente de l'hôpital, les médecins nous ont dit qu'Inoue était très faible et qu'ils avaient dû la plonger dans un coma artificiel pour atténuer sa douleur. Depuis que les médecins sont venus, madame Inumy ne me regarde plus de la même façon, son regard est empli de haine à mon égard, et je ne peux m'empêcher d'avoir peur. Je sers Teito, je ne veux pas qu'elle meurt, je veux qu'elle me sourit, je veux que l'on joue ensemble. Mais il y a trop de question dont je n'ai pas la réponse. Maman, toi qui nous protège, sauve Inoue. Je ne veux plus voir les yeux de madame Inumy, il me lance des grosses épines entourées de glace dans mon petit corps. Combien de temps cela va duré, nous restons toute la journée a l'hôpital. Mais seul Teito et madame Inumy peuvent entrer, madame m'a interdit de rentrer, elle m'a dit "Sort petite peste, je ne veux plus te voir". Qu'est ce que j'ai fais de mal ? Je ne sais pas, Teito est séparé de moi, partout, à la maison, quand nous mangeons, je mange après, a l'hôpital nous sommes toujours séparés et je dois attendre dans cette salle blanche, sans couleur. Mais le pire, je ne peux pas dormir car, même là, je suis séparé de Teito . Le 10 Mars 1987 Aujourd'hui, madame Inumy m'a laisser venir à l'hôpital, elle ne m'a pas dit un mot, et puis une fois arrivée auprès d'Inoue, elle m'a dit : "Regarde ce que tu as fait, tu as tué ma petite fille, ma seule enfant, mon trésor à moi ! Maintenant je suis seule, je ne veux plus jamais te revoir, dès que tu seras sortie de cette pièce, tu t'en iras d chez moi, SEULE et ne reviendras plus JAMAIS !!". Au départ, je n'ai pas bien compris, puis Teito est entré dans la pièce, il m'a demandé pardon, pardon de ne pas pouvoir venir avec moi, puis il m'a demandé une dernière fois, tout en pleurant de lui dire quelque chose, même juste un mot. Mais je n'ai pas réussi à prononcer quoique ce soit, Teito m'a serrée dans ses bras pendant un long moment puis après avoir vu madame Inumy lui faire un signe, il est sorti de la pièce, me laissant seule avec Inoue. En la regardant, je me suis rappelée de toutes les fois où elle a voulu jouer ou parler avec moi et que je n'ai pas voulu, toutes ces fois où elle a juste voulu entendre ma voix et qu'elle n'a jamais pu l'entendre... Dans mes larmes, et mon désespoir de me retrouver seule, sans mon frère ni personne, à nouveau dans la rue, je me suis promise que je reparlerai un jour, pour une personne en qui j'aurai totalement confiance.
Voilà, la première co-production de Mayu et de moi, j'espère que vous aimerez, et aussi, je passerai tout vos compliments pour Mayu à Mayu, si vous avez des spécials dédicaces à faire !! xP Donnez nous tous votre avis, devenez fans de cette première co-pro et aimez la de tout votre coeur, s'il vous plait !! ♥ (=P) | |
| | | Alatemis Nouvel Client
Messages : 20 Date d'inscription : 05/05/2012 Age : 25 Localisation : Dans un parc avec des cerisier
| Sujet: Re: Co-productions de Mayura et Anaïs Jeu 24 Mai - 18:23 | |
| J'aime bien, mais sa ressemble au truc que vous m'avez demander de passé. Surtout continuer, j'espere que la fille pouras avoir le bonheure un jours ^^ | |
| | | anais-chan Animateur
Messages : 10841 Date d'inscription : 12/07/2010 Age : 27 Localisation : Searching my way to go
| Sujet: Re: Co-productions de Mayura et Anaïs Jeu 24 Mai - 18:32 | |
| C'est ce truc justement, on suit le scénario de ta soeur, on le met juste en scène là en fait !!! XDD Et merci ^^
Elle l'aura, il faut garder espoir dans la vie, sinon on a plus rien !! *regard d'un vieux qui a fait je-ne-sais-combien de guerre* | |
| | | Alatemis Nouvel Client
Messages : 20 Date d'inscription : 05/05/2012 Age : 25 Localisation : Dans un parc avec des cerisier
| Sujet: Re: Co-productions de Mayura et Anaïs Jeu 24 Mai - 20:49 | |
| Pas totalement en faite, car Amysa et Teito vont a l'hopital et a l'orphelina dans le truc que je vous est passé. | |
| | | anais-chan Animateur
Messages : 10841 Date d'inscription : 12/07/2010 Age : 27 Localisation : Searching my way to go
| Sujet: Re: Co-productions de Mayura et Anaïs Jeu 24 Mai - 22:07 | |
| La mise en scène en direct à un peu fait changer le scénario originale, c'est les aléas du direct x') (Mais sinon, c'est toujours l'histoire d'une petite fille qui s'appelle Amysa et qui a un jumeau du nom de Teito et dont la mère se fait tuer (devant ses yeux, ma belle idée ! =P) et qu'elle se fait recueillir, puis ré-abandonner, puis re-recuillir !! xP) | |
| | | Mayura Inconditionnel
Messages : 703 Date d'inscription : 28/03/2012 Age : 27 Localisation : Du côté des tenebres
| Sujet: Re: Co-productions de Mayura et Anaïs Sam 26 Mai - 10:03 | |
| | |
| | | Aryana Chouchou
Messages : 5627 Date d'inscription : 02/01/2011 Age : 26 Localisation : Dans le palais fleur
| Sujet: Re: Co-productions de Mayura et Anaïs Dim 27 Mai - 19:48 | |
| .... Voilà, j'étais tout contente de vous revoir et maintenant je vais pleurer toute la soirée pour vous, merci, hein ! XD Sinon, l'histoire est super !! | |
| | | anais-chan Animateur
Messages : 10841 Date d'inscription : 12/07/2010 Age : 27 Localisation : Searching my way to go
| Sujet: Re: Co-productions de Mayura et Anaïs Lun 28 Mai - 9:22 | |
| Mdr" !! Merci Arya, ça fait toujours plaisir de voir qu'on a fait pleurer quelqu'un pendant toute une soirée !!! XDD
(Sinon, Arya, il te faudrait vraiment un msn, ce serait trop cool qu'on puisse parler par msn !!! *-* | |
| | | anais-chan Animateur
Messages : 10841 Date d'inscription : 12/07/2010 Age : 27 Localisation : Searching my way to go
| Sujet: Re: Co-productions de Mayura et Anaïs Dim 24 Fév - 1:38 | |
| Et voili voilou le monde, une nouvelle co-prod' toute fraîche de Mayu et moi, une histoire courte ! Le coeur de Len - Spoiler:
C'était l'été dehors mais pour moi, cela ne faisait aucune différence.. J'étais chaque jour dans ce lit d'hôpital sans jamais aucune distraction. Au début, mes amis de l'école venaient me voir, puis leurs visites se sont rarifiées et finalement, ils ont arrêté... Même si dans mon coeur, cela m'avait grandement attristée, je ne pouvais pas leur en vouloir, après tout, je ne voulais pas être un fardeau pour eux. Mais un jour, en plein milieu du mois de juillet, mes parents ont amené un homme; celui-ci s'est révélé être le concepteur de la chose que je trouvais la plus formidable au monde: les Vocaloids. Il en existait beaucoup, bien plus que je ne pourrai en citer, mais pour les principaux, ceux qui avaient été inventés par cet homme, ils s'appelaient Miku, Meiko, Kaito, Rin et Len, Megurine, Gumi ou Gakupo. Ils avaient tous des personnalités uniques mais surtout, une voix formidable. J'étais devenue fane d'eux au même moment que j'avais été coincée dans cette chambre d'hôpital, et ce jour-là, quand cet homme est entré dans ma chambre, je n'aurai pu imaginer le rêve que j'allais vivre, et combien je devais à mes parents pour cela. Car c'était eux qui étaient partis le chercher pour que je puisse réussir, moi aussi, à rêver. Je m'appelle Aya Nakamura et cet homme, c'est Kooji Akimoto. Mon histoire, c'est grâce à lui qu'elle existe et si je vous la raconte aujourd'hui, même si c'est surtout pour exprimer mes sentiments, c'est aussi pour lui dire merci, merci pour ses créations, merci pour Len. Depuis que j'ai 12 ans je suis enfermée dans ma chambre d'hôpital, couchée sur mon lit ne pouvant bouger. Je suis atteinte d'une maladie très rare qui tue en toute circonstance, on a beau faire il n'y a pas de remède, moi j'étais en stade terminal et mes parents pour me faire plaisir me demandèrent ce que je voulais. Depuis maintenant quatre ans je rêve de les rencontrer et j'avais déclaré à mes parents ''Je veux rencontrer les Vocaloid et leur créateur.''. Mes parents étaient perplexes mais avaient été demander au créateur, donnant une somme d'argent astronomique. Ma mère m'avait raconté rapidement qu'ils avaient dû fort lui demander pour qu'il vienne; mais c'est alors que mes deux parents croyaient que je dormais, que j'avais entendu la vérité: ils avaient réussi à obtenir un rendez-vous avec le PDG de la grande entreprise qu'était à présent le bureau de logistique de monsieur Akimoto, ensuite, ils avaient dû attendre un mois pour avoir le rendez-vous, et le jour-là, ils avaient fondu en larme sous ses yeux, lui demandant une faveur pour leur fille mourante. Bien entendu, ils avaient dû de nouveaux débourser une très grosse somme d'argent pour que ma chambre ait les moyens d'accueillir la matérialisation des Vocaloids. Ensuite, pour me préserver la surprise, ils avaient payé l'hôpital pour me faire changer de chambre le temps de l'installation et finalement, j'avais pu profiter de mon rêve, les yeux emplis de larme et les remerciant du merveilleux cadeau qu'ils m'offrirent. J'avais enfin pu exaucer mon souhait et il s'était réalisé, je devais être la fille la plus heureuse sur terre. J'avais enfin pu regarder les Vocaloids pour de vrai, et leur parler, les toucher et discuter avec le créateur. Je discutais avec Miku, Rin et Len et j'avais vu que le créateur se creusait fort tête, je demandai dans un effort surhumain ce qu'il faisait et il m'avait répondu qu'il créait une nouvelle vocaloid, mais qu'il ne trouvait pas de tenue et de physique. Son nom allait être Yuuki Kaai et sa chanson parlait d'une guerre entre une verte et une jaune. Nous avions travaillé ensembles, le résultat avait été des plus magnifique, et elle avait été acceptée par le créateur. Quand le temps fut passé, ils durent s'en aller et j'allais revenir dans ma solitude, mais le créateur Kooji Akimoto se retourna et me dit '' Nous reviendrons demain petite Aya, la troupe au complet'' avec un petit sourire sympathique. Mes yeux s'était écarquillés et je souriais joyeusement. Le lendemain, en effet, ils étaient tous là Kaito et sa longue écharpe bleue, Meiko avec sa mini-jupe et son bustier rouge, Miku et ses grandes couettes, Megurine et sa longue chevelure de soie rose, et enfin, les jumeaux Rin et Len Kagamine qui étaient mes préférés. Malgré qu'ils étaient tous là pour moi, mes discutions avaient tendance à être plus tournées vers Rin et Len, et nous nous liâmes donc rapidement d'amitié. Je voyais que le créateur nous guettait d'un coin de la pièce, toujours a prendre des notes ou faire des croquis, et souvent lorsque je riais, je le voyais sourire comme s'il souriait à son enfant. Quelques semaines passèrent et les Vocaloids venaient dès qu'ils le pouvaient. Rin commença à aller chanter et je me retrouvais souvent seule avec Len, nous discutions de tellement de choses que nous oublions souvent que c'était des ordinateurs qui parlaient. Pourtant quand je discutais avec lui mon coeur s'apaisait et mes yeux brillaient de tout leur éclat, mon coeur battait la chamade et c'était une explosion de bonheur. Chaque fois que je voyais les Vocaloids, bien entendu, j'étais heureuse, mais avec Len, c'était autre chose, une autre forme de bonheur qui ne pouvait être comparée avec aucune autre. Un jour, alors que je me pleurais de douleur, il m'avait prise dans ses bras et même s'il n'était qu'une image, j'avais senti sa chaleur m'envelopper, il avaits séché mes larmes et caressait mes cheveux avec tendresse. A ce moment, j'avais compris que je l'aimais bien plus que je ne le pouvais, même si il ne m'avait pris qu'une seule fois dans ses bras, j'avais l'impression que ce moment avait été comme une finalité à ce monde, une fin absolue et irremédiable, comme si j'avais été transportée l'espace de quelques secondes dans un autre univers. Ensuite, il m'avait lâchée et m'avait dit de ne pas pleurer et d'être forte, que je finirai par vaincre ma maladie; mais j'avais envie de pleurer de nouveau, ne serait-ce que pour qu'il me prenne de nouveau dans ses bras et aussi que sa chaleur même au bout de seulement quelques secondes, me manquait terriblement. Len s'assit à côté de moi pour que l'on puisse parler, depuis qu'ils étaient là, il n'avait pas chanté une seule fois, il restait près de moi à me soutenir, m'encourager et discuter. Ma vie n'avait jamais été aussi belle que ces quelques jours. Une chanson me trottait dans la tête, une très belle chanson sur un robot et un humain, j'en fis part à Len, qui me dit qu'elle était très belle et j'en parlai à Kooji qui décida d'en faire une chanson. On travailla toute l'après-midi sur les paroles, la chanson parlait d'un humain, un scientifique solitaire qui créa un robot qui n'avait pas de coeur, et il travailla pour se ''coeur'' mais mourra juste avant de lui donner et le robot ne comprenant pas pourquoi on l'a abandonné demande à l'ordinateur de rencontrer son créateur et reçut un coeur, mais son coeur était trop puissant et elle mourra elle aussi. Quand les paroles furent finies, c'est Len et Rin qui commencèrent à chanter les paroles et cela rimait très bien. Enfin, la chanson fut testée lors d'un concert, l'alliage des voix des deux jumeaux, la musique et les paroles si touchantes, eurent un succès fou sur les spectateurs et bientôt, la chanson devint très célèbre. J'étais fière de moi à ce moment-là, mes parents et Kooji le furent encore plus, il proposa même de renouveler l'expérience. Ainsi, je me retrouvai de plus en plus souvent avec les jumeaux sans jamais pouvoir être seule avec Len. Mais un jour, par chance, Rin dut aller faire régler quelques problèmes de logistique et je me retrouvai de nouveau seule avec lui. Au départ, il y avait eu un léger malaise du fait que cela faisait longtemps que l'on ne s'était pas retrouvés à deux puis on a recommencé à parler et à rigoler. Mais j'ai fini par lui demander si il se souvenait du moment où il m'avait prise dans ses bras, je rougissais mais son visage paraissait peu émotif comparé au mien, je me mis à penser qu'il n'éprouvait rien pour moi mais il me donna tort. Il s'approcha de moi, et il me dit doucement qu'il s'en souvenait, que même s'il n'était qu'une image, cela avait fait chauffer son corps électronique. Dans un moment où ni l'un ni l'autre ne contrôlions nos actes, nos visages se rapprochèrent et bientôt nous nous embrassâmes. A ce moment, bien plus de chaleur que jamais auparavant m'envahit et je fondai en larme, se rendant compte de cela, il interrompit le baiser pour essuyer mes larmes de ses douces mains, il n'avait alors pour moi plus rien d'un robot, il n'était plus un ami, il était bien plus. A présent, Len représentait mon espoir, ma vie et je me mettais à espérer pouvoir un jour guérir pour me promener avec lui à l'extérieur, pouvoir se balader sur la plage, voir un coucher de soleil en dehors de ces murs... Je me sentais pleine de vie et d'espoir, comme si je renaissais. Je commençai à bouger mon petit doigt, c'était comme magique. Len et tout le reste du groupe arrivèrent pour une de leurs visites quotidienne regroupée, et je voulais leur annoncer une nouvelle ''Je suis en voie de guérison, je guérie". C'était la fête, tout le monde faisait la fête et ils chantaient tous ma chanson. Pourtant vient le soir, et ils partirent tous de la chambre, je commençai à verser un larme et fit venir le médecin, ''Je ne vais pas guérir; hein ? C'est un mensonge que vous m'avez raconté ?''. Le medecin ne dit rien, il me regarda, il fit signe que oui de la tête, ''Il ne vous reste que très peu de temps, tout au plus trois à quatre jours''. Ces mots trottaient dans ma tête, je devais leur dire pourtant, je leur avais menti, et je le savais, mais l'on m'apporta le téléphone et l'on me donna Kooji, ''Allo? Professeur Kooji? - Oui ? C'est toi Aya? - Monsieur j'ai quelque chose à vous dire, ne le dite à personne mais, je vous ai menti à tous, il ne me reste que très peu de temps, et... Pourriez vous venir tous demain?''. Le lendemain, comme demandé, ils vinrent tous me voir dans ma chambre qui depuis que je les avais connus avait été bien plus colorée. Pour ne pas leur faire de peine, je me décidais à ne rien leur révélé... Oui, cela pouvait paraître cruel quand ils découvriront la vérité mais.. Je n'avais pas le courage de leur avoué en face. Pourtant, une dernière fois, je voulais toucher le visage de Len et je voulais pouvoir lui dire les mots que je n'avais encore jamais pu dire. "Len, s'il te plaît.. Rapproche-toi". Et il accéda à ma demande, les autres étonnés, nous regardaient sans rien dire. J'avançais doucement ma main de son visage, je sentais que mon corps était faible, ma voix avait du mal à porter mais... Je devais lui dire ! Enfin, je réussis à prononcer ces quelques mots "Je t'aime." et Len rougit, enfin, il avait rougi, c'était la première fois que je voyais cela, je touchais son visage, le caressant doucement. Et ma main perdit de sa vigueur, elle retomba lentement car je tentais de la garder proche de son visage, Len comprenant ce qu'il était entrain de se passer pleura et alors que je fermais les yeux pour ne plus jamais les rouvrir, ses larmes si chaudes de tendresse et d'amour mouillaient légèrement ma main, puis mon visage. Quelques jours plus tard, je me fis enterrer, mes parents étaient en larmes, et bien que les Vocaloids étaient réellement tristes, un seul avait le pouvoir de pleurer: Len. Leur créateur finit par remarquer l'anomalie et décida de leur faire passer des tests. Il fit passer à chacun des tests sportifs et psychologiques puis des radios et c'est là qu'il tomba sur une chose inimaginable: un coeur. Celui de Len, il battait comme celui d'un humain et plus aucun circuit électrique n'existait en lui, son coeur ne battait pas comme celui d'un humain, non, il était celui d'un humain, c'était à présent une certitude. Kooji en fit part quelques jours plus tard à Len qui se retrouva désemparé, il avait perdu l'amour de sa vie et gagnait le seul moyen d'être à jamais triste et de pleurer: la vie. Bientôt, Len dût recommencer son travail de chanteur mais il chantait désormais avec tant d'émotion dans sa voix qu'à chacun de ses concerts, le public pleurait mais si lui il pleurait, ce n'était pas pour n'importe quoi ni n'importe qui, ses larmes m'étaient toutes privilégiées et c'est ce qui lui donnait à présent tant d'émotion. Il avait un coeur tout neuf occupé à une seule chose depuis sa naissance, pleurer un amour perdu.
Voilà,merci de lire tout le monde et bonne lecture ! =D Si en plus vous pouviez nous mettre vos commentaires et conseils ! *o* Bye bye ^^ | |
| | | Mayura Inconditionnel
Messages : 703 Date d'inscription : 28/03/2012 Age : 27 Localisation : Du côté des tenebres
| Sujet: Re: Co-productions de Mayura et Anaïs Dim 24 Fév - 11:50 | |
| Maintenant que j'ai relu toute l'histoire, je me dis quelle est quand meme supert triste la fin. | |
| | | Sacrinea Client de prestige
Messages : 2815 Date d'inscription : 07/10/2010 Age : 25 Localisation : Dans mon monde
| Sujet: Re: Co-productions de Mayura et Anaïs Dim 24 Fév - 14:36 | |
| C'est magnifique, j'ai même faillis pleurer. Elle est super bien écrite et franchement bravo les filles ^^ | |
| | | Mayura Inconditionnel
Messages : 703 Date d'inscription : 28/03/2012 Age : 27 Localisation : Du côté des tenebres
| Sujet: Re: Co-productions de Mayura et Anaïs Dim 24 Fév - 16:37 | |
| Merci ^^ Moi je creer la synopsi et apres on la mes en place avec sempai.^^ | |
| | | Aryana Chouchou
Messages : 5627 Date d'inscription : 02/01/2011 Age : 26 Localisation : Dans le palais fleur
| Sujet: Re: Co-productions de Mayura et Anaïs Dim 24 Fév - 19:49 | |
| Je voudrais beaucoup la lire sauf que je ne vois rien ! >"< Vous pourriez la mettre quelque part en couleur autre que blanc, please ? | |
| | | anais-chan Animateur
Messages : 10841 Date d'inscription : 12/07/2010 Age : 27 Localisation : Searching my way to go
| Sujet: Re: Co-productions de Mayura et Anaïs Dim 24 Fév - 23:49 | |
| Tiens ma Arya, dis-moi si t'arrives pas à lire (J'ai agrandi la taille et changé la couleur ^^) - Spoiler:
C'était l'été dehors mais pour moi, cela ne faisait aucune différence.. J'étais chaque jour dans ce lit d'hôpital sans jamais aucune distraction. Au début, mes amis de l'école venaient me voir, puis leurs visites se sont rarifiées et finalement, ils ont arrêté... Même si dans mon coeur, cela m'avait grandement attristée, je ne pouvais pas leur en vouloir, après tout, je ne voulais pas être un fardeau pour eux. Mais un jour, en plein milieu du mois de juillet, mes parents ont amené un homme; celui-ci s'est révélé être le concepteur de la chose que je trouvais la plus formidable au monde: les Vocaloids. Il en existait beaucoup, bien plus que je ne pourrai en citer, mais pour les principaux, ceux qui avaient été inventés par cet homme, ils s'appelaient Miku, Meiko, Kaito, Rin et Len, Megurine, Gumi ou Gakupo. Ils avaient tous des personnalités uniques mais surtout, une voix formidable. J'étais devenue fane d'eux au même moment que j'avais été coincée dans cette chambre d'hôpital, et ce jour-là, quand cet homme est entré dans ma chambre, je n'aurai pu imaginer le rêve que j'allais vivre, et combien je devais à mes parents pour cela. Car c'était eux qui étaient partis le chercher pour que je puisse réussir, moi aussi, à rêver. Je m'appelle Aya Nakamura et cet homme, c'est Kooji Akimoto. Mon histoire, c'est grâce à lui qu'elle existe et si je vous la raconte aujourd'hui, même si c'est surtout pour exprimer mes sentiments, c'est aussi pour lui dire merci, merci pour ses créations, merci pour Len. Depuis que j'ai 12 ans je suis enfermée dans ma chambre d'hôpital, couchée sur mon lit ne pouvant bouger. Je suis atteinte d'une maladie très rare qui tue en toute circonstance, on a beau faire il n'y a pas de remède, moi j'étais en stade terminal et mes parents pour me faire plaisir me demandèrent ce que je voulais. Depuis maintenant quatre ans je rêve de les rencontrer et j'avais déclaré à mes parents ''Je veux rencontrer les Vocaloid et leur créateur.''. Mes parents étaient perplexes mais avaient été demander au créateur, donnant une somme d'argent astronomique. Ma mère m'avait raconté rapidement qu'ils avaient dû fort lui demander pour qu'il vienne; mais c'est alors que mes deux parents croyaient que je dormais, que j'avais entendu la vérité: ils avaient réussi à obtenir un rendez-vous avec le PDG de la grande entreprise qu'était à présent le bureau de logistique de monsieur Akimoto, ensuite, ils avaient dû attendre un mois pour avoir le rendez-vous, et le jour-là, ils avaient fondu en larme sous ses yeux, lui demandant une faveur pour leur fille mourante. Bien entendu, ils avaient dû de nouveaux débourser une très grosse somme d'argent pour que ma chambre ait les moyens d'accueillir la matérialisation des Vocaloids. Ensuite, pour me préserver la surprise, ils avaient payé l'hôpital pour me faire changer de chambre le temps de l'installation et finalement, j'avais pu profiter de mon rêve, les yeux emplis de larme et les remerciant du merveilleux cadeau qu'ils m'offrirent. J'avais enfin pu exaucer mon souhait et il s'était réalisé, je devais être la fille la plus heureuse sur terre. J'avais enfin pu regarder les Vocaloids pour de vrai, et leur parler, les toucher et discuter avec le créateur. Je discutais avec Miku, Rin et Len et j'avais vu que le créateur se creusait fort tête, je demandai dans un effort surhumain ce qu'il faisait et il m'avait répondu qu'il créait une nouvelle vocaloid, mais qu'il ne trouvait pas de tenue et de physique. Son nom allait être Yuuki Kaai et sa chanson parlait d'une guerre entre une verte et une jaune. Nous avions travaillé ensembles, le résultat avait été des plus magnifique, et elle avait été acceptée par le créateur. Quand le temps fut passé, ils durent s'en aller et j'allais revenir dans ma solitude, mais le créateur Kooji Akimoto se retourna et me dit '' Nous reviendrons demain petite Aya, la troupe au complet'' avec un petit sourire sympathique. Mes yeux s'était écarquillés et je souriais joyeusement. Le lendemain, en effet, ils étaient tous là Kaito et sa longue écharpe bleue, Meiko avec sa mini-jupe et son bustier rouge, Miku et ses grandes couettes, Megurine et sa longue chevelure de soie rose, et enfin, les jumeaux Rin et Len Kagamine qui étaient mes préférés. Malgré qu'ils étaient tous là pour moi, mes discutions avaient tendance à être plus tournées vers Rin et Len, et nous nous liâmes donc rapidement d'amitié. Je voyais que le créateur nous guettait d'un coin de la pièce, toujours a prendre des notes ou faire des croquis, et souvent lorsque je riais, je le voyais sourire comme s'il souriait à son enfant. Quelques semaines passèrent et les Vocaloids venaient dès qu'ils le pouvaient. Rin commença à aller chanter et je me retrouvais souvent seule avec Len, nous discutions de tellement de choses que nous oublions souvent que c'était des ordinateurs qui parlaient. Pourtant quand je discutais avec lui mon coeur s'apaisait et mes yeux brillaient de tout leur éclat, mon coeur battait la chamade et c'était une explosion de bonheur. Chaque fois que je voyais les Vocaloids, bien entendu, j'étais heureuse, mais avec Len, c'était autre chose, une autre forme de bonheur qui ne pouvait être comparée avec aucune autre. Un jour, alors que je me pleurais de douleur, il m'avait prise dans ses bras et même s'il n'était qu'une image, j'avais senti sa chaleur m'envelopper, il avaits séché mes larmes et caressait mes cheveux avec tendresse. A ce moment, j'avais compris que je l'aimais bien plus que je ne le pouvais, même si il ne m'avait pris qu'une seule fois dans ses bras, j'avais l'impression que ce moment avait été comme une finalité à ce monde, une fin absolue et irremédiable, comme si j'avais été transportée l'espace de quelques secondes dans un autre univers. Ensuite, il m'avait lâchée et m'avait dit de ne pas pleurer et d'être forte, que je finirai par vaincre ma maladie; mais j'avais envie de pleurer de nouveau, ne serait-ce que pour qu'il me prenne de nouveau dans ses bras et aussi que sa chaleur même au bout de seulement quelques secondes, me manquait terriblement. Len s'assit à côté de moi pour que l'on puisse parler, depuis qu'ils étaient là, il n'avait pas chanté une seule fois, il restait près de moi à me soutenir, m'encourager et discuter. Ma vie n'avait jamais été aussi belle que ces quelques jours. Une chanson me trottait dans la tête, une très belle chanson sur un robot et un humain, j'en fis part à Len, qui me dit qu'elle était très belle et j'en parlai à Kooji qui décida d'en faire une chanson. On travailla toute l'après-midi sur les paroles, la chanson parlait d'un humain, un scientifique solitaire qui créa un robot qui n'avait pas de coeur, et il travailla pour se ''coeur'' mais mourra juste avant de lui donner et le robot ne comprenant pas pourquoi on l'a abandonné demande à l'ordinateur de rencontrer son créateur et reçut un coeur, mais son coeur était trop puissant et elle mourra elle aussi. Quand les paroles furent finies, c'est Len et Rin qui commencèrent à chanter les paroles et cela rimait très bien. Enfin, la chanson fut testée lors d'un concert, l'alliage des voix des deux jumeaux, la musique et les paroles si touchantes, eurent un succès fou sur les spectateurs et bientôt, la chanson devint très célèbre. J'étais fière de moi à ce moment-là, mes parents et Kooji le furent encore plus, il proposa même de renouveler l'expérience. Ainsi, je me retrouvai de plus en plus souvent avec les jumeaux sans jamais pouvoir être seule avec Len. Mais un jour, par chance, Rin dut aller faire régler quelques problèmes de logistique et je me retrouvai de nouveau seule avec lui. Au départ, il y avait eu un léger malaise du fait que cela faisait longtemps que l'on ne s'était pas retrouvés à deux puis on a recommencé à parler et à rigoler. Mais j'ai fini par lui demander si il se souvenait du moment où il m'avait prise dans ses bras, je rougissais mais son visage paraissait peu émotif comparé au mien, je me mis à penser qu'il n'éprouvait rien pour moi mais il me donna tort. Il s'approcha de moi, et il me dit doucement qu'il s'en souvenait, que même s'il n'était qu'une image, cela avait fait chauffer son corps électronique. Dans un moment où ni l'un ni l'autre ne contrôlions nos actes, nos visages se rapprochèrent et bientôt nous nous embrassâmes. A ce moment, bien plus de chaleur que jamais auparavant m'envahit et je fondai en larme, se rendant compte de cela, il interrompit le baiser pour essuyer mes larmes de ses douces mains, il n'avait alors pour moi plus rien d'un robot, il n'était plus un ami, il était bien plus. A présent, Len représentait mon espoir, ma vie et je me mettais à espérer pouvoir un jour guérir pour me promener avec lui à l'extérieur, pouvoir se balader sur la plage, voir un coucher de soleil en dehors de ces murs... Je me sentais pleine de vie et d'espoir, comme si je renaissais. Je commençai à bouger mon petit doigt, c'était comme magique. Len et tout le reste du groupe arrivèrent pour une de leurs visites quotidienne regroupée, et je voulais leur annoncer une nouvelle ''Je suis en voie de guérison, je guérie". C'était la fête, tout le monde faisait la fête et ils chantaient tous ma chanson. Pourtant vient le soir, et ils partirent tous de la chambre, je commençai à verser un larme et fit venir le médecin, ''Je ne vais pas guérir; hein ? C'est un mensonge que vous m'avez raconté ?''. Le medecin ne dit rien, il me regarda, il fit signe que oui de la tête, ''Il ne vous reste que très peu de temps, tout au plus trois à quatre jours''. Ces mots trottaient dans ma tête, je devais leur dire pourtant, je leur avais menti, et je le savais, mais l'on m'apporta le téléphone et l'on me donna Kooji, ''Allo? Professeur Kooji? - Oui ? C'est toi Aya? - Monsieur j'ai quelque chose à vous dire, ne le dite à personne mais, je vous ai menti à tous, il ne me reste que très peu de temps, et... Pourriez vous venir tous demain?''. Le lendemain, comme demandé, ils vinrent tous me voir dans ma chambre qui depuis que je les avais connus avait été bien plus colorée. Pour ne pas leur faire de peine, je me décidais à ne rien leur révélé... Oui, cela pouvait paraître cruel quand ils découvriront la vérité mais.. Je n'avais pas le courage de leur avoué en face. Pourtant, une dernière fois, je voulais toucher le visage de Len et je voulais pouvoir lui dire les mots que je n'avais encore jamais pu dire. "Len, s'il te plaît.. Rapproche-toi". Et il accéda à ma demande, les autres étonnés, nous regardaient sans rien dire. J'avançais doucement ma main de son visage, je sentais que mon corps était faible, ma voix avait du mal à porter mais... Je devais lui dire ! Enfin, je réussis à prononcer ces quelques mots "Je t'aime." et Len rougit, enfin, il avait rougi, c'était la première fois que je voyais cela, je touchais son visage, le caressant doucement. Et ma main perdit de sa vigueur, elle retomba lentement car je tentais de la garder proche de son visage, Len comprenant ce qu'il était entrain de se passer pleura et alors que je fermais les yeux pour ne plus jamais les rouvrir, ses larmes si chaudes de tendresse et d'amour mouillaient légèrement ma main, puis mon visage. Quelques jours plus tard, je me fis enterrer, mes parents étaient en larmes, et bien que les Vocaloids étaient réellement tristes, un seul avait le pouvoir de pleurer: Len. Leur créateur finit par remarquer l'anomalie et décida de leur faire passer des tests. Il fit passer à chacun des tests sportifs et psychologiques puis des radios et c'est là qu'il tomba sur une chose inimaginable: un coeur. Celui de Len, il battait comme celui d'un humain et plus aucun circuit électrique n'existait en lui, son coeur ne battait pas comme celui d'un humain, non, il était celui d'un humain, c'était à présent une certitude. Kooji en fit part quelques jours plus tard à Len qui se retrouva désemparé, il avait perdu l'amour de sa vie et gagnait le seul moyen d'être à jamais triste et de pleurer: la vie. Bientôt, Len dût recommencer son travail de chanteur mais il chantait désormais avec tant d'émotion dans sa voix qu'à chacun de ses concerts, le public pleurait mais si lui il pleurait, ce n'était pas pour n'importe quoi ni n'importe qui, ses larmes m'étaient toutes privilégiées et c'est ce qui lui donnait à présent tant d'émotion. Il avait un coeur tout neuf occupé à une seule chose depuis sa naissance, pleurer un amour perdu.
| |
| | | anais-chan Animateur
Messages : 10841 Date d'inscription : 12/07/2010 Age : 27 Localisation : Searching my way to go
| Sujet: Re: Co-productions de Mayura et Anaïs Jeu 25 Juil - 15:47 | |
| Au fait pour ceux qui aiment la première fic', ne vous inquiétez pas, on la continuera... Bientôt bientôt x) Mais hier soir, on a fait ça et on veut d'abord la finir, donc voici le premier chapitre, bonne lecture à vous ! - The rpg's wolrd is a part of the real world:
CHAPITRE 1 "Un membre de votre guilde Jiroo-kun vient de se connecter." Tiens, qui c'est celui-là, j'l'ai jamais vu.... "Midori - Salut à toi, Jiroo-kun, tu es nouveau ? Dans ce cas bienvenue Jiroo-kun - Yep, je suis nouveau, merci =) Midori - Alors, la guilde te plait ? Si t'as besoin d'aide, n'hésite pas à faire appel à moi ! =D Jiroo-kun - Elle est pas mal et les gens sont sympa ici. Midori - Pas mal? Seulement? TT Jiroo-kun - Elle est vraiment bien t'inquiètes" J'ai créé cette guilde il y a un mois sur le jeu Juravime, un mmorpg en ligne, c'était un peu devenu mon refuge quand j'avais intégré la guilde de Julien, je m'étais rapprochée de lui et je pensais avoir tissé de véritables liens d'amitié avec lui quand Hana m'a appris qu'il se rapprochait d'une autre fille sur le jeu, et après ça... Il s'est étrangement éloigné de moi me donnant jusqu'à l'impression de n'être qu'une bouche-trou. Et quand je me suis décidée de riposter, ils m'ont tous abandonnée ! Alors j'ai commencé à vouloir me venger, et en un mois ce fut fait, j'avais totalement brisé sa petite routine sur le jeu, plus personne ne lui faisait confiance et tous le haïssaient. Ma vengeance accomplie, j'ai pris la décision de fonder ma propre guilde et me voilà là aujourd'hui. Tout allait bien et j'avais une guilde merveilleuse, jusqu'au jour ou un THL arriva, au départ je ne savais pas qui il était et je m'en fichais un peu. Puis Hana me prévint quand nous étions en groupe qu'il s'agissait du grand frère de Julien, il était impossible que se garçon age de 22 ans super sympa puisse être son frère. Alors en mp je lui demandai si il était bien le frère de Julien et lui me demanda comment je le connaissais, bien sur je ne voulus rien dire alors il alla demander à son frère et quand il sut ce que j'avais fait, c'est la que toute ma tranquille petite vie monotone changea. *** Depuis quelques temps, mon frère Julien est de plus en plus sur son ordi, il rigole tout seul devant son écran sur un mmorpg, et je trouve ça inquiétant. Mais ça l'est devenu encore plus quand il a soudainement changé, un jour alors qu'il jouait, je l'ai entendu crier et pleurer. Je savais que mon frère était plutôt faible psychologiquement et l'idée qu'il ait pu rencontrer de mauvaises personnes sur le net m'effrayait et je ne pouvais cesser de penser à faire regretter à cette ou ces personnes leurs actes. Julien s'était de plus en plus renfermé sur lui-même dans une sorte d'inactivité nocive, j'avais bien essayé de le faire sortir à la plage avec des amis, mais le peu que j'évoquais le fait de sortir avec un groupe, il devenait méfiant, c'est comme ça que j'ai décidé de m'inscrire sur ce jeu, pour pouvoir trouver la personne qui lui a fait du mal. J'ai pu étonnement vite trouver cette personne, alors que je m'étais retrouvé inscrit dans une guilde au hasard, j'ai pris le temps de discuter avec Midori, la meneuse, qui m'avait l'air plutôt sympathique jusqu'à ce que j'apprenne qu'elle était la personne qui avait fait du mal à mon frère, alors j'interrogeai Julien sur tout ce qu'il pouvait savoir à son propos: c'était une jeune fille étudiant dans le lycée Hang-Wo de Seoul... C'était comme chercher une aiguille dans une botte de foin, mais j'y arriverai ! *** Une fois arrivé à Séoul, Jiroo s'étira, descendant du train avec ses bagages. Il lui fallait trouver le lycée Hang-Wo, mais avant, il trouvait regrettable de ne pas un peu profiter. Il se baladait dans les rues lorsqu'il tomba sur une salle d'arcade et qu'il eût l'envie irrépressible d'y aller. Une fois dans la salle d'arcade, il y trouva son jeu préféré, Tekenchi Budokai 4, un jeu que tout garçon aimerait. Il mit une pièce et commença son jeu, quand tout d'un coup, quelqu'un mis sa main sur son épaule, ça le fit sursauter et il perdit son coup. Le garçon, regrettant son geste, lui repaya une partie et ils rigolèrent bien pendant presque plus d'une heure. Tout d'un coup, Jirro s'arrêta de jouer, fatigué, et alla s'assoir a une table avec son nouvel ami. " - Eh, je viens d'arriver ici, je ne connais pas les environs et je cherche le lycée Hang-Wo. Quelqu'un ma dit vouloir le rencontrer là-bas. Le lycée Hang-Wo? Bien sûr que je connais ce lycée, c'est le mien. Je peux t'y emmener après si tu veux, mais qui veux tu voir? Je le connais peux-être Et bien c'est une fille du nom de Midori... Ca te dit quelque chose ?" Sur le coup, Hana parut surpris, sa meilleure amie qu'il aimait tant protéger s'appelait ainsi et ça lui rappela l'histoire arrivée sur le jeu: "Mais dis-moi quel est ton nom ? - Hein ? Bah euh c'est Jiroo, pourquoi ? Et alors, tu connais cette fille ? - Ah... Je suis désolé... Au fait, je m'appelle Hana et je t'interdis de l'approcher !" Sur ces mots, Hana s'était levé et avait foutu un crochet du droit dans la figure de Jiroo qui pris quelques secondes à remettre ses idées en place, le derrière collé au sol,, Hana le regardait d'en haut, avec un regard qui aurait dissuadé quiconque de s'aventurer un peu plus dans ce chemin. Pourtant Jiroo se leva, et mis à son tour une pêche à son ami: "Je suis désolé, tu dois peut-être la protéger, mais moi je ne peux pas abandonner mon frère, je dois le venger !" Alors les deux jeunes hommes commencèrent à s'infliger des coups de poings sans jamais fléchir sur leur position, jusqu'à ce qu'arrive le gérant de la salle d'arcade qui les mis à la porte. Alors ils arrêtèrent de se battre et se regardèrent droit dans les yeux: "Jiroo, je te préviens, si tu tentes de faire du mal à Midori, je ne retiendrai plus mes coups... Ne t'inquiètes pas pour ça, je ne me laisserai pas frapper sans rien faire, je ne peux pas être venu jusqu'à Séoul pour rien !" Après ce combat, Jiroo dû se résigner à arrêter ses recherches pour aujourd'hui, il devait aller là où il était attendu: dans le restaurant de sa tante. A peine arrivée qu'elle lui ordonna de suite: "Ah Jiroo, te voici enfin, va donc te laver et changer, t'es tout crado, et tu prendras cet uniforme de serveur pour venir m'aider ! - Ah euh... Oui, tout de suite tatie !" Comme ordonné, il se doucha. L'eau ruisselait sur son corps nu, ses muscles fins étaient maintenant recouverts d'eau. Il arrêta l'eau et se savonna. Il massait délicatement ses cheveux argentés qui lui descendaient sur la nuque, ses doigts étaient longs et fins, et avec ses yeux dorés, il semblait sorti d'un autre univers. Quand il eût fini de se rincer, il sorti de la douche, mettant sa serviette en pagne autour de la taille et retourna dans sa chambre tout en réfléchissant. Jiroo était un garçon plutôt grand et fin, âgé de 22 ans, il étudiait les sciences sociales à la fac et avait eu du mal pour réussir à se libérer, il devait maintenant trouver en vitesse un moyen de trouver Midori, sans quoi il ne pourrait accomplir sa vengeance... A peine arrivé dans les cuisines du restaurant que sa tante lui donna des plats et lui montra les tables qu'il devait servir. Jiroo avait l'habitude quand il était petit d'aider sa tante à nettoyer le restaurant alors il savait quels étaient les numéros de table.. Mais ce qu'il avait un peu oublié, c'est bien à quel point elle pouvait être rapide et autoritaire, il ne valait mieux pas trainer avec elle si on ne voulait pas avoir de problèmes ! L'heure de la pause de Jiroo arrivait bientôt, il ne lui restait qu'une table à servir, celle d'une jeune fille aux longs cheveux bruns, ses cheveux avaient réellement l'air soyeux, et ses yeux gris brillaient d'une lueur étrange... Il aurait bien dit que ses yeux étaient gris, mais ça ne l'était pas vraiment, les couleurs se mélangeaient sans cesse dans ses yeux, l'iris orné d'une couleur de feu qui croisait le gris, celui-ci devenait plus bleuté sur les bords, jamais encore Jiroo n'avait vu de pareil yeux, c'en était presque une oeuvre tellement c'était beau. Quand il sortit de ses pensées, il avait déjà fini de servir la jeune fille accompagnée de son père et il partit prendre une pause sur le côté du restaurant. Quelques minutes plus tard, la jeune fille arriva discrètement sans qu'il ne la remarque, et se pencha devant lui le regardant yeux dans les yeux, cela le surprit tant qu'il en rougit un peu. Puis elle le salua et ils commencèrent à discuter. La jeune fille venait dans ce restaurant pour fêter son anniversaire, et son père lui avait demandé d'aller faire un tour, certainement pour préparer son cadeau, elle fêtait ses 17. Ils rigolèrent encore un peu ensemble puis le père de la jeune fille l'appela, elle allait se lever et partir quand Jiroo lui passa sa main derrière la nuque et l'embrassa, la jeune fille troublée tentait de balbutier des paroles incompréhensibles. Puis Jiroo retira sa main de la nuque de la jeune fille, la faisant délicatement glisser jusqu'à son menton, il mit fin au baiser et avec un sourire lui dit: "Joyeux anniversaire, jeune demoiselle !" A peine eut-il dit ces paroles que la jeune fille rougit encore plus avant de se retourner et de rentrer en courant dans le restaurant, s'il avait dû dire ce qu'il lui avait pris, il n'aurait su le dire, il avait fait ça par instinct peut-être, mais il n'en avait que peu faire, seul lui importait de savoir quelle mignonne fille il avait rencontré, il aurait aimé connaître son nom, mais qu'importe, il finirait bien par la revoir. La jeune fille alla se rassoir sur sa chaise, et découvrit devant elle un petit paquet rose pale avec un ruban argenter. Elle leva soigneusement le couvercle et découvrit dedans un petit ours en peluche avec un bracelet argent. " Ta mère aurait voulu que tu l'ais, il lui porter chance. - Papa, je..." La jeune fille fit couler une larme, elle prit l'ours et mit le bracelet et se leva et pris ces affaires. Son père déposa l'argent du repas et pris sa fille par l'épaule, la jeune fille retourna sa tête et, tout en versant un larme regarda Jiroo puis sortie du restaurant.
Voili voilou, merci de nous lire et n'oubliez pas de nous donner vos avis le plus franchement possible ! (et voyait, pour une fois vous ne pleurez pas ! x'D) | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Co-productions de Mayura et Anaïs | |
| |
| | | | Co-productions de Mayura et Anaïs | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|